| 
 
 L'association Le timeshare en FRANCE principalement 
 Les dossiers closCentre européen de consommation Les textes de loi 
 Les arnaques type 
 
 Suivi Escroqueries 
 
 Ecrivez-nous 
: | 

C'est fini, avec bp de satisfaction ou peu, mais les actionnaires ont pu enfin sortir de cette société de voyous.
Le CA de Bellecôte et le Gérant SGRT , aidés de Pierre et Vacances avaient fabriqué bien des voyous dans cette SA;
Nous ne voulons pas oublier ces voyous, nous les nommons au cas où nous les retrouverions dans d'autres SCI:
Toutes ces sociétés voyous avaient de fausses adresses, n'existaient pas sur internet évidemment, mais étaient censés payer des charges qu'elles ne payaient pas en France, et la SGRT ne les a jamais retrouvées, comme par hasard:
La Nacelle !!
Sociétés Rêves Evasion Vacances
Société actions Voyages
Société Iime Vacances
Société Somedive
Toutes en France !! mais introuvables
Société Horizons Lointains Marketing à Teneriffe
15-6-24
Voilà, les derniers comptes sont donnés, sans beaucoup de contestation. Nous sommes tellement contents d'être sortis de ce guêpier.
Voilà une remarque d'un actionnaire:
"Bellecote se termine en effet mettant fin à la soumission qui nous a été imposée. Nous avons résisté pour l'honneur et c'est estimable mais Pierre &Vacances a déroulé son système comme il a voulu, avec une loi faite sur mesure il a pu tout faire légalement, nous étions les Robin des bois du Temps Partagé ! "
La grosse arnaque de la Nacelle n'a pas été élucidée comme nous l'aurions voulu; mais nous ne nous sommes pas privézs de dire ce qu'on en pensait.
13-4-24 ADCSTP
A grand peine, après intervention de notre avocat, nous avons pu obtenir du Liquidateur De Latude qu'il verse le boni voté en AG presque correctement, dans un charabia "latudique" en oubliant des chiffres (cas de Mme Carrier) et autres cas, mais les actionnaires laissent tomber tellement ils en ont marre de ces gens, et tellement, ce qu'ils veulent, c'est en finir avec le temps partagé
Courant 2024, tout sera fini et plus aucune réclamation, d'un côté comme de l'autre, n'aura plus lieu.
Le boni par action a été augmenté un peu à 420 euros.
Concernant les dossiers que nous suivions, il en reste un que nous voudrions bien voir clôturer en conformité avec ce qui semble juste. Ce n'est pas encore fait.
De plus les mystères entourant la Nacelle restent en l'état. Il s'agit d'une escroquerie. Il n'est pas sûr que ce qui avait été accumilé sur son nom ait été reversé aux actionnaires. Finalement les actionnaires ont laissé filer. Il n'y a que nous, ADCSTP, qui aurions voulu tout connaître sur cette arnaque.
8-12-23
L'AGE du 17-3-22 avait voté le principe d'une créance (boni) à verser pour 70% à chaque actionnaire fin janvier 23
Le liquidateur annonce lui-même qu'il ne l'a pas versé pour plus de 330 actionnaires dont certains devant des charges
le 28 Juin 2023 nous écrivions aux actionnaires
  Bonjour 
  Le mandataire liquidateur de Bellecôte se doit de verser le boni prévu 
  et promis à tous les actionnaires. 
  Il n'a pas à choisir à qui le verser en fonction des desidiratas 
  des vrais et faux gestionnaires de Bellecôte.
  Mr de Latude se permet aujourd'hui de ne pas verser le boni à plus de 
  300 actionnaires. Il n'a aucune raison de droit à opposer, mais il fait 
  ce qu'il veut...semble-t-il
  Nous avons demandé à notre avocate d'intervenir . Elle 
  a fait une lettre à Latude à ce sujet, en ne nommant que deux 
  actionnaires. Nous allons lui demander de faire une démarche en direction 
  de Latude pour tous les noms d'actionnaires connus de nous..
  Ce problème est infiniment simple et le droit est très clair. 
  
  Mais quand on veut compliquer les problèmes, rien de plus simple aussi 
  !
  
  Par ailleurs l'huissier Aulibé avait manqué de pain sur la planche 
  (?), il s'est saisi du dossier d'une femme désargentée à 
  Bellecôte pour tenter de lui pourrir le vie, comme à son habitude. 
  Les femmes qui ne peuvent se défendre et qui n'ont pas d'argent, ce sont 
  des pièces de choix pour cet huissier en manque de victimes. Il refuse 
  de lever une saisie qui est devenue totalement illégale. Peu lui importe 
  ! Là aussi nous demandons à notre avocate d'intervenir. 
  -Nous avons fait campagne pour la dissolution de la SARPB. Elle a été 
  actée à l'AGE du 17-3-22.
-Nous n'avons pas cherché à savoir comment le CA avait fait voter pour les AGO et AGE de 2022, à la place de qui.? .... Légalement ou pas ? Puisque l'essentiel était pour nous son acceptation de la dissolution.
-L'immeuble a été vendu
-L'AGE avait voté le principe d'une créance à verser pour 70% à chaque actionnaire fin janvier 23
-Mr de Latude a annoncé le 9-1-23 qu'il y aurait du retard et qu'elle 
  serait versée....au plus tard fin janvier.
  A ce jour certains actionnaires nous informent quils ont commencé 
  à recevoir des versements sur la base de 70% de 400€/action.
  Ceci laisse 500 000€ non affectés par rapport au prix de vente
.
-Nous avons fait savoir que nous voulions savoir comment cette créance serait calculée sous sa forme définitive.
-Autant le CA que le liquidateur de Latude n'ont pas estimé devoir répondre, 
  sous une forme claire et brève à cette question. 
  Nous apprécions à sa juste valeur leur politesse, Mr Bodiguel 
  Pdt du CA de SA RPB jugeant même judicieux de retourner les lettres qui 
  lui sont envoyées
  à l'Artois rue de Cambrai.
-L'AGO du 23-2-23 n'est qu'une formalité. Nous en convenons. Mais nous sommes plus que surpris que le liquidateur convoque la dernière AGO sans prévoir son rapport sur cette créance, son retard, son mode de calcul, avec un vote nécessaire.
Nous savons que cela ne gênera pas le CA pour obtenir les votes désirés à cette AGO, selon ses habitudes hors droit
-Nous savons que le CA conviera le liquidateur à accepter ses volontés.
   
  Ce sera conforme au fait que le temps partagé a constitué 
  une exception à une société dEtat de droit (par lengagement 
  perpétuel des actionnaires ou associés), exception acceptée 
  par tous les ministres de la justice.
-Ce qui nous importe aujourd'hui, c'est d'en finir, de voir cette société 
  liquidée, mais labsence de transparence nous met en droit de suspecter 
  que vos arrangements se feront contre les actionnaires.
  Mais nous voulons savoir quels seront ces arrangements pour en faire état 
  publiquement, et vous qualifier.
Avec nos salutations
ADCSTP
ADCSTP
  Email : infos@tempspartage.org Internet : www.tempspartage.org
  Téléphone : 04 76 40 60 30   06 02 50 02 24
Monsieur,
  Vous vous félicitez de la conclusion de la vente de limmeuble , 
  cest bien le minimum que vous
  puissiez faire au vu des moyens financiers levés pour cet objectif. Vous 
  citez une difficulté liée à une
  antenne mobile dont il serait bienvenu dexpliquer la nature qui apparait 
  opaque aux non initiés.
  Comme nous, vous constatez que les retours didentification des actionnaires 
  par le cabinet de
  Latude sont insuffisants. Nous vous avions alerté sur ce point en raison 
  du fait que le liquidateur ne
  prétendait communiquer que par voie numérique. Sachant quune 
  majorité dactionnaire est
  maintenant très âgée et peu ou pas connectée à 
  internet, il est évident quil y ait des zones noires.
  Il faut adresser des courriers postaux systématiquement et nutiliser 
  les courriels quen doublure.
  Dailleurs quand vos huissiers sen prennent aux actionnaires, ils 
  nutilisent pas internet.
  Vous êtes donc responsables du taux de réponse avec le liqudateur 
  et devez mettre en uvre tous
  les moyens adaptés.
  A ce propos, vous semblez ignorer que le site « bellecoteinfo.fr » 
  que vous préconisez pour joindre le
  liquidateur est fermé depuis décembre2022 !
  La prochaine AG (ordinaire ?) du 23 février ne servira qua 
  clôturer les comptes ce qui est normal a
  lexception de lart 6 qui ne précise pas la nature des conventions 
  dont vous demandez
  lapprobation.
  Par ailleurs nous demandons que le liquidateur sexprime sur la façon 
  dont il détermine les sommes
  prises en compte dans ses calculs dindemnisation des actionnaires. Il 
  le doit légalement, pourquoi ne
  le fait-il pas à cette AG et quand va-t-il le faire ?
  Recevez, Monsieur, nos salutations.
  Pour lADCSTP
La Présidente : Mme. CHARTIER et Bernard COTE
(mise sur le site le 13-12-22)
Lettre demeurée sans réponse, il y a donc un an de cela :
Peut-être le liquidateur Mr de Latude peut répondre un an après à ce courrier ? UNE NON REPONSE FAIT TRES MAUVAIS EFFET
Messieurs les responsables
  Eu égard aux nombreuses informations fournies dans le cadre de la procédure 
  de liquidation de la société anonyme, pour lesquelles je vous 
  remercie, je vous saurais gré de me donner quelques éclaircissements 
  quant aux points suivants:
 Vous annoncez un produit de vente attendu de 35MM euros. Par action le produit attendu est donc de 35 MM divisé par 76328 actions soit 458.55 euros par action.Vous mentionnez un montant de 400 euros; Pouvez-vous expliquer le pourquoi de la différence?
  En me référant au rapport du commissaire aux comptes 
  sur les comptes annuels de l'exercice clôturé au 31 août 
  2021, je remarque dans la section des capitaux propres au passif du bilan - 
  voir page 71 du rapport - la mention des "apports non capitalisés" 
  pour un montant de 7.117.843 euros.
  En page 94 de ce même rapport, un complément d'information indique 
  que cet apport a été effectué en sus du nominal conformément 
  aux dispositions de l'article 7 bis des statuts de la société.Cet 
  apport constitue une créance de chaque actionnaire à l'encontre 
  de la société, non productive d'intérêts exigible 
  seulement lors de la liquidation de la société et sur laquelle 
  il ne peut être consenti de gage, d'avance ou de subrogation à 
  quelque titre que ce soit. 
  Ce montant doit donc être redistribué aux actionnaires. Par action 
  il se monte à 93.25 euros  
  Ce montant doit donc s'ajouter au montant de 458.55 euros repris ci-dessus.
  Lors de l'assemblée générale ordinaire du 20 février 
  2020, une information est distribuée aux actionnaires à propos 
  de la créance La Nacelle.
  Je vous cite : 100% de cette créance est provisionnée dans les 
  comptes sociaux. Le montant de cette provision à la date du bilan 
  31-8-2020 -  est de 587.053.46 euros. Cette provision qui est indispensable 
  pour le bon fonctionnement de la résidence devrait être restituée 
  à tous les actionnaires à l'issue des opérations de liquidation 
  du fait de la couverture des charges par le produit de la liquidation attendu.
  Par extension, en sus de cette provision unique et spécifique à 
  la Nacelle, une provision générale existe pour actionnaires défaillants 
  pour 1.900.597.78 et une provision spéciale pour débiteurs défaillants 
  sur adjudications pour 27.498.37; - voir page 30 et page 93 du rapport précité. 
  Le cumul de ces montants se monte donc à 2.515.146.61 euros.Par action 
  il se monte à 38.95 euros.
  Ce dernier montant doit aussi être ajouté aux deux montants ci-dessus.
  AU 31-8-2021  : les montants doivent être ajustés en respectivement 
  2651265.80 et 716667.67 voir page 104 du rapport
  A la page 73 du rapport précité, au sein des comptes 
  du passif, nous trouvons la rubrique -Autres dettes- relatives aux actionnaires. 
  Toutes les provisions sur des budgets travaux énumérées 
  sous cette rubrique sont relatives à des exercices antérieurs 
  et visent notamment 
  une provision pour mise en conformité accessible aux personnes handicapées 
  : 60.000 euros
  une provision pour étude du terme de la société : 160.000 
  euros
  une provision pour travaux étalés à répartir : 411.000 
  euros
soit un total de 631.000 euros
  Il va sans dire que compte tenu de la proximité du terme de la société 
  dans les prochains mois, toutes ces provisions ne seront jamais utilisées 
  et n'ont donc plus leur raison d'être.Elles doivent donc faire l'objet 
  d'un remboursement aux actionnaires. Par action, le montant se monte à 
  8.27
  Qu'adviendra-t-il du nombre d'actions des sociétés fictives 
  détenant des actions comme La Nacelle :3.899 - Actions Voyages 89 - Rêve évasion 
  87 - Time vacances 227 - Horizons lointains 79 - Somedive 95 - Faulkner 45 - 
  soit un total de 4.521 actions qui n'appartiennent à personne.
  Ces sociétés n'ayant aucune existence juridique ne pourront 
  rien réclamer, ni rien recevoir.
  Il ne me paraît donc pas opportun de faire voter une modification de l'art. 
  32 des statuts dans laquelle on peut lire : les sommes revenant à des 
  actionnaires ou à des créanciers non réclamés par 
  eux seront versées à la Caisse des Dépôts et consignation.
  Il m'apparaît bien plus judicieux de verser cette somme à 
  l'ensemble des actionnaires restants et bien méritants sur base d'un 
  diviseur nombre d'actions égal à 76328 moins 4521 soit 71.807 
  actions.
  Tous les actionnaires en seraient-ils bien récompensés? Et ce, 
  y compris la SA RPB.grâce aux actions détenues dans les immobilisations 
  financières de la société.
veuillez prendre connaissance du document ci-dessus
Notre objectif a été de vérifier qu'au moins tous nos adhérents ont pu remplir un dossier chez le liquidateur.
Nous en profitons pour rééditer le calendrier annoncé par la CA de SA RPB qui a été respecté à ce jour:
17/03/2022 (AG de dissolution) , 28/04/2022, 04/09/2022 , 30/09/2022,
versement acompte de 70% : 01/01/2023, 01/02/2023 nouvelle AG ,versement solde 
  de la liquidation 01/10/2023 
  
Nous ne savons rien pour le moment de la façon dont le liquidateur va apurer les comptes , estimer la valeur réelle des parts , le solde des charges en cours...
Ni le sort qui sera réservé aux capitaux en errance de la Nacelle et aux provisions de charges impayées.
Nous allons nous adresser au liquidateur en espérant une réponse 
  avant l'AG du 1 fevrier 2023 qui exposera le fait accompli.
Nous n'avons pas cherché à savoir si les votes avaient été acquis légalement. Il nous parait important que la volonté du CA de dissoudre Bellecôte rejoigne l'opinion majoritaire des actionnaires. Point.
Un mandataire judiciaire Jacques de Latude a été nommé. Il est chargé en début d'année 2023 de distribuer une partie de ce qui a été promis aux actionnaires.
Son tel : 05 24 84 81 84. Son mail : contact@mjdl.fr,
Adresse postale: 14 rue Boudet Bordeaux 33000
Juillet 2022
Il semble bien qu'il y aura la majorité des 2/3 pour la dissolution 
  de la SA La Plagne Bellecôte. 
  Majorité réelle ou construite en partie, nous n'irons pas y regarder 
  cette fois, tant les actionnaires de Bellecôte n'ont qu'une hâte: 
  en finir avec l'enfermement de type mafieux dans le temps partagé, enfermement 
  qui a empoisonné leur vie.
  Avec l'appui de l'Etat et de sa justice. 
  Notre accord avec le CA de la SA de Bellecôte pour cette dissolution, 
  n'est qu'un accord de fait ponctuel.
  Pour des raisons différentes tout le monde a intérêt à 
  cette dissolution.
Mais qu'on ne s'y trompe pas, nous tenons pour certain que le CA de Bellecôte 
  a inventé La Nacelle pour augmenter les charges, ainsi que bien d'autres 
  sociétés. 
  Nous tenons pour certains que les comptes, impossible à contrôler, 
  ont été truqués au profit de la société parasite 
  et prédatrice qui gère de fait la SA Bellecôte, à 
  savoir CHMV. 
  Cette société sommée de ne plus employer les termes mensongers 
  de "Multipropriétaires et Multipropriété" se 
  garde bien de s'exécuter à ce jour. Elle s'assied sur le droit 
  depuis toujours avec l'appui de la justice.
N'ayez aucun scrupule, une fois la dissolution acquise, de continuer à refuser le paiement des charges passées et à venir, parce que cette société n'a jamais eu aucun droit pour vous les demander. Résistez, faites appel à nous en cas de menace.
N'imaginez pas que le liquidateur va faire un partage avantageux pour les actionnaires, 
  le liquidateur à venir s'est déjà arrangé avec le 
  CA pour vous duper.
  Continuez la suspension des charges jusqu'au bout ! jusqu'à la liquidation 
  totale de la société.
  Certains gros actionnaires vont peut-être négocier des avantages 
  pour eux, peu vous importe ! ou bien ils vont s'entre- dévorer entre 
  eux et avec le CA, grand bien leur fasse ! l'important pour la grande majorité 
  est de sortir sans charges !
  9-3-22 ADCSTP
ADCSTP le 17/01/2022
Adresse à tous les actionnaires et associés
Les services de Pierre et Vacances se sont mis en ordre de bataille pour tenter de récupérer des charges que vous avez à juste titre suspendues.
CHMV envoie des lettres de mise en demeure à vous tous. Les gérants 
  de vos sociétés de temps partagé sont en général 
  CLUBHOTEL ou SGRT. Ces gérants sont seuls habilités à demander 
  des charges, si vous êtes réellement propriétaires de parts 
  ou d'actions.
  La double gérance n'existe pas. Sauf si CHMV est gérante de certaines 
  sociétés, elle n'est pas habilitée à demander des 
  charges, ni à mettre en demeure. 
Et CLUBHOTEL ET SGRT doivent avoir un mail de leur société et aucun autre.
Vous devez tous répondre, hélas par LRAR, à votre gérant rue de Cambrai:
Votre nom
  votre adresse
  date 
LRAR au gérant....... de la SCI ou SA ........
En réponse à la lettre RAR de CHMV du 
  ....... me mettant en demeure de payer des charges, je vous rappelle ma lettre 
  du..... suspendant mes charges pour le motif de l'illégalité de 
  la demande de CHMV, laquelle n'est pas habilitée à partager la 
  gérance avec vous.
  Je vous prie de cesser définitivement d'accepter que CHMV partage la 
  gérance avec vous, situation qui n'existe pas légalement.
  .........
Sachez que les charges réclamées sous le régime d'une 
  double gérance sont illégales, définitivement, elles ne 
  pourront vous être réclamées ultérieurement. 
  Si elles le sont quand même, vous les réfuterez.
  Bien à vous ADCSTP le 14-12-21
Bonjour,
Merci de votre retour. 
  Nous transférons le mail à un administrateur et à Monsieur 
  BODIGUEL pour répondre a ces différentes questions. 
  Dans le cas où vous n'avez pas de retour, n'hésitez pas à 
  revenir vers nous. 
En ce qui nous concerne dans ce mail lorsque vous dites :
"Kingstoring na donné avec retard que le montant de la promesse de vente et des recommandations pour le vote à la prochaine AGE dont certaines contraires aux statuts pour les procurations."
Il est vrai que nous avions annoncé un envoi d'informations vers la 
  fin du mois d'octobre, l'envoi à été retardé et 
  s'explique par le processus de sélection du candidat qui a duré 
  plus longtemps qu'annoncé (sélection en plusieurs phases, + 1 
  mois). 
  L'AGE prévu en mars 2022 était initialement prévu en février 
  2022, cela n'engendrera aucune déstabilisation sur le programme de réception 
  des votes. Cela nous a permit d'avoir beaucoup plus d'implications des actionnaires 
  par la même occasion.
  Nous nous adaptons au directive du conseil d'administration.
Prochainement, nous allons actualiser la site afin d'afficher les informations 
  relatives aux derniers courriers. (www.bellecoteinfo.fr)
  Nous devons attendre encore quelques jours la réception des convocations 
  aux adresses postales avant cela. 
  Nous enverrons également un mail massif, et nous procèderons à 
  une campagne téléphonique pour relancer les actionnaires afin 
  de vérifier la réception des courriers et répondre aux 
  différentes questions concernant les résolutions.
Cordialement 
  Mathias
La chasse aux bonnes affaires est ouverte pour les rapaces du TP.
  AD Tourisme est de ceux-ci. Il se peut même que cela arrange bien Pierre 
  et Vacances, ou son double CHMV, qui intervient abusivement à La Plagne 
  Bellecôte. 
  D'une part les financiers de AD Tourisme ne vous proposent pas une indemnisation 
  mais cherchent une captation de bonnes périodes au prix qu'ils en obtiendront 
  à la
  dissolution, donc l'acquisition est gratuite pour eux !
  D'autre part, ils demandent que vous payiez vos charges pour que l'affaire se 
  fasse.
  
  C'est une très bonne chose pour le CA de la Plagne Bellecôte. Ce 
  qu'il ne parvient pas à vous faire payer par l'intermédiaire de 
  CHMV, il va l'obtenir par celui de AD Tourisme ! Génial ! 
  Nous suspectons fortement la connivence avec le CA de la Plagne Bellecôte. 
  
  
  Les temps sont très durs pour Pierre et Vacances qui a besoin que de 
  l'argent rentre
Nous supputons que Pierre et Vacances a des raisons de gestion financière 
  cachée pour mettre en avant CHMV, sinon il serait si simple que votre 
  gérant SGRT joue son rôle.
  En attendant, notre stratégie de suspendre les charges, parce que CHMV 
  n'est pas le gérant, est bonne. Sinon vous seriez tous assignés 
  devant les tribunaux. Toutes les sommes demandées par CHMV n'ont pas 
  lieu d'être, elles ne peuvent être réclamées, même 
  au prétexte d'erreur ! (Jugement sur la SCI St Mandrier qui va faire 
  jurisprudence)
Il serait vraiment fou de vous contredire et de payer maintenant des charges, qu'on ne peut plus vous faire payer, aujourd'hui comme demain.
Si vous estimez plus favorable pour vous de vendre, votre stratégie 
  est de dire : " ok je vous vends mes actions, mais je ne solde pas les 
  charges suspendues parce qu'elles sont nulles " 
  Mais bien sûr vous restez libre de votre choix
  Ne perdez pas de vue que vous pourrez continuer d'ignorer vos charges du fait 
  qu'elles sont collectées illégalement. Le jugement récent 
  évoqué vient de le confirmer.
  En résumé, pour ceux qui ont suspendu les charges, nous conseillons 
  d'attendre la dissolution sachant que s'il y a un solde négatif dû 
  à l'encours de charges, il ne pourra pas vous être réclamé 
  par CHMV, ni par personne puisqu'elles auront été demandées 
  de façon illicite.
  C'est ainsi que nous raisonnons
  BC ADCSTP 
LES RAISONS MULTIPLES D' UNE ACTION RENFORCEE POUR LA SUSPENSION DES CHARGES:tant que les gérants ne se sont pas expliqués
-1)refus d'avoir à faire à CLUBHOTEL MULTIVACANCES (CHMV) déléguée 
  par Pierre et Vacances pour se substituer aux gérants CLUBHOTEL et SGRT: 
  
  Cette société est prédatrice, non élue, non mandatée.
2)Rémunérations illégales (ne figurant pas dans les statuts) de CHMV : prestations pour la délivrance des cessions de parts, pour la modification du fichier des associés ou actionnaires, prestations multiples demandées dans les locations, honoraires pour faire un dossier de retrait, honoraires très importants lors d'une vente de cessions de parts... etc. Toutes ces tâches sont déjà normalement rémunérées par les honoraires attribués au gérant.
-3)refus de répondre à l'huissier AULIBE quand il est mandaté par CHMV, c'est à dire lorsqu'il demande aux associés et actionnaires de payer par l'intermédiaire de CHMV
-4)Rappel qu'une plainte a été déposée contre l'huissier AULIBE au TGI de Nantes pour saisie illégale de comptes. Si le Procureur ne répond pas à cette plainte, il ne l'a pas pour autant classée car il pourrait être considéré comme parjure par rapport à sa déontologie
-5)Trucage des votes des AG des SCI et SA du temps partagé:
  *votes par correspondance dépouillés hors du contrôle des 
  scrutateurs, plusieurs jours avant l'AG
  *scrutateurs désignés en AG après le dépouillement 
  des votes
  *scrutateurs en suspicion de corruption du fait de ce qui précède
  *votes par correspondance non attachés à leurs enveloppes
exemples de fraudes avérées à la SA Bellecôte:
  *nombre des votes par correspondance surestimés ou sous-estimés 
  de façon systématique
  *votes avec mandat signés massivement en séance par des membres 
  du CA, ce qui est interdit dans les SA
  *invention d'un quorum à 20% ne figurant pas aux statuts (voir dans toutes 
  les SCI comment cette invention fonctionne)
Ce trucage est onthologiquement lié au temps partagé.
6) protecton de fait des gérants par la direction des CA ou des conseils 
  de surveillance, indicateur du niveau de corruption.
  
  7)Rappel d'une Plainte contre M° Nébot ( ancien défenseur 
  des intérêts de Pierre et vacances) au tribunal judiciaire de Paris 
  pour son comportement délictueux. Cet avocat qui a été 
  démis de ses fonctions de fait par P&V, en novembre 2020, ne s'est 
  jamais expliqué sur ce qu'on lui reproche, et n'a jamais rendu compte 
  sur son soutien apporté à la société La Nacelle, 
  société fictive (plus aucune existence juridique depuis 2013) 
  visant à créer des charges artificielles dans la SA Bellecôte. 
  Cet avocat s'est retiré du 14ème de Paris pour se réfugier 
  au 17ème, et n'est plus "Avocat à la cour d'appel". 
  Le tribunal tente pourtant de le protéger. 
8)Refus du CA de Bellecôte de fournir tout le dossier relatif à la société fictive La Nacelle, CA qui prépare les moyens de faire payer une deuxième fois les charges de cette société en prélevant sur le produit de la vente le montant de sa dette qui est déjà payée annuellement par les sociétaires sous forme de provisions pour actionnaires défaillants . Si celle-ci a disparu des listes d'émargement en 2018, elle n'a pas disparu du fichier Bellecôte 2019 et des comptes de cette SA.de 2020.
Nous, soussignés, maintenons la suspension des charges et la renforçons
A............ Le ...............
Signature
-1) au niveau du nombre
  -Les actions détenues par les présents et représentés 
  sont au nombre de 5351 (avec des erreurs marginales et non pas 6077 comme dans 
  le PV officiel. Il y aurait donc un ajout de 700 et qqs actions. Le nombre est 
  trop important pour qu'il y ait erreur de notre part.
  Ces actions sont détenues par 221 actionnaires. Parmi eux 22 ont voté 
  en séance ou fait voter par des amis non membres du CA 
  -Par ailleurs nous trouvons 12527 actions en VPC au lieu de 12 454 mais la différence 
  est si faible qu'il se peut que l'erreur soit de notre fait. Ces actions sont 
  détenues par 573 actionnaires
  -2) au niveau de la qualité des votes et des mandats des présents 
  et représentés : c'est là que se situe également 
  un grave problème.
  Sur 5351 votes en actions, il y aurait 4693 votes-en actions falsifiés, 
  et 658 votes en séance semblant corrects. Au total 794 actionnaires se 
  sont exprimés (sur un total de 3400 actionnaires soit seulement 24% !) 
  
  On a donc un total de 12527 VPC + 658 votes corrects en AG qui paraissent légaux, 
  le reste ne l'est pas.
  Le PV officiel nous dit que le capital social est composé de 76328 actions, 
  dont il faut enlever 2488 actions appartenant à la SA.
  Mais où sont passées les 3899 actions de la Nacelle ? En effet 
  cette société fictive a disparu des listes d'émargement 
  au moins depuis 2018 et peut-être avant. Elle aurait dû disparaître 
  en 2013 lors de sa radiation, mais elle a continué de générer 
  des charges. Et en 2019 elle apparaissait encore au registre des actionnaires
.
  Si les votes sont truqués, l'ensemble du système de gestion des 
  actions est truqué. 
  Dans ces conditions quel est le quorum ? La SA répond 20% des actions. 
  Où cela figure-t-il ? Nulle part. M° Canavate n'a pas répondu 
  à notre question concernant ce quorum.
  Il est évident qu'on peut encore truquer le vote en jouant sur le nombre 
  des actions
DISCUSSION.
  On a fait un énorme travail de reconnaissance des signatures, en répertoriant 
  les signatures des membres du CA. Les membres du CA signataires à la 
  place des actionnaires n'ont pas truqué leurs signatures. Ils ont bien 
  tenu à montrer que c'était eux qui signaient.
  On dispose d'une panoplie de signatures : Bodiguel, Guelton, Roberge, JP Nudelmont, 
  Mme Nudelmont, Crossonneau, Cavallo Renou, Pourtarel, Braud, Blaes
. 
  Ces signatures se révèlent conformes au cours de plusieurs AG.
  (La société Multibel actionnaire, mais qui n'existe pas car elle 
  a une adresse fausse, a été utilisée pour signer massivement 
  des mandats en 2013. Ici on ne la trouve que deux fois et encore ce n'est pas 
  elle qui signe)
  Il est extraordinaire de constater que les membres du CA, et le président 
  en premier lieu, ne connaissent pas les règles de vote en général, 
  les règles de vote dans une SA (propres aux SA et pas aux SCI) et leurs 
  propres statuts. C'est tellement affligeant qu'on en pleurerait de stupeur. 
  
  La fin de l'art 26 des statuts Bellecôte indique que les dirigeants sociaux 
  (administrateurs) ne peuvent avoir un mandat pour représenter un actionnaire. 
  Le gérant le sait, Pierre et Vacances le sait, mais les administrateurs 
  passent outre depuis des dizaines d'années, et là en 2021, à 
  la veille de la dissolution, alors qu'ils savent que nous avons l'intention 
  de les contrôler sur cette question
 ils passent outre quand même, 
  car ils pensent (à juste titre) que la justice leur est acquise !! Triste 
  de le dire mais c'est ainsi.
  Donc tous les votes signés par délégation par des membres 
  du CA sont nuls.
  Mais là il nous faut encore indiquer les règles que nous avons 
  établies afin que les choses soient très claires :
  1)Règle générale : un pouvoir sans mandataire est nul. 
  Un vote blanc est nul. Ceci dans tous les cas
  2)un vote sans mandataire qui se retrouve avec une signature quelconque, est 
  soit l'actionnaire lui-même, soit un faux, même fut-il le Pdt du 
  CA !!
  3)un mandat attribué à un membre du CA, même dans les formes, 
  est nul selon les statuts et parce qu'il s'agit d'une SARL
  4)un pouvoir attribué à X et signé par Z (quand on peut 
  le voir) est nul.
  5)un pouvoir attribué à X sans aucune signature est nul
  6)une signature repérée ne pas être celle du votant est 
  une falsification : exemple Dupont qui se trouve avoir la signature de Bodiguel 
  ou de Guelton ! 
  7) le nom du mandataire doit figurer en toutes lettres
  Nous avons travaillé sous les rubriques suivantes
  Votes VPC : 12527
  Votes d'actionnaires faites en AG par eux-mêmes ou délégations 
  (hors CA) : 658 actions détenues par 22 actionnaires
  Votes sans mandataires : 2286 (86 actionnaires) (un dénommé POISSON, 
  non membre du CA a prêté sa signature à un nombre important 
  de votes blancs. Une taupe du CA ?)
  Votes nuls (absence de signatures, attribution fallacieuse de signature, 
.) 
  : 1000 actions (57 actionnaires)
  Mandats à des membres du CA : Bodiguet, Guelton essentiellement + Roberge 
  : 1407 actions
  Soit au total 4693 actions à éliminer 
SA Bellecôte : falsification des votes
(ADCSTP juin 2021)
En 2013 nous expliquions dans le document ci-dessous, repris en 2021, comment les votes pouvaient théoriquement être truqués dans le temps partagé.
La principale cause résidant dans le fait que cest le gestionnaire qui dépouille la plus grande partie des votes avant lAG : votes par correspondance, votes avec mandats, votes blancs sans mandat. Leur nombre est calculé par le gestionnaire sans contrôle
Les scrutateurs sont nommés à lAG quand les votes les plus nombreux sont déjà dépouillés, et signent sans état dâme les feuilles démargement.
A lAG elle-même, des actionnaires viennent avec des mandats qui doivent être inscrits dans les feuilles, en plus des votes déjà dépouillés.
Après lAG, les gestionnaires font les comptes définitifs des voix (une action, une voix). Mais cela peut se faire dans lAG à laide des ordinateurs.
Lindivision Desmas a obtenu par référé les feuilles démergement des AG 2012, 2013. Puis à nouveau elle vient dobtenir les feuilles de 2017, 2018, 2019, alors quelle devait lobtenir par voie statutaire sans problème. Il a fallu 2 référés, c'est insupportable ! C'est indicatif de la moralité des gestionnaires.
Cest un très gros travail que de dépouiller ces feuilles. LADCSTP sy est mise. Oh surprise
1)La SA la Plagne bellecôte est gérée par son CA et la SGRT. Aucun des administrateurs ne doit représenter les actionnaires dans les AG, ni bien sûr signer à leur place (art 26 des statuts) : cest vrai dans toutes les SA et SARL.
Les gestionnaires nen ont cure.
Dans les feuilles de 2013 et 2019, ils ont :
- soit confié des mandants en blanc à des administrateurs ( Braud, Nudelmont, Blaes, Pourtarel, Guelton ),
-soit des administrateurs se sont proposés pour représenter des actionnaires (Pages, Roberge, Guelton, Menges, Angiboust, Bodiguel, Le Roy )
Cest rigoureusement illégal. Evidemment les votes émis dans ces conditions sont tous attribués pour les compte de la SA.
Dans les feuilles de vote, il devrait être écrit que lactionnaire na pas le droit de prendre un administrateur comme mandataire. Ça nest pas écrit.
Par ailleurs, les mandataires signent sans écrire qui ils sont, quels quils soient, or leur nom doit figurer en toutes lettres.
2)Mais pire ! Le nombre des votants est truqué ; nous avions émis l'idée en 2013 que cétait possible .Mais nous nimaginions pas le voir (sauf il est vrai à Bois dAurouze)
Ainsi pour 2019 (on attend les résultats pour 2013), lADCSTP a décompté 21 173 actions, le PV de lAG en a décompté 16391. Ceci provient des votes par correspondance (VPC). Il manque 4782 actions.
Une erreur de 300 à 400 actions de notre fait est possible, mais pas de plus de 4000 actions.
Sauf preuve du contraire, des votes (des actions) ont été supprimés dans les VPC, là où se trouvent les opposants.
Les gestionnaires auraient calculé le nombre de voix qui leur étaient nécessaires pour avoir le quorum (20% selon eux, et dans les statuts ???), et le nombre de voix nécessaires pour faire passer toutes leurs résolutions.
Sauf démonstration contraire, les votes sont donc falsifiés à deux niveaux.
Nous supposons que cette falsification joue dans toutes les SCI et SA, et depuis des années, et que cela va continuer pour la dissolution de la SA Bellecôte.
Les scrutateurs sont mis en cause. Ils signent sans avoir participé au dépouillement. Ils sont responsables.
Raison de plus pour suspendre les charges tant que les gestionnaires ne sexpliqueront pas sur ces faits.
AMC pour l'ADCSTP
Les sociétés de temps partagé, qui ont fait semblant de 
  relever du droit des sociétés, reconnaissent aux associés 
  et actionnaires le principe selon lequel ces derniers ne répondent des 
  dettes sociales qu'à concurrence de leurs apports (art 4 de la loi de 
  86). Heureusement pour nous tous, étant donné les dettes extraordinaires 
  qui sont nées du refus d'une grande partie des associés et actionnaires 
  de payer leurs charges, en raison de leur enfermement dans le temps partagé 
  que la loi de 86 a généré ! 
  Les experts comptables de ces sociétés, véritables salariés 
  de Pierre et Vacances, ont considéré qu'il était légal 
  de provisionner et re-provisionner ces dettes au-delà de 3 ans, pendant 
  toute la durée de vie de la société. Moyen génial 
  de contourner l'art 4 de la loi de 86. 
  Tout le monde paye les dettes que la loi génère !!
  Nous ne savons pas si c'est légal. 
  Nous appelons nos adhérents et sympathisants à interroger des 
  experts comptables de leur connaissance sur cette question.
  Mais mieux. Fort de cela, l'équipe au pouvoir dans la SARPB SA Bellecôte), 
  amis de Pierre et Vacances, a trouvé mieux à faire.
En 2006, après plus de 30 ans d'expérience, elle a inventé 
  de faire exister des sociétés fictives qui n'achèteraient 
  que des périodes inutilisables ou fermées, ne payeraient jamais 
  leurs charges, feraient des dettes, à répartir sur tous les actionnaires 
  jusqu'à la fin de vie de la société !! C'est toute l'histoire 
  de la NACELLE. Nous ignorons si le tribunal va enfin reconnaître cette 
  entourloupe, tant la justice est timorée !. 
  Les experts comptables à la solde de Pierre et Vacances ont entériné 
  cette chose étrange. Et quand la Nacelle a été finalement 
  radiée comme Sarl, ils ont accepté qu'elle soit restituée 
  comme SCI avec la même dette, que tous les actionnaires sont censés 
  payer grâce au re-provisionnement. Génial...!
  Normalement cette dette aurait dû être soustraite du capital social.
  Mais dans ce cas, les actions finiraient par avoir une valeur négative 
  (déjà elles ne valent quasiment rien...) !!.
Cette situation ubuesque montre bien que les actionnaires sont faits pour être rackettés tout au long de la vie de la société, et qu'en toute logique la société à sa dissolution devrait les jeter à la rue sans autre forme de procès... mais avec des charges.!!....exigées par une société prédatrice pour le compte de Pierre et Vacances: CLUBHOTEL MULTIVACANCES. Incroyable, tous les toupets sont bons ! Cette société n'est pas gérante !!
Aux membres du CA, à Monsieur Gérard Bodiguel,
Votre lettre reçue hier non datée, sans en-tête, 
  comme il est de coutume aux administrateurs des officines du temps partagé 
  de Pierre et Vacances, aux actionnaires de la SA RPB, a retenu toute notre attention. 
  
  Vous appelez dans cette lettre à lAG de la SA RPB pour les 18 mars 
  2021. 
  
ici figurait un § erroné sur la validité 
  de la nomination deBodiguel comme pdt du CA
   
Dans cette lettre non datée, vous faites état de la nécessité 
  de préparer la dissolution et la liquidation de la société 
  pour 2024. 
  Nous espérons que vous ne ferez pas comme pour la SCI Tignes le Lac. 
  Vous devez faire un appel doffres aussi large que possible en France et 
  à létranger, pour être légal. Et vous devez 
  justifier immédiatement le contenu des 60 000 euros offets à la 
  société CBRE pour cet appel doffre (point 14).
Nous comprenons que léquilibre financier de la SA RPB ait été mis à mal par la pandémie, mais nous ne saurions accréditer lidée que les actionnaires devraient payer leurs charges alors que la station est fermée, même si la résidence est ouverte. Plus de 70 % des actionnaire veulent sen aller depuis longtemps du piège dans lequel le temps partagé les a enfermés et ont malheureusement payé des charges jusquà présent. Vous voulez faire une fleur à ceux qui ont de bonnes périodes (point 12) en proposant que tout le monde paye cette fleur ?!! Etes-vous sérieux ?
  Nous considérons que votre gestion relève depuis bien longtemps 
  de la pure délinquance. 
  Même si bien des faits sont prescrits, faut-il rappeler que vos prédécesseurs 
  ont condamné des actionnaires à payer des charges à vie, 
  au moyen de lappât des 5,5 % de rentabilité à 
  lachat, dans les années 70, avec des paniers de périodes 
  dont la moitié étaient fermées statutairement, ou nulles 
  du point de vue de leur valeur dusage ? !
Faut-il vous rappeler quil a fallu aller en justice 2 fois, plus une 
  troisième en appel, pour obtenir ce qui statutairement est légal 
  dobtenir, le fichier des actionnaires et les feuilles démargement 
  aux AG, ainsi quun certain nombre de documents nécessaires à 
  la transparence des comptes 
 documents qui sont toujours refusés. 
  Si Mr Pages est responsable de cette totale illégalité, Mr Bodiguel 
  ne lest-il pas tout autant , avec son compère Romain Le Roy??
Faut-il vous rappeler lobscurité entourant lexistence de la société la Nacelle, « acheteuse » de périodes uniquement fermées, qui doit plus de 500 000 euros à la SA RPB, afin de créer des charges impayées à couvrir par les actionnaires enfermés dans le temps partagé ? Faut-il citer dautres sociétés jouant le même rôle, injoignables avec des adresses fausses ? Faut-il rappeler quels documents le CA refuse de donner pour quon comprenne ce qui a été caché derrière la création et lexistence de la Nacelle . réfugiée aujourdhui chez M° Nébot !
Faut-il évoquer le gérant SGRT, dont le président est R Le Roy depuis le 24-11-20) qui fait de la figuration et qui empoche des honoraires, tandis que Clubhotel Multivacances sas (dont le Pdt est R Le Roy depuis le 24-11-20) assume la gestion sans mandat mais en tarifant ses services ?
  Vous écrivez mensongèrement (point 17) que lAG du 18 
  mars devrait renouveler le mandat de la société CLUBHOTEL(dont 
  le Pdt est R Le ROY) pour 6 ans ! Vous accréditez par ce point que 
  la SARL CLUBHOTEL serait la même chose que la SAS CLUBHOTEL MULTIVACANCES 
  (les 2 nayant jamais eu de mandat), confusion que vous avez tenté 
  dinculquer aux actionnaires pendant des années et qui, par un effet 
  pervers, sest inscrite dans votre propre cervelle !! Ces sociétés 
  nont jamais eu de mandat. Il y aurait en outre comme un parfum de 
  conflits dintérêts autour de R Le Roy, également Pdt 
  du CA de SOGIRE !
  En conséquence de nombreux actionnaires, nous, entre autres, ont décidé, 
  avec le soutien de lADCSTP, de suspendre leurs charges tant quon 
  ne leur aura pas expliqué le pourquoi du comment. Point par point.
  Que craindrait une majorité dactionnaires à ce quil 
  y ait une liquidation judiciaire  que vous redoutez ?? Très franchement 
  dites le nous !
  Cest pourquoi nous appelons tous les actionnaires à cosigner cette 
  lettre pour vous dire quil persiste (ou quil commence), à 
  suspendre ses charges tant que tous les documents demandés ne seront 
  pas rendus publics, tant que vous continuerez à semer la confusion, et 
  tant que vous ne rendrez pas publiques les délibérations du CA.
Salutations Pour le collectif des actionnaires de Bellecôte : B Côte.
Nous sommes en cours de constituons d'un collectif pour :
  -consolider les actionnaires s'opposants au CA de la SA RPB 
  - renforcer leur défense 
  - couvrir de suite chacun en cas de poursuites
  - préparer la dissolution annoncée pour fin 2022. 
  Nous reviendrons vers vous pour formaliser votre soutien.
  Dans ce but, 
  A/ Nous adressons le courrier ( en PJ) au CA de SA RPB pour dénoncer 
  de nouveaux abus, veuillez la lire attentivement.
  Vous comprendrez ainsi pourquoi il faut joindre cette lettre au vote pour l'AG 
  2021 en la signant, 
  et opposer à toute poursuite à nouveau cette lettre signée.
  B / Pour le vote à l'AG 2021 nous vous conseillons :
  Points 1 à11 - sauf 2 & 7 -Abstention 
  Point 2 NON on n'abonde pas aux dettes de la Nacelle
  Point 7 NON pas de quitus aux administrateurs qui ne gèrent que pour 
  la survie de la SA et des bonnes périodes
  Point 12 NON c'est manifestement un "cadeau" a ceux qui ont des bonnes 
  périodes, payé par les actionnaires. L'objectif du CA est de couper 
  court à une fronde de ces actionnaires comme a center Parc et de ne pas 
  se les aliéner dans un vote contre la dissolution En bonne gestion ce 
  devrait être équilibré par des recettes ou au moins les 
  baisses de charges induites par la fermeture
  Point 13 NON appel fond de roulement 960 000€ sans justificatifs ! soit 
  4% du budget annuel 
  Point 14 OUI ils ont mis les moyens pour la mise en vente avec le choix de grosses 
  stés spécialisées on peut donc l'accepter (sauf si les 
  dés sont pipés) sous réserve de justification.
  Point 15 Abs ils mettront qui ils veulent, ce n'est pas capital
  Point 16 NON On ne va pas donner des bâtons pour se faire taper dessus 
  !
  , Points 17à 20 NON. Nominations On voit clairement que se constitue 
  une équipe qui a des intérêts pour la vente au mieux de 
  leurs objectifs et ce sont tous de vieux chevaux de retour à la solde 
  de la SA (Prix élevé pour en tirer le max ou très bas pour 
  saisir l'opportunité pour eux ou des comparses ?), 
  On ne pourra pas faire grand-chose contre sinon voter contre pour réduire 
  leur crédibilité (relative)
  Points 22 à 35 OUI même si ça ne sert à rien dans 
  un vote à l'unanimité !
  IMPORTANT : envoyez votre bulletin de vote reçu avec la convocation Directement 
  à l'adresse qu'ils vous indiquent. MERCI
  pour le CA de l'ADCSTP
Rappel: selon la situation de chacun et les lettres reçues, les arguments pour suspendre les charges diffèrent.
  Mais ce qui est commun à tous ceux appartenant à des SCI ou SA 
  dirigées par SGRT ou Clubhotel, est de dire "Je n'accepte pas 
  que la société CHMV (clubhotel Multivacances) qui n'est pas gérant, 
  se permette de faire le gérant dans la société dans laquelle 
  je suis: elle n'est ni mandatée, ni elle n'a été élue 
  pour ce faire, à moins qu'on me prouve le contraire. Je considère 
  donc comme nul et non avenu tout ce qui vient de cette société, 
  qui en plus se fait payer !!!
  Et je suspends mes charges en attendant qu'on m'explique la signification de 
  cette intrusion."
Il faut continuer à imposer cette exigence. On aura bien des nouvelles un jour !!
Nous avons sommé CHMV de nous dire comment elle était mandatée 
  pour s'arroger le droit de jouer au gérant principal: nous n'avons eu 
  aucune réponse. Donc Elle n'est pas mandatée. Elle devrait même 
  être condamnée.
Nous écrivions la lettre ci-dessous le 9-10-20. Aurions nous dû aller en justice ? Nous ne sommes pas accros aux actions en justice. En tous cas nous avions raison car le 24-11-20 Mr Romain Le Roy remplaçait Mr Pages à la SGRT et à SOGIRE.
Pour tous ceux qui ne croyaient pas au conflit d'intérêts c'est 
  une belle démonstration. 
  Mr Pages et les siens se sentent coupables. Ils ont monté une arnaque 
  d'ampleur avec des sociétés fictives qui sentent la mafia.
 
  Nous voulons la dissolution rapide de la SA La Plagne Bellecôte
Nous voulons que tous ceux qui veulent sortir de la SA sortent dans les plus brefs délais
Nous voulons que leurs charges soient effacées ou avalées par la SA, comme cela s'est fait lors de la dissolution de la SCI Moulin de Connelles
.C'est le minimum
  Au maximum nous voudrions que les gangsters rendent gorge !
Le 18-12-20 ADCSTP
le 9-10-20
 Mr le Procureur de la République
  Palais de justice, Place Firmin Gautier38 38 Grenoble
Monsieur Le Procureur
Au nom de tous les actionnaires de la SA La Plagne Bellecôte, la SARPB, lADCSTP porte plainte, à travers sa présidente, contre le directeur de la SGRT, gérant de la SARPB, et contre le Président du CA de la SARPB, qui est la même personne, Mr Philippe Pagès, à propos dun triple conflits dintérêts.
Mr Pages Philippe assume 3 conflits dintérêts à lui tout seul. Il devrait normalement être déchu de toutes ses prérogatives, et rendre compte aux actionnaires de la façon dont il ponctionne largent de la SARPB par le canal de la SGRT, de Clubhotel Multivacances ( CHMV), et du fait dune gestion de la SARPB qui ne peut être que fautive, sous couvert des commissaires aux comptes sous les ordres de la SARPB quil préside.
1) Monsieur Pages prétend représenter, en tant que président 
  du CA de la SARPB, tous les actionnaires de cette SA. 
  Le directeur général de la SARPB est également le même, 
  tandis que la société gérante est la SGRT dont il est aussi 
  président.
Ces deux structures, CA et SGRT de la SARPB n'ont aucune raison d'être des structures antagonistes dans les circonstances actuelles, tant elles sont verrouillées pour ne représenter que les intérêts d'une SGRT au service d'un tiers.
Mais elles ont vocation,dans des circonstances dites normales à 
  représenter des intérêts variés, les demandes 
  des actionnaires n'étant nullement homogènes. 
  La présidence du CA ne peut à la fois porter des revendications 
  hétérogènes des actionnaires auprès de la gérance, 
  et être en même temps le porte parole de la gérance qui fait 
  valoir des intérêts d'équilibre financier distincts de ceux  
  des différents actionnaires.
Il y a là un premier conflit d'intérêt, puisque Mr Pages est le président de tout !.
2)Mr Pagès président du CA  de la  société 
  anonyme la SARPB , possède, à titre personnel, des intérêts 
  qui peuvent  influer sur la manière dont il sacquitte 
  de ses fonctions et des responsabilités qui lui ont été 
  confiées . 
  En effet il est gérant non associé de la Sarl SGRT-SOGIRE (317 454 122 RCS PARIS) 
  qui a un associé unique PV-CP gestion exploitation, qui est une  
  SAS Unipersonnel Pierre et Vacances, qui est son propre maître et engrange 
  les bénéfices de  la SARL SGRT dans le cadre de ses activités.
Mr Pagès doit donc d'abord des comptes à Pierre et Vacances et non pas aux actionnaires. Il ne peut donc représenter les actionnaires.
3)Mr Pagès Président et gérant de la SGRT, délègue de fait la plus grande partie de ses prérogatives, sans vote, dans toutes les SA ou SCI de temps partagé, à la SAS Clubhotel Multivacances (CHMV) (309 020 402 RCS PARIS) dont il est également le gérant, qui a aussi comme actionnaire unique PV-CP et qui engrange des bénéfices très importants au profit de cet actionnaire unique.
Mr Pagès doit donc des comptes à PV et non aux actionnaires, 
  par l'intermédiaire de cette SAS CHMV qui est le partenaire le plus privilégié 
  de PV-CP, bien plus que ne l'est la SGRT.
  Mr Pagès doit donc d'abord des comptes à Pierre et Vacances et 
  non pas aux actionnaires. Il ne peut donc représenter les actionnaires.
Pour toutes ces raisons, Mr Pagès devrait être démis de toutes ses fonctions, il doit expliquer comment il fait transiter des flux dargent (des locations ? De diverses factures ??) des différentes SA et SCI, par le biais de sociétés dites de gestion vers Pierre et Vacances ; et les différents commissaires aux comptes doivent expliquer pour quelles raisons ils nont jamais rien dit sur cette situation plus quétrange, qui jette un doute sur la probité des comptes du temps partagé.
  Le 5-10-20 AM Chartier pour lADCSTP
Toutes les pièces sur lesquelles sappuie cette lettre sont disponibles sur demande.
Nous avons découvert que la SARL La Nacelle, fortement débitrice auprès de la SA était une société très probablement fictive créé par Pierre et Vacances/Mr Pagès, en vue de valoriser les mauvaises périodes, générer des charges, des services (rétribués de façon cachée), et des provisions assumées par les actionnaires depuis des années. M° Nébot abrite chez lui cette société appelée SCI dans les comptes et dans le dernier fichier de la SA Bellecôte.
Nous avons rédigé une lettre de 4 pages très détaillées sur ce problème (vous pouvez nous la demander)
Nous demandons des explications et des documents et nous nous proposons d'assigner en justice le gérant dès que la situation nous le permettra.
Le 14-12-19
La SGRT a alors créé des sociétés fictives autour des années 2010 mais peut-être avant, pour gérer les périodes fermées ou mauvaises, faire générer des charges même infimes afin de pouvoir les provisionner et reprovisionner, pour les faire payer aux actionnaires ..
Voici ces sociétés dont nous navons pas les cessions dactions, lesquelles seraient indispensables.
a) la SA La Nacelle, qui va figurer au fichier de la SARPB sous le nom 
  de SCI La Nacelle, achète le 7-2-2006, 4087 actions (jugement du TGI 
  de paris du 6-9-2011) qui au fichier ne représentent que des périodes 
  fermées ou nulles.. Soit 5 % du capital social de la SARPB (lhistoire 
  de cette société est racontée ailleurs)
  Nous savons qu à la même date la SA la Nacelle achète 
  3452 parts à la SA St Jacques La Plagne. Soit 7,65 % du capital 
  social . (lettre la Plagnemulti du 25-1-2013)
  Cette société est purement fictive, elle ne payera jamais ses 
  charges, ni à Bellecôte ni à St Jacques, elle est faite 
  pour valoriser des périodes nulles et reprovisionner les dettes pour 
  les faire payer aux actionnaires. UNE PURE ESCROQUERIE ; Actuellement elle 
  est domiciliée chez M° Nébot (cf fichier de la SARPB 2019)
b)Actions voyages, adresse qui nexiste pas au 30 rue Alexis Drappier 
  chez Perrin Claude, 92370 Chaville. Elle possède 89 actions mauvaises 
  au fichier de la SARP de 2019. 
  Débitrice
c) REVE EVASION VACANCES adresse qui nexiste pas au 12 rue Pernelle, 
  chez Mizon et Thoux, 75004 Thoux . Elle possède 87 actions mauvaises 
  en 2019.
  Débitrice
d)TIME VACANCES, adresse fausse à 66 Av Champs Rlysées, 
  Galerie Point Show, Paris 8ème. Elle possède 227 actions, dont 
  120 bonnes
  Débitrice
e) Horizons lointains ( Callao Garden , Callao Salvaje à Adeje 
  38670 Tenerife). Impossible de savoir si ladresse est bonne. On connaît 
  Callao Garden ; cest probablement une boîte aux lettres.
  Elle possède 79 actions mauvaises
  Débitrice
f)Somedive, est une enseigne de BNC Investissement, chez Lesnier, avec 
  une adresse qui nexiste pas au2/4 Av du Château 94000 Vincennes,
  Elle possède 95 actions toutes mauvaises
  Débitrice
g) Soc Faulkner Trading, adresse invérifiable 28 City Hill Lane, 
  Gibraltar. Elle possède 128 actions dont seulement 45 bonnes. 
  Fait intéressant, dans lappel à lAG 2020 p 25, il 
  est signalé que cette société sest vue revendre, 
  en vente forcée, 8 actions d une bonne période (mars) pour 
  1800 euros. 
  Cela signifie que la société est débitrice. Cette somme 
  de 1800 euros est-elle allée en débit des sommes dues ? On 
  le saura si la SARPB, après le référé actuellement 
  bloqué, donne ses listes de débiteurs. 
(Vous devez corriger ce modèle selon la nature de votre cas )
Mr et Mme 
. le 
...
  Adresse
  périodes
Lettre RAR à l'adresse suivante: la SARL Bellecôte La Plagne, 
  dont le gérant est la SGRT
  à Macôt la Plagne 73240 La Plagne Tarentaise, ou plus sûr 
  : 11 rue de Cambrai Paris 19ème.
 Monsieur
  Nous avons reçu un appel (ou un rappel) de charges de la part de CLUBHOTEL 
  MULTIVACANCES ou CHMV, société qui na rien à faire 
  à la Plagne et dont je ne veux plus voir le nom apparaître dans 
  un quelconque courrier. Vous êtes prié de refaire vos courriers 
  avec le seul nom du gérant : la SGRT.
Si la SGRT fait appel à cette société, nous voudrions savoir au nom de quoi : quelle nous présente un contrat de services précis
-Par ailleurs nous apprenons avec surprise que lavocat de la SGRT abrite 
  une société escroc (comment dire autrement) qui devrait à 
  la SARPB, selon le dernier appel à lAG de 2020n plus de 500 000 
  euros de charges, sans jamais être inquiétée par la justice ????
  Il ne faudrait pas que cet avocat se mêle de vouloir me faire un rappel
.Je 
  vous prie de faire en sorte que plus personne de Bellecôte nair 
  à faire à lui.
-Nos périodes sont mauvaises (soit fermées, soit non louables, 
  ou non échangeables) et ne rapportent pas de loyers, ou rapportent des 
  loyers tellement faibles que cela ne peut couvrir les charges. Cest vous 
  qui en avez décidé ainsi.
  Il y a donc rupture de contrat, moquerie, ou cynisme
 de votre part car 
  nous ne voulons plus ces périodes depuis longtemps et nos courriers à 
  cet égard sont demeurés sans réponse.
-Vous ne devez en conséquence plus réclamer de charges pour des périodes qui ne valent rien et dont on ne peut se séparer
-Enfin dans lappel des charges présenté par CHMV le côté droit de lappel est incompréhensible. Vous êtes prié de présenter des factures claires et sans ambiguïté.
Au total tant que tous ces points ne seront pas éclaircis, nous décidons de suspendre nos charges. Nous bénificierons pour ce faire de lappui de lADCSTP.
Recevez nos salutations.
Chers actionnaires,
  Vous voulez sortir du système de racket que constitue le temps partagé, 
  mais la loi ne le permet pas facilement sauf dans des cas très restreints 
  (lois de 2009 et 2014) interprétés au plus juste par la justice 
  qui prétend " protéger l'équilibre économique 
  des SA ou SCI ", mais en réalité qui veut protéger 
  les honoraires du vautour Pierre et Vacances, actionnaire unique, de la SGRT 
  sarl et de Clubhotel Multivacances SAS, qui ponctionnent des frais de services 
  très importants sur les charges des SA nommées ci-dessous, par 
  l'intermédiaire de Mr Pages, président de la SGRT sarl et de Clubhotel 
  Multivacances SAS , et également Président des CA de la SARPB 
  (Bellecôte La Plagne) et de la SA Emeraude (La Plagne)
oups ! 
  Les honoraires fantastiques prélevées dans les SA au profit des 
  gérants se répartissent entre Mr Pages, les sociétés 
  gérantes et Pierre et Vacances ! (Nous avons aujourd'hui des documents 
  qui le prouvent)
Outre ce qui précède, assez indigeste pour un estomac sensible, 
  et surtout une âme sensible qui croit en l'honnêteté, nous 
  vous redonnons une information qui pourra vous permettre, en plus de tout ce 
  que nous vous avons transmis, de différer le paiement de vos charges, 
  parce que ces deux SA sont sous le coup d'un conflit d'intérêts.
  Ainsi, selon les statuts ( l'art 24 des statuts (Bellecôte) et 41 pour 
  Emeraude), le Président du CA de votre SA peut faire appel à un 
  syndic ou gérant pour la gestion de la société. Donc Mr 
  Pages a le droit de faire appel à un syndic ou gérant pour l'aider 
  dans sa tâche énorme de ponctionner les SA au profit de son chef 
  Pierre et Vacances. 
  C'est ainsi qu'il a fait appel à des sociétés gérantes 
  SGRT sarl et Clubhotel Multivacances SAS, dont il est lui-même Président.
  Autrement dit il a fait appel à lui-même dans les deux cas. 
  Est-ce légal ? On ne parvient pas à le savoir, mais c'est fort 
  choquant, et cela montre que les actionnaires de ces deux SA sont manipulés 
  et grugés par un CA à la botte de Mr Pagès et de Pierre 
  et Vacances (les membres de ces CA sont tous des copains-coquins de Pierre et 
  Vacances). 
Plus précisément, Mr Pages se concerte avec lui-même pour 
  faire appel à lui-même dans la gestion de ces SA.
  .
  Mr Pagès tente donc d'acculer les actionnaires à payer des charges 
  pour des périodes fermées, statutairement ou de fait, non louables, 
  non échangeables, invendables, et si possible pour d'importants travaux 
  de rénovation, et ceci en toute légalité apparente, en 
  demandant des honoraires fantastiques. 
  Vous avez le droit de contester cette pseudo légalité en disant 
  qu'en l'absence d'éclaircissement sur cette situation, vous différez 
  le paiement de vos charges (en plus de tous les autres textes proposés). 
ADCSTP le 22-10-19
La SA Résidence La Plagne Bellecôte est une société 
  anonyme et non une SCI, comme le sigle SA l'indique.
  Elle n' a pas un conseil de surveillance mais un conseil d'administration avec 
  de vrais pouvoirs, et le Pdt du CA est en fait le gérant
  Il y a une grosse anomalie dans ce qui suit:
Philippe Pagès est Président du CA La Plagne Bellecôte 
  (il est PDG de plus de 16sociétés)
  
  SGRT est administrateur du CA, or c'est une, société d'administration 
  de biens dont le PDG est Pages
  
  Clubhotel Multivacances , est administrateur du CA, (représenté 
  par Romain le Roy) administrateurs d'immeubles dont le PDG est Pagès
(tous domiciliés 19 rue de Cambrai à Paris..... tous les mêmes)
  
  Suivent 9 autres actionnaires pour administrer le CA
  
  Donc Pagès est représenté 3 fois, sachant que tout ce qui 
  est clubhotel est lié à Pierre et Vacances
  
  D'après les statuts les 3 premiers ne peuvent représenter des 
  actionnaires.....mais rien n'interdit qu'ils aient des actions.
Il y a là des cumuls de fonctions et des "CONFLITS D' INTERET"
Ce sont ces personnes qui détiennent le pouvoir de dépouiller les votes tout seuls, comme des grands.... et de truquer les comptes
En dehors des arnaques légales que nous infligent les SCI, SCA, SA du temps partagé sous la houlette de Pierre et Vacances, selon la loi de 1986 révisée par les lois de 2009 et 2014, on ne peut supposer en règle générale qu'il puisse y avoir en France des arnaques du type de celle qui existent en Espagne, par ex, ou au Maroc, ou en Crète.
Eh bien, il existe encore en France quelques sociétés qui disent agir pour la "revente" de semaines du temps partagé, et ceci depuis la présence de C Pambouc en France.... Mais c'est peut-être un pur hasard.
Exemples:
-En 2018: une personne est sollicitée par une certaine Sandra MARCEAU faisant partie de la société" SERVICE FRANCOPHONE TCA", 40 avenue FOCH Paris 16° (Tél : 0977552837) et qui aurait des clients pour racheter du "temps partagé".....
Qunatité de gens ont été harcelés par ce n° de téléphone français: il faut porter plainte.
Or ni l'adresse, ni le téléphone ne correspondent à quoi que ce soit. La société n'existe pas.
En 2019 la dame semble avoir disparu.
D'autres sociétés ont tenté le coup d'offrir des voyages pas chers en Espagne à partir de la France. Nous les avons prises en chasse et nous avons même eu un procès que nous avons gagné !
"Nous avons connu Média Concept il y a plus d'un an. Monsieur Lebrun nous a contactés au sujet de la revente de notre semaine à CG en Espagne. Il nous a proposés ses services en tant que salarié de Media Concept, 55 rue Baraban à Lyon.....
La proposition (orale) était la suivante:
-inscrire notre semaine sur son planning afin de la proposer à la revente auprès des comités d'entreprise, très portés, selon ses dires, en ce moment sur ce genre d'achat.
-la vente peut se faire à deux vitesses: 12000 euros ou 15000 euros. Le délai de rachat prévu est d'environ 3 mois.
Il faut donner au départ 1800 euros pour couvrir les frais de la transaction
Devant mon peu d'intérêt pour ce système (par manque de moyens financiers), Mr Lebrun m'a proposé, soit 900 euros pour solde de tout compte, ou bien deux fois 600 euros à un mois d'intervalle, précisant que son patron était prêt à faire cet effort... et ajoutant que 95% des personnes pouvaient payer 1800 euros.
Nous avons son appel téléphonique environ tous les deux mois avec de nombreuses discussions à la clef; Ma proposition était de vendre d'abord et payer ensuite la transaction sur le vente. Ce n'était bien sûr pas possible. Ce monsieur était très heureuux que nous ayions payé nos charges car selon ses dires, il n'y aurait eu aucune possibilité de revente.
Je suis acteullement sur le point de payer à nouveau mes charges. Mr Lebrun me l'a déconseillé car certainement la revente allait intervenir très rapidement.......
Il m'a également précisé qu'il y avait chaque année 3 salons où les Comités d'entreprise faisaient leur marché......."
Cette personne B qui nous a fait une lettre, n'a jamais pu obtenir un seul document écrit de la part de Média Concept.
Nous laissons le lecteur faire le compte des incohérences qui pécèdent.
A titre personnel, j'ai acheté dès le début, en 1984-1985, 2 périodes de 15 jours en avril. Je me suis très vite rendu compte que cet "investissement" n'était pas valable, en particulier, comme vous le soulignez vous-mème, pour les détenteurs de parts hors période d'été. Nous finançons les travaux mais nous n'avons aucun retour sur investissement. C'est Pierre et Vacances le principal bénéficiaire. Nous sommes piégés par un système qui nous est complètement défavorable. Nous avons du mal à louer nos périodes. Nous ne pouvons pas vendre. Cela fait 10 ans que je renouvelle des mandats de vente, sans n'avoir jamais eu aucun contact. Comme toutes les personnes comme nous qui arrivons à un certain âge, et nous sommes nombreux dans ce cas, nous ne pouvons pas pas vendre nos périodes. Les frais sont trop élevés. Quand vous arrivez à louer, ce qui est rare, le produit de la location ne couvre pas les frais.
En ce qui concerne les élections des membres du Conseil de surveillance, ceux qui ont de"bonnes semaines" sont très largement représentés. J'ai été longtemps élu et j'étais le seul représentant des "mauvaises" périodes. Maintenant il n'y a plus personne.
Que faire? Peut-on intervenir pour modifier la loi? Je soutiens votre démarche en ce sens. Il faut certainement s'unir.
 mars 2016
  
  Vous êtes nombreux à avoir naïvement demandé à 
  sortir de la SA Bellecôte de temps partagé par la voie d'un vote 
  à l'unanimité en AG. C'est en fait le législateur qui a 
  inventé cette potentielle issue, en sachant bien que dans une SA de plus 
  de 100 actionnaires, une telle unanimité n'existe jamais. 
  Vous avez-vous-même constaté en lisant les PV des AG qu'il n'y 
  a jamais cette unanimité, parce que c'est une hypothèse impossible.
Pour sortir du piège de cette SA, il vous reste la voie judiciaire (revenus 
  équivalents aux minima sociaux, ou grave maladie lois 2009 et 2014), 
  ou la voie notariale si une partie de l'indivision hérite de cette " 
  précieuse " chose qu'est le Temps Partagé
. Mais là 
  encore des pièges vous attendent.
  Nous avons donc décidé de vous informer et de vous aider à 
  vous préparer à sortir de l'indivision dans les meilleures conditions 
  possibles, lors d'un décès. 
  Nous observons dans un dernier appel à une 'AG de Bellecôte qu'il 
  y a 7 actionnaires qui sont sortis par jugement. Cela ne concerne certainement 
  pas des héritages qui doivent être traités par la voie du 
  notaire. 
  Parmi ceux d'entre vous qui sont en indivision, .vous êtes donc plusieurs 
  héritiers potentiels d'actions, donnant droit à un temps partagé 
  à Bellecôte. En cas de décès de l'un d'entre vous, 
  il n'est pas évident que les autres puissent facilement se prévaloir 
  de la loi qui permet, deux ans après le décès, de se retirer 
  d'un temps partagé, sauf si un seul d'entre vous possède toutes 
  les parts, ce qui est le meilleur des cas possibles.
  En effet, au second décès d'un couple possesseur d'actions, en 
  présence de plusieurs enfants, si rien n'est fait, les héritiers 
  se retrouvent porteurs d'une fraction des actions et ne pourront profiter de 
  la loi de sortie sur succession. Ils seront deboutés au prétexte 
  qu'ils ne representent qu'une fraction des actions et qu'elles sont indivisibles. 
  (si elles sont indivisibles, , il n'y a pas de fractions d'actions.....!!)
  Ceci implique, que dans le cas le plus fréquent d'un couple , le regroupement 
  des parts sur une seule tête ne peut se faire qu'apres le premier décès 
  et impérativement avant le second.
Nous vous donnons un exemple concret que nous avons sous les yeux :
  -un couple achète, en 1980, 30 parts, ensemble. Ils possèdent 
  chacun 15 parts mais celles-ci ne sont pas divisibles selon tous les statuts 
  du temps partagé . Aucun d'eux ne peut se séparer de ce qui lui 
  revient. Sauf s'il était écrit : la semaine X revient à 
  Madame pour 15 parts, et la semaine Y à Monsieur pour 15 parts
 
  
  Ce couple a 4 enfants.
  Le mari meurt en 2000. Les 4 enfants et la mère héritent ensemble 
  de 15 parts, tandis que la mère est déjà propriétaire 
  de 15 parts. ( régime de la communauté )
  Les enfants et la mère ne peuvent renoncer à ces 15 parts dont 
  ils viennent d'hériter, en vertu de la loi de 2009, car elles ne sont 
  pas séparables des autres 15 parts, que possède la mère. 
  Et celle-ci ne peut renoncer à ses 15 parts dont elle est propriétaire 
  depuis 1980.
  C'est le piège auquel " n'ont pas pensé " les auteurs 
  de la loi, si tant est que ces gens aient pensé quelque chose en matière 
  de réalité vécue ou encore on peut penser que le lobby 
  immobilier du Temps Partagé (TP) a bien guidé la plume du rédacteur 
  ! C'est un piège qui s'ajoute au piège supporté par les 
  parents qui, au cours des 20 ans de 1980 à 2000, avaient déjà 
  constaté qu'ils ne pouvaient sortir de la SA (actions invendables).
  La seule solution est donc de préparer l'indivision à sortir dans 
  les meilleures conditions le moment venu ( au second décès des 
  parents ).
  Il convient donc qu'un membre de l'indivision (logiquement, le plus âgé 
  ) achète toutes les actions de façon fictive, afin qu'à 
  son décès, les héritiers ne soient pas face à une 
  situation où l'un d'entre eux ne pourrait être héritier 
  à égalité avec les autres, parce qu'il possèderait 
  déjà des actions
 
  Dans l'exemple cité, les enfants doivent vendre fictivement leurs parts 
  à leur mère dans les plus brefs délais.( le père 
  étant décédé ) 
  Vous voyez que la manoeuvre est délicate car elle doit être réalisée 
  après le premier décès et ne sera effective qu'au second 
  décès .
  Evidemment cette unique solution juridique exige l'entente de l'indivision, 
  au moins sur un seul point, se séparer de ces actions d'un seul coup. 
  Pour faire cette vente fictive, et établir un document officiel de celle-ci, 
  il faudra passer par un avocat, de préférence bien au fait de 
  la question du TP afin d'éviter les pièges spécifiques 
  à chaque indivision ( aussi, nous proposons notre avocate qui , de plus, 
  pratique des tarifs modestes, mais vous pouvez vous adresser à n'importe 
  quel avocat ). 
  
  Dans la pratique , chaque indivision est confrontée à ce type 
  de problème. 
  Amicalement à vous 
  La Pdte de l'ADCSTP
  
Qui est M° Nébot ?
  Une dame X s'adresse à lui par mail le 13 février 2018:
  " Ma tante âgée de 82 ans m'a demandé de vous contacter 
  car elle possède un appartement au Clubhôtel de Bandol Port en 
  temps partagé de 3 semaines en janvier.
  Or depuis le décès de mon oncle il y a un an, et devenant elle-même 
  âgée, elle ne peut plus s'y rendre, et elle souhaiterait donc le 
  vendre.
  Elle a essayé de louer la période pour l'aider à payer 
  au moins les charges mais en vain.
  Ne pouvant obtenir d'informations précises de la part de cet organisme, 
  je me permets de vous contacter au sujet des questions suivantes :
  Que se passe-t-il si le propriétaire ne peut plus payer ses charges ?
  Qui décide de la mise en vente du bien aux enchères (est- ce le 
  propriétaire ou l'organisme ?)
  Et si le bien n'a pas été vendu aux enchères à qui 
  appartient-il alors ? "
Réponse de M° Nébot
  (M° Nébot est incapable, en tant qu'avocat, de dire quoi que ce 
  soit sur les questions posées, même pas d'orienter la personne 
  sur les lois de 2009-2014
..)
Chère Madame.
  Je suis en charge des intérêts de la société d'attribution 
  CLUB HÔTEL BANDOL PORT et à ce titre je ne peux conseiller des 
  parties qui pourraient avoir des intérêts différents.
  Il s'agit de l'application de mes règles déontologiques.
  Il nous appartient de consulter un autre avocat.
  Cordialement.
La dame naïve stupéfaite insiste, Réponse de M° Nébot
  Chère Madame.
  Je ne donne de conseils juridiques qu'à mes clients.
  Or, pour des raisons que je viens d'exposer, vous ne pouvez pas être mon 
  client.
  Cordialement.
M° Nébot dit franchement de quel côté il se situe. Il ne peut pas donner de conseils juridiques à des personnes qui sont susceptibles d'être en désaccord avec le gérant de leur société DU FAIT DE LEUR POSITION DE VICTIME ; Autrement dit le gérant a des intérêts antagonistes avec ses propres clients PAR NATURE.
M° Nébot est l'avocat de la SCIA REGENCY dirigée par un escroc international Diamond Resorts :IGR Mougins
1)L'affairede Mr L, où il est question de son retrait (pour raisons graves de santé) de la SCI Regency, se trouve avoir été portée devant le TI en 2015 suite à une injonction de payer ses charges
Le TI se déclare incompétent le 21-11-2016. L'affaire est portée devant le TGI
2)Le 29-11-2016 a lieu une vente forcée de parts de la SCI Regency 70 rue Jouffroy d'Abbans à Paris 17ème, en présence de l'huissier Aulibey, et de l'avocat Nébot lequel procède aux enchères en présence de Diamond Resorts et IGR Mougins
Mr L a le pressentiment que ses parts vont être vendues. L'avocate de L ne reçoit aucune information de la part de Nébot.
Les parts de L sont vendues au prix de 124,5 euros (lettre de l'huisier Aulibey 
  du 27-12-2016.)
  Donc L n'est plus membre de la SCI Regency
  Ceci n'est pas communiqué à L qui ne sera mis au courant qu'en 
  janvier 2018, soit plus d'un an après....
3) Le TGI se déclare compétent pour juger du retrait de L de la SCI de Regency le 19-12-2016, et dit que l'affaire sera plaidée le 16-1-2017. En présence de M° Nébot qui dépose son dossier
4) L'affaire est plaidée le 16-1-2017. Nébot plaide contre le 
  retrait de L et demande condamnation !!!!
  La juge refuse la sortie de L de la SCI Regency
5) Appel est formé courant 2017 par l'avocate de Mr L. Les conclusions sont déposées par M° Nébot le 19-12 2017, alors que Mr Lopez n'a plus ses parts. Nébot se tait et laisse faire.
6) Le 12 -1-2018, grâce à la ténacité de L qui tempête tout seul et menace de porter plainte devant le Procureur de la République , reçoit un mail de la SCI qui l'informe que ses parts sont vendues depuis plus d'un an par l'intermédiaire de l'huissier Aulibey.
C'EST UN AFFREUX SCANDALE QUI MONTRE LE J'MENS FOUTISME DE AULIBEY et NEBOT, 
  LE MEPRIS DE CE DERNIER vis-à-vis des associés et de la justice, 
  SON SOUCI EST DE GAGNER DE L' ARGENT AVANT TOUT. 
  NOUS DISONS TOUT NET QUE CES GENS SONT DES VOYOUS, et QUE LA SCI REGENCY EST 
  DIRIGEE PAR DES VOYOUS . 
Nous espérons que lors de l'audience en appel, car elle aura lieu, Mr et Mme L obtiendront un maximum de dommages-intérêts pour l'angoisse permanente qu'ils ont vécue pendant plus d'un an, alors que nous (l'ADCSTP et M° Santoni) étions persuadés que ces parts ne pouvaient être vendues, étant donné le silence de Nébot.
Attendons- nous à tout de la part de cet avocat véreux!
......
Nous venons de recevoir en février 2018 les conclusions de M° 
  Nébot dans cette affaire en vue de la procédure en appel pour 
  2018....Il fait comme si Mr L était toujours associé à 
  Regency alors qu'il a lui-même fait procéder à la vente 
  de ses parts, et il demande 4500 euros de dommages intérêts.
  Ou Nébot est fou, ou son cynisme n'a pas de limite. Cette moquerie vis 
  à vis de Mr L et du tribunal lui coûtera cher, nous l'espérons
ARNAQUE N° 2 : FABRICATION D' UN FAUX ET USAGE DE FAUX
SCI Les Deux Alpes: La gérance d'une des deux SCI des Deux Alpes invente une cession de parts à partir de documents qui figurent dans un dossier d'héritage.
Dans toutes les SCI, le nombre d'associés qui parviennent à ne 
  plus payer leurs charges est considérable, et ceci malgré les 
  assignations.
  Or les SCI ont besoin de faire assigner les associés à tout prix, 
  espérant récolter plus d'argent auprès des associés, 
  qu'elles n'en donnent à l'avocat Nébot...
  Comment faire dès lors, quand on n'a plus assez de cessions de parts 
  sous la main, ou quand on ne peut plus prouver l'existence d'une cession de 
  parts, parce que la simple bonne gestion n'a pas existé, ou que les vendeurs 
  foireux de Maeva et Clubhotel n'ont pas gardé les doubles de leurs ventes...?
  Il faut donc inventer, fabriquer....
Lors des décès d'associés, Clubhotel a l'habitude de mettre le nez dans les documents des notaires qui préparent les héritages en notant soigneusement les parts de SCI de temps partagé... (rares sont les notaires honnêtes et un peu futés qui évitent avec prudence des liens avec les gérants des SCI Clubhotel, et ne notent pas les temps partagés car ils n'ont aucune valeur).
Les documents d'héritages sont des trésors de guerre pour ces gérants. En effet on y trouve l'évocation de SCI, propriétés immobilières, qui feraient bien l'affaire, pour prouver une invention nécessaire de parts de SCI de temps partagé
C'est ainsi que dans un jugement de 2013, on trouve écrit par un juge 
  que X possède ", une cession de parts dans la société 
  civile de Doulon les Perrines" ce qui suffit à prouver que X possède 
  bien une cession de parts..... dans la SCI Les Deux Alpes......! Pourtant Doulon 
  Les Perrines ça n'est pas les Deux Alpes !!!
  Le raccourci est un peu tiré par les cheveux, mais qu'à cela ne 
  tienne... puisque cela passe auprès du juge, et le tour est joué, 
  l'associé en question se trouve affublé d'une cession de parts 
  inventée...qu'il considère avec effarement. 
  De quoi s'agit-il ? 
  Il s'agit bien d'un document de cession de parts trouvé dans les archives 
  d'un héritage datant de 1961 dans une SCI de Doulon Les Perrines...... 
  mais en Loire atlantique, n'ayant rien à voir avec le temps partagé..... 
  
  Quand il sera prouvé que c'était peut-être une bévue, 
  il va falloir chercher autre chose
Comment appelle-t-on cela ? C'est bien la fabrication d'un faux, et son utilisation.
  Peut-être qu'une autre fois on pourra faire encore mieux ? C'est bientôt 
  qu'on va le savoir. 
M° Nébot a bien vu de quoi il s'agissait. Cela l'a-t-il gêné ? Apparemment nullement.
  ARNAQUE N° 3 : PRODUCTION D'UN FAUX
  La SCI CLUB Expo1 fabrique un faux par l'intermédiaire d'une attestation 
  de propriété inexistante. M° Nébot acquiesce et ne 
  se désiste pas quand on lui met sous le nez qu'un enfant de 7 ans n'achète 
  pas des parts de société. La cession de parts n'a pas été 
  produite.
JUGEMENT 
  AU TGI, 1ère Chambre,
  JUGEMENT RENDU LE 15 Décembre 2016
  N° R.G. : 15/11291
  DEMANDERESSE
  S.C.I. CLUB EXPO 1,
  représentée par sa gérante la SARL CLUBHOTEL,54, Avenue 
  Marceau, 75008 PARIS
  représentée par Maître Jean-claude NEBOT de la SELASU NEBOT 
  AVOCAT, avocats au barreau de PARIS, vestiaire : C1020
  DÉFENDEUR : Monsieur F
. L
..
  EXTRAITS :
..
  " Par assignation en date du 1er septembre 2015, la société 
  civile immobilière d'attribution Club Expo 1 a fait citer M. F L devant 
  le tribunal de grande instance de Nanterre pour obtenir sa condamnation à 
  lui payer la somme de 18.845,86 euros au titre des appels de charges d'associé 
  selon décompte du 17 mars 2015, correspondant à 5 exercices sociaux. 
  (faux, comme toujours, 5 exercices correspondent à une somme bien moindre
 
  mais c'est la méthode Nébot)
  
  Il y a lieu également de constater que M. L
.. a fait adresser, 
  dès le 10 septembre 2015, par la présidente d'une association 
  de consommateurs de semaines de vacances en temps partagés (ADCSTP) au 
  conseil de la société demanderesse, un courriel faisant observer 
  que " C'est la première fois que nous voyons un individu qui aurait 
  acheté rien moins que 5 périodes à l'âge de 7 ans 
  à la SCI Club Expo 1, avec une attestation de propriété 
  bidon " accompagnée d'une photocopie de sa pièce d'identité.
  Il résulte en effet de l'attestation de propriété produite 
  aux débats par la SCI Club Expo 1 pour fonder sa demande que M. F L aurait 
  acquis des parts de ladite société le 15 novembre 1979. Or, le 
  défendeur à la présente instance est né le 19 mai 
  1972.
  Au vu des éléments communiqués par le défendeur 
  avant même la première audience de conférence, qui rendait 
  invraisemblable que la personne assignée puisse être le titulaire 
  des parts en cause, la SCI Club Expo 1 aurait dû se désister de 
  son instance, ce qui aurait évité ainsi au défendeur d'exposer 
  des frais pour être représenté devant le tribunal.
  (La SCI Club Expo 1 présente donc une attestation de propriété 
  qui n'a aucune valeur légale. Les juges ne demandent pas, par simple 
  curiosité, à partir de quelle cession de parts une telle attestation 
  de propriété a pu être construite
 Mr L
. pense 
  que c'est au cours d'un séjour dans une location Pierre et Vacances que 
  ses coordonnées auraient pu être récupérées
  On remarquera que M° Nébot de suggère pas à la SCI 
  de se retirer de la procédure en constatant que l'attestation est un 
  faux
)
  
.. ;
  (La juge demande 2000 euros d'indemnité qui couvre tout juste ce qu'a 
  coûté la procédure
 Elle le sait)
  
 ;
  " En revanche, la méprise de la société demanderesse 
  sur l'étendue de ses droits ne fait pas en elle-même dégénérer 
  en abus son droit d'agir. Faute d'établir une faute constitutive d'un 
  tel abus, la demande de dommages et intérêts pour procédure 
  abusive doit donc être rejetée ".
  (Donc ça n'est pas un faux, c'est juste une méprise, et il n'y 
  a pas d'abus de droit, même si la procédure a été 
  maintenue par M° Nébot qui n'a pas voulu se désister au nom 
  de la SCI Club Expo
.) 
En soi, la saisie d'un compte n'a rien d'une arnaque et est parfaitement légale, 
  si on a épuisé les moyens de faire payer le débiteur. 
  Ce qui est illégal c'est d'aller droit au but, à savoir la saisie 
  du compte, alors que tous les moyens de discussion n'ont pas été 
  utilisés, et que la personne a écrit qu'elle allait payer. 
  Dans ce cas l'adversaire doit chercher un arrangement..Or ce qui se passe actuellement 
  est le blocage systématique des comptes sans discussion, et le prélèvement 
  bien au-delà de ce qui est nécessaire pour recouvrer la créance, 
  à savoir des frais qui parfois se montent à près de 1000 
  euros....Il y a abus de prélèvement. Ceci vient d'être fait 
  par M° Aulibé, huissier, sur ordre de M° Nébot, et de 
  la SCI ou SA. 
  Et ce qui est également sidérant est le comportement de cet huissier 
  qui, avons-nous remarqué, n'aime ni les pauvres, ni les victimes du temps 
  partagé, ni les gens malades, ni les femmes, ni les vieilles dames, et 
  traite cet ensemble comme on traite des voleurs, en toute légalité, 
  temps partagé oblige
.
La spécificité de la saisie des comptes est qu'elle s'applique 
  dès lors qu'il y a eu une signification de jugement, sans aucun délai. 
  Sur requête de la SCI ou SA, sur la base de ce qu'indique l'avocat de 
  ces dernières. L'emploi de la saisie comme méthode pour se faire 
  payer, en s'adressant à un avocat sans principe, relève du bon 
  vouloir de ce dernier " Ah oui, vous discutez ?? Très bien
. 
  ". Et voilà la saisie. En outre M° Nébot, dans les affaires 
  connues, demande toujours le paiement des charges bien au-delà de ce 
  qui est légal, c'est-à-dire 5 ans, en prétendant mensongèrement 
  dans ses conclusions qu'il s'agit des 5 derniers exercices. Et il y ajoute, 
  au profit de la SCI ou SA, ou de lui-même, quantité " d'amendes 
  " diverses, exactement comme EDF, GDF, la SNCF.. se permettent de le faire..
  Mais ces prélèvements restent légaux même s'ils sont 
  abusifs 
Par exemple, une dame âgée de plus de 90 ans (qui doit naturellement être considérée comme une escroc puisqu'elle rechigne à payer ses charges de temps partagé ) vient de se voir bloquer 15000 euros sur son compte par le compère Aulibé, alors que la somme à devoir, selon les critères mêmes de M° Nébot, était de l'ordre de 2000 euros et avait été acceptée par la victime
Très rarement les voleurs et escrocs du temps partagé, impliqués dans des procédures, n'ont eu leurs comptes bloqués par de telles méthodes. Dans la hiérarchie du temps partagé, les victimes sont, par définition, au bas de l'échelle de la justice. Les vrais escrocs sont plusieurs échelons au-dessus, et quand ils sont condamnés par un tribunal à rembourser, le juge de l'exécution les laisse, la plupart du temps, partir à l'étranger (comme Christine Dricot de Stratégie Conection) , se moque de savoir comment le prévenu rembourse ou ne rembourse pas. Il ne répond plus à aucun courrier .
Dans un autre cas, des membres d'une indivision se sont vus bloquer leurs comptes après un jugement, alors qu'ils avaient annoncé qu'ils allaient payer mais avec des délais. L'huissier a fait saisir des sommes représentant tous les prélèvements auxquels il a théoriquement droit à savoir un bon tiers en plus de la somme réclamée par le tribunal.
Comment un huissier gagne sa vie ? Par les prélèvements auxquels il a droit en théorie, lorsque la victime est de mauvaise foi. Il fait toujours comme si celle-ci était de mauvaise foi !
Al'intérieur des charges à payer, il y avait des charges concernant des périodes fermées statutairement à La Plagne Bellecôte.
Un récent jugement vient d'entériner ce fait à Tignes Interésidences La période de juin a été fermée par un vote en AG. Le juge accepte que la personne qui demande son retrait pour justes motifs s'en aille puisque la période est fermée, mais les charges sont dues... pour cette période fermée ! Clubhotel et Pierre et Vacances ont nettement innové sur l'art de gagner de l'argent frauduleusement, et la justice entérine.
La moralité de Clubhotel Multivacances et de son avocat Nébot s'épanouit en ce moment dans la demande de charges pour des périodes fermées : soit des périodes fermées statutairement comme à la Plagne Bellecôte, soit des périodes qui ont été fermées par décision d'AG comme à Tignes Grande Motte, soit des périodes se situant dans des stations de ski fermées (mai et juin, septembre, octobre, novembre) : ex Les Deux Alpes, Tignes, Courchevel .. Qu'importe les SCI et SA de temps partagé estiment qu'il faut payer des charges dans des stations totalement fermées, et par suite dans des résidences fermées.
Mr W
., un adhérent très charmant, toujours prêt à 
  rendre service, à donner de l'argent en cas de besoin à l'association, 
  mais très malade (toutes sortes de maladies, avec masque à oxygène 
  entre autres), n'a jamais fait part du fait qu'il aurait pu être candidat 
  pour un retrait pour justes motifs (lois de 2009 et 2014), puisque sa période 
  héritée de sa mère a été fermée par 
  décision d'AG à Tignes Grande Motte il y a 20 ans. 
  Pour lui l'affaire était terminée. Il l'a encore fait savoir à 
  M° Nébot en mars 2017 (" je ne veux plus entendre parler de 
  vous
 ") car ce dernier insistait au nom de la SCI Tignes grande Motte. 
  
  Mr W .. décède en décembre 2017.
  En mars 2018 l'huissier préféré de M° Nébot 
  envoie une lettre RAR à Mr et Mme Weil, pour se faire payer d'une note 
  imaginaire de charges. 
  Par bonheur le couple W 
 était séparé de biens (ceux 
  qui se marient devraient tous se séparer de biens
. !). Mme W
 
  peut sans lire retourner le courrier à l'envoyeur. 
Dans les ventes des parts des personnes qui ne payaient plus leurs charges à la SCI Regency Vincennes, il a été possible au gérant IGR (DIAMOND) d'acheter dans une vente dite publique, en fait privée, dans le cabinet de M° Nébot, toutes les parts d'un appartement, donc de devenir copropriétaire de plusieurs appartements, ceci en plusieurs temps, dont en 2015.
A quel prix IGR est devenu propriétaire d'un appartement (ou plusieurs) de 45 m2 à Versailles ?
Mr X a une semaine de temps partagé, soit 830 parts à Regency. Faisons l'hypothèse que ça représente la moyenne des parts pour une semaine. Un appartement aurait donc 830 x 52 semaines= 43160 parts
La part ayant été laissée à 0,15 euros, IGR a racheté des appartements pour 6474 euros, l'un.
Sur le site Efficity le prix du m2 d'habitation à Vincennes varie entre 4000 et 7000 euros.
IGR / Diamond qui se croit à l'île de Man ou en Crête, ou à Ténérife, pense qu'il ne sera pas vu (ni vu ni connu), et que M° Nébot fera celui qui ne voit pas.
Nous voudrions savoir combien d'appartements IGR a ainsi acheté pour de modiques sommes, depuis un certain temps, afin de devenir un associé majoritaire; nous exigeons copie de tous les actes d'achat de ces parts dans les ventes publiques/privées; et comment il se peut que dans le même temps il puisse exiger des honoraires monstrueux, la réparation du gros oeuvre de la résidence Regency... etc, et passer un emprunt dont les associés payeront les intérêts... etc
Malheureusement les membres du conseil de surveillance, largement de mèche avec la gérance, se taisent sur ces problèmes
Proposition: abandon de toutes les charges des associés, abandon de toutes les poursuites pour charges non payées, et rachat de toutes les parts restantes à un prix à définir, et FIN DE LA SCI REGENCY.
ADCSTP le 9-3-16
Marseille, ville de non-droit en France: Tout y est permis !
Un huissier, Mr Titton, président de la chambre syndicale des Bouches du Rhône, et Mme Grigori syndic, à la même chambre, se refusent à donner le jugement par lequel, Mr Titton prétend exiger de l'argent de Mme N, prétend forcer sa porte, la menace, la harcèle, fait un faux (nous lui avons écrit qu'il a fait un faux...)....Il s'agirait du Bois d'Aurouze ! Mais ce monsieur a tous les droits, il est le féodal des huissiers dans la ville de Marseille !
S'il est blanc comme neige, qu'il réponde... mais bizarrement il a cessé de harceler Mme N... !
Nous avons fait intervenir notre avocate. Superbement il ne répond pas.
Nous avons écrit à la chambre syndicale nationale qui nous renvoie benoitement à celle de Marseille que Mr Titton dirige...ainsi la boucle est bouclée. Pas besoin de pouvoirs spéciaux,
Depuis cette affaire, d'autres huissiers ont agi illégalement dans la procédure Bois d'Aurouze
Voir la rubrique sur le Bois d'AUROUZE
  
  " "Associé" à Marazul, Teneriffe 2, ma sur 
  jumelle y était également. Elle est décédée 
  en 2009. Avec en tout et pour tout, 2500 euros sur son compte en banque, locataire 
  (et non pas propriétaire de son logement) et avec des dettes potentielles 
  au-delà de tout
.. Veuve et sans enfant, elle n'avait pas 
  d'héritiers directs ; il restait donc pour héritiers potentiels, 
  moi, ainsi que ses neveux et nièces. Comme les dettes risquaient de dépasser 
  de très loin son "patrimoine" quasiment nul, après conseil 
  pris auprès d'un notaire, nous avons TOUS sans exception renoncé 
  à la succession. Entre autres dettes, elle avait cessé de payer 
  les charges de Marazul en 2007.
  Et pendant 3 ans après son décès, aucun des héritiers 
  potentiels n'avait jamais été importuné par quelque organisme 
  que ce soit. Jusqu'en juin 2012 où l'un de mes neveux me dit qu'il a 
  reçu un appel téléphonique de la CRAM, à la recherche 
  de renseignements sur ma défunte sur, pour (dixit) "pouvoir 
  clore définitivement son dossier de retraite". Mon neveu a confirmé 
  son décès, mais, n'étant pas en mesure de pouvoir en dire 
  beaucoup plus, il a donné mes coordonnées à son interlocuteur 
  pour de plus amples renseignements éventuels. Je pense que nous aurions 
  tous eu la même réaction. On ne se méfie pas une seconde, 
  et pris au dépourvu, on ne s'étonne pas le moins du monde de ce 
  genre de questions, venant d'un tel organisme (ou très exactement s'étant 
  présenté comme tel). Et j'aurais, très probablement, fait 
  une réponse similaire.
  Mais voilà que en 2012, je reçois de Clubhotel un relevé 
  des charges dues (cumulées depuis 2008, et donc 3962,07 euros) au nom 
  de "succession D
..". S'en est suivi un échange de mails 
  entre Clubhotel et moi (voir fichier joint) et l'affaire est maintenant classée.
  Alors bien sûr, je ne puis strictement rien prouver. Mais sachant que 
  même encore aujourd'hui (9 mois plus tard) la CRAM n'a jamais essayé 
  de me contacter (téléphone ou courrier postal), tout laisse à 
  penser que Clubhotel s'est fait passer pour la CRAM auprès de mon neveu 
  pour obtenir mon adresse. Méthode que je qualifie d'odieuse, sournoise, 
  fourbe, ignoble, infâme, inqualifiable, innommable. Et j'imagine que je 
  suis pas la seule victime de ce genre de démarche.....
  
.. 
  
  D'une manière plus globale, une mise en garde serait peut-être 
  également souhaitable sur la nécessité d'être très 
  prudent quand on répond au téléphone. Pour ma part, après 
  cette aventure, j'avais écrit ceci à tous mes contacts de courrier 
  électronique :
  ATTENTION, AU BOUT DU FIL, ON NE SAIT JAMAIS QUI EST VRAIMENT 
  L'INTERLOCUTEUR QUI VOUS APPELLE (et c'est tellement crédible - mais 
  inqualifiable - de se faire passer pour la CRAM pour endormir les éventuelles 
  méfiances....)
  Ça, c'est un conseil à un maximum de destinataires : RESTER SUR 
  SES GARDES À L'EXTRÊME QUAND ON RÉPOND À DES QUESTIONS 
  PAR TÉLÉPHONE, CAR L'INTERLOCUTEUR N'EST PAS FORCÉMENT 
  CELUI QU'ON CROIT. Il y a tant de gens peu scrupuleux, prêts à 
  user de tous les stratagèmes... B "
  (commentaire ADCSTP : Clubhotel s'est déjà fait passer pour 
  la Sécurité sociale, la CAF
 Cette société 
  utilise les mêmes méthodes que la mafia) 
  D'une part la " Société d'Aménagement de la station 
  de la Plagne et Cie " est dénommée Société 
  Immobilière de la Plagne. S.I.P
D'autre part Clubhotel / Pierre et Vacances dirigent 3 copropriétés 
  : Bellecôte, St Jacques, Beryl et 4 sociétés de temps partagé.
Exemple :
  La résidence Bellecôte à la Plagne est composée d'une 
  copropriété et d'une société anonyme de temps partagé.
-1)La Copropriété de la résidence PLAGNE BELLECOTE est 
  gérée par la SOGIRE Syndic de copropriété. Idem 
  à St Jacques . La copropriété concerne essentiellement 
  des commerces. 
  Le Président du CS (conseil syndical) de copropriété, et 
  le Directeur Général de la SOGIRE : Philippe PAGES
-2)La Société Anonyme Résidence de Plagne Bellecote S.A.R.P.B 
  
  406 appartements - 7714 lots périodes ( 1à 3 semaines) concerne 
  les temps partagés dans les appartements, le Président du CA : 
  Philippe PAGES
Cette société anonyme est gérée par la SGRT " 
  Maeva S.G.R.T " (Sté de Gestion de Résidences Tourisme), 
  qui se distingue aujourd'hui juridiquement de la SOGIRE. Son Président 
  ou gérant : Philippe PAGES L'adresse de la SGRT : 11 Rue de Cambrai, 
  Espace Pont de Flandre,75019 Paris
  Les honoraires de Pages en tant que gérant en 2010 : 409 979 € 
  Et pour le recouvrement de charges impayées, Honoraires 2010 : 5 600 
  € 
Pour résumer, Philippe Pages est Président du CS, du syndic de la copropriété, du CA et gérant de la société anonyme... Tous les pouvoirs, la dictature !
-Par ailleurs, il existe la GIE, groupement d'intérêt économique, 
  qui gère le Standard téléphonique dans la résidence, 
  société crée en mars 91 ; adresse à RESIDENCE BELLECOTE 
  73210 MACOT LA PLAGNE, dont on ignore ce qu'elle fait à part tenir le 
  standard téléphonique, qui est administrée par la SGRT 
  et Mazoyer Robert
  Facture ses frais à la SARPB en 2010 404/599° pour 9 834.03 € 
  Enfin, les sociétés anonymes de temps partagé à 
  St Jacques (Une copro également) et le Beryl ont pour administrateur 
  Clubhotel Valérie CONSTANTIN, SA inféodées à Ph 
  PAGES. Ces société sont dans des résidences qui sont des 
  copropriétés 
La SA EMERAUDE , administrée également par Valérie Constantin 
  se trouve à Belle Plagne. 
novembre 2011
Philippe Pages est responsable de plus de 14 SCI ou sociétés diverses de temps partagé et à ce titre, s'en met plein les poches (honoraires variables entre 50000 euros à 400000 euros annuels par société), et fait travailler les sociétés liées à Pierre et Vacances dans les travaux de rénovation qu'il fait voter dans toutes les SCI ou SCIA. Quel scandale s'il y avait faillite ! On nous dirait qu'il y a des tas d'emplois qui disparaîtraient !
Pourtant c'est ce que nous voulons, LA FAILLITE,. nous le disons sans hésiter.
Certains nous disent que nous n'avons pas de bonnes manières. Mais les bonnes manières, au sens d'aller boire une coupe de champagne avec ces messieurs, ou de leur offrir des respects à la fin d'une lettre, ne permettent pas le COMBAT victorieux que nous désirons. En effet nous n'avons pas de bonnes manières dans ce sens là !
Si les politiques de tous bords veulent soutenir le temps partagé au profit du grand ami de Pierre et Vacances, Philippe Pages, qu'ils rachètent les parts ou les actions pour 1 euro de ceux qui n'en veulent plus.
Une affaire exemplaire: une dame nous envoie son dossier en janvier 2005. Elle tente de revendre ses parts depuis 15 ans. Multivacances lui fait remplir tous les 2 ans des mandats de vente impertubablement et ne revend jamais rien. Maeva a loué pendant 10 ans les semaines couvertes par ces parts. Pas assez juteux. Aujourd'hui elle veut et les locations pour elle et les charges..
Apparemment ça ne gêne pas la justice qui, tout aussi impertubablement, condamne les gens qui ne veulent plus payer les charges, car ils ne peuvent pas revendre leurs semaines et ceci bien qu'ils soient prêts à les céder pour 0 centime, ou 1 euro symbolique. L'engagement perpétuel est pourtant contraire au code civil mais les juges ne veulent pas en convenir pour ne pas dépalire au loby immobilier.
La justice joue donc actuellement pour les promoteurs qui se sont fait faire des lois sur mesure (cf notre rubrique "Timeshare en France"). La société Pierre et Vacances pourra-t-elle longtemps soutenir cette politique ?
Avril 2005
"Contraint de rester avec ce fardeau qui s'ajoute à mes difficultés familiales, et financières, je vous rappelle à nouveau mon intention de sortir de votre système qui ne correspond pas du tout à l'image de Pierre et Vacances (c'est à dire loisirs et plaisirs) En ce qui me concerme c'est "Pierre et Cauchemar". D'ailleurs ces problèmes ont été longuement évoqués au cours de l'AG (de ma SCI). J'ai retrouvé tous mes mandants de location dont je n'ai eu aucune nouvelle. J'espère que votre intervention permettra que ces périodes soient louées..."
 "Vers les années 70,alors que nous étions 
en poste en Afrique,mon mari et moi (alors mariés sous le régime 
de la communauté) nous avions acheté 4 semaines en juin et 4 semaines 
en juillet au club hôtel des Deux Alpes,un studio (4s4 ) et une chambre 
junior (4j1) pour nos trois enfants.A cette époque,on ne nous avait pas 
informés que nous étions propriétaires de parts de la société 
et non propriétaires des murs mais avec toutes les obligations et contraintes 
d'un propriétaire à part entière.
 Les charges ont augmenté 
d'année en année,à tel point qu'il valait mieux être 
locataire plutôt que propriétaire !
 Et puis,les années 
ont passé..(problèmes familiaux...) Le studio est resté inoccupé 
pendant des années sans être loué .J'ai même appris 
que la station était fermée en juin!
 Mais les charges courraient 
toujours!Mon ex-mari se rendait de temps en temps au mois de juillet aux Deux 
Alpes et payait les charges sans sourciller,sans chercher à vendre ce fardeau.
 
Alors je m'y suis mise mais sans succès,face à une mauvaise volonté 
évidente .il y a longtemps que je soupçonnais quelque escroquerie 
mais,comment faire pour s'en sortir toute seule ???Mon ex-mari est décédé 
depuis un an et m'a fait le cadeau empoisonné,sur son testament holographe 
,de me lèguer sa part .je l'ai refusée .Mais pas du tout informée 
par mon notaire,je n'ai pas mesuré les conséquen,ces de mon refus.Maintenant,ce 
sont mes filles qui devraient payer les charges pour un studio et une chambre 
junior où elles n'ont pas mis les pieds depuis 20 ans,.Elles n'ont pas 
les moyens de faire face à cette dépense si injuste .
 Les services 
vente et location de la société sont totalement inefficaces et les 
hôtesses vraiment peu aimables et coopératives.Comme tous ceux 
qui ont été lésés et escroqués je demande instamment 
que l'on me débarrasse enfin même pour 1 euro,de ces maudites parts 
que j'assimile à une concession à perpétuité !
 
Voilà un témoignage de plus qui j'espère va augmenter le 
poids des plaignants et peser dans la balance,qui,j'espère penchera du 
bon côté,pour faire cesser ce scandale ".
 
"Depuis novembre 1989, mon épouse et moi-même 
sommes "titulaire de 28 parts de la Sté Civile Clubhotel St Raphaël 
donnant vocation à la jouissance de l'appartement RJB55 pour la période 
3 Avril / Mai" (soit 2 semaines : dernière d'avril et première 
de mai).
 Nous payons environ 200 € de charges annuelles, en progression 
de 5% par an.
 Nos contraintes ne nous permettent pas d'occuper nos semaines, 
ni de participer à la bourse d'échange.
 Aussi nous le mettons 
en location à travers les services de Clubhotel, mais avec peu de succès 
(5 semaines louées au total depuis le début, sur 25 semaines disponibles 
...).
 Nous signons régulièrement des mandats de ventes à 
Clubhotel depuis 1998, ... sans succès. Nous avons aussi essayé 
avec des forums Internet, sans résultat."
 
"Bien qu'ayant demandé 
un duplicata du contrat signé lors de l'achat d'un studio et d'une chambre 
junior, pour les mois de juin et de juillet alors que nous étions en poste 
en Afrique à ce moment-là, je ne l'ai jamais obtenu . Je ne puis 
donc dire avec précision s'il s'agit de l'année 1980 ou un peu avant.Toujours 
est-il qu'à ce moment-là mon ex-mari et moi nous étions mariés 
sous le régime de la communauté. Au début, les charges étaient 
acceptables, mais peu à peu elles ont terriblement augmenté à 
tel point qu'il valait mieux louer que d'être propriétaire!
 Comme 
dans toutes les familles, de nombreux évènements ont eu lieu...séparation 
,décès ...A leur tour les enfants s'en vont et plus personne n'est 
intéressé à conserver ses parts.
 On vous fait miroiter 
la possibilité de louer ou de vendre , mais c'est faux : pas de locataire 
en vue .Quant à vendre...il ne faut point y songer.S'il existe bien un 
service commercial de vente, il est parfaitement inopérant! et les hôtesses 
(débordées ,"je ne peux pas être partout" ,) aussi 
aimables que des pitt-bulls quand vous vous étonnez de réponses 
perpétuellement négatives . Après le décès 
de mon ex-mari (le 17 12 04 ) j'ai pris le taureau par les cornes :Pas question 
de continuer à payer des charges et de laisser la succession de leur père 
à mes filles , qui n'ont pas les moyens non plus de payer quoi que ce soit. 
J'ai réussi l'exploit de vendre le studio du mois de juillet grâce 
à une annonce sur internet mais en mettant la barre très bas (1500 
euros pour les 4 semaines) . La vente a d'ailleurs failli échouer lorsque 
l'acheteur a connu le montant des charges .Vraiment, je ne pouvais pas descendre 
plus bas!d'autant que les frais de "dossier" eux aussi étaient 
plutôt salés .(950 euros) 
 Je me joins à tous les 
mécontents, les spoliés , les victimes pour réclamer l'abrogation 
de cette loi inique et même la pousuite de tous ces escrocs qui, sans état 
d'âme, vous sucent le sang . C "
" Arnaque au temps partagé 
de la SCI REBERTY, représentée 
 par la SA MULTIVACANCES CLUBHOTEL!!
 
En 1980, ma mère a été une des premières 
 personnes 
àsouscrire à l'achat d'un temps partagé. Pendant 
 trois 
ans elle a payé les charges en tant que propriétaire 
 d'une 
période de quinze jours. Revenant d'un contrat de 
 travail en outre 
mer, elle decide de visiter sa nouvelle 
 acquisition. Après avoir annoncé 
notre venue aux personnes 
 consernées (à la SCI REBERTY), nous 
sommes arrivées au 
 alentour de 19 heures au pied de l'immeuble des 
Ménuires. 
 Nous avons cherché désespérement le 
gardien, seule 
 personne capable de nous remettre les clefs.
 Après 
avoir tourné pendant plus d'une heure, nous n'avons 
 croisé 
âme qui vive et avons dû retourner dans la vallée 
 pour 
passer la nuit. Le lendemain nous sommes donc rentrer 
 chez nous. Ma mère 
furieuse a contacté la gestion de 
 l'immeuble: club hotel multivacances, 
pour leur demander 
 des explications!
 La société a proposée 
le remboursement des frais d'hôtel 
 (geste commercial ou véritable 
aveu...!).
 Depuis ce jour ma mère a multiplié les démarches 
pour 
 vendre la période dont elle est propiétaire.Elle décède 
en 
 1984, la période toujours invendue!
 C'est donc mon frère 
et moi qui avons hérité de ce cadeau 
 empoisonné!!En 
effet nous avons multiplié les démarches 
 auprès de la 
société pour céder ce bien. Nous avons même 
 proposé 
de leur en faire don, mais bien entendu ils ont 
 refusé!!
 Nous 
avons donc décidé de ne pas payer les charges pour un 
 appartement 
dans lequel nous n'avons jamais mis les pieds, 
 espérant chaques années 
que celui-ci serait vendu!
 Malheureusement ce n'est seulement en 2004 que 
la société 
 en charge de l 'appartement à Réberty 
les Menuires, m'a 
 avoué explicitement que la période (première 
quinzaine de 
 Juin) n'aurait jamais du être vendu car la station est 
 fermée,sans aucuns commerçants....et qu'elle est donc 
 
invendable à ce jour et ne l'a d'ailleurs jamais été!!!!!
 
Par ailleurs, lors de la seule et unique assemblée 
 générale 
à laquelle j'ai pu me rendre, j'ai appris que je 
 n'étais pas 
la seule dans cette situation! J'ai donc 
 cherché à obtenir 
les noms des personnes dans la même 
 situation que moi, mais la société 
a toujours refusé de 
 me les communiquer, empéchant ainsi tout 
recours collectif 
 envisageable.
Aujourd'hui, la SCI REBERTY,représentée 
par la SA 
 MULTIVACANCES CLUBHOTEL, a fait passer l'affaire devant 
 le 
tribunal d'instance de Moutiers, pour me réclamer les 
 20 années 
de charges impayées.Habitant dans la région 
 centre, et 
élevant seule deux enfants, je n'ai pu me 
 rendre au jugement, et je 
n'avais pas les moyens de me 
 payer un avocats (j'avais fait une demande d'aide 
 judirectionnelle, mais celle-ci m'a été refusé à 
200 euros 
 près). Le tribunal m'a donc condamné a rembourser 
le 
 totale des charges, alors que je viens d'apprendre qu'il y 
 a prescrition 
au delà de 5 ans, et il m'a également 
 condamné à 
payer des charges d'occupation, alors que je ne 
 m'y suis jamais rendue!!!!!
 
Comment faire aujourd'hui pour me débarrasser de ce 
 "cadeau empoisonné", 
et éviter de le transmettre aux 
 générations futures!!!
Tous 
conseils sont les bienvenus, et il me semble 
 primordiale de dénoncer 
cette imposture, cette arnaque 
 commise par une société française 
reconnue!!!!!!!!!
Pendant plus de 20 ans j'ai espéré une 
loi permettant de 
 protéger les consommateurs dans mon cas, mais à 
ce jour
 rien est fait et tout le monde se tait!
 Il faut désormais 
dénoncer et médiatiser ces arnaques qui 
 n'ont plus lieux d'être 
dans la société française 
 d'aujourd'hui!"
(Mme T, mère de Mme M, demande à revendre des parts qui n'auraient jamais dû lui être vendues, dans une lettre de juin 83. On lui envoie un mandat de revente ! de pure forme !! Mme M en juin 84 refait une demande... Elle renouvelle sa demande oralement.
Elle signe à nouveau des mandats de revente en 95, 96, 97, puis, de guerre lasse, cesse. Elle a compris qu'on ne lui revendrait rien. Mais on l'assigne devant les tribunaux !! Mr Pages n'a pas honte du tout)
"Demander un duplicata au siège relève du parcours du combattant et il faut payer 86 euros de "frais de dossier"!" (Mme C )
(comment s'appelle cette demande d'argent ?? On n'ose le nommer !!)
Erreur ! Les frais de dossier sont bien plus élevés, lisez donc !!
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
 
Le 2-6-06
 L'ADCSTP à Mme Chantal Ferrey
 Clubhotel Bandol
 L'Artois
 
11 rue de Cambrai
 Paris 19ème
 Affaire B..., dossier 02100975
 
Madame, 
Mr et Mme B..... m'ont transmis leur dossier.
Je constate avec effarement que, dans une lettre du 29-7-05, vous leur réclamez 230 euros pour des frais de dossier dont les B..... ont eu l'amabilité de vous fournir les pièces !!
Face à cette situation vous voudrez bien justifier cette somme, et la leur restituer dans les plus brefs délais.
En tout état de cause, je me permets de mettre cette lettre dans notre site en bonne place.
En outre vous faites semblant d'évaluer la semaine, dont la famille Boudillet voudrait se débarrasser, à 3500 euros, alors qu'il s'agit d'une très mauvaise semaine. Si vous estimez que la semaine vaut encore ce prix là, vous voudrez bien faire en sorte qu'elle soit vendue dans les plus brefs délais.
En vous remerciant, recevez mes meilleures salutations. La Présidente"
"je suis moi aussi une victime de pierre et vacances 
 j'ai depuis 30 ans une semaine en février a bandol louis lumière 
 dont je ne peux me débarasser depuis 20 ans. 
 Le service de vente 
de maeva me dit que ce genre de multiproprieté 
 ne peut se vendre même 
a un euro 
 Loué une fois en 10ans par maeva 
 Déja passé 
une fois au tribunal il y a 5ans la juge s'est excusée publiquement 
 
d'être obligée de me faire payer les charges dues uniquement sans 
aucun frais de justice 
 en me conseillant de prendre un avocat pour négocier 
avec la partie 
 adverse la reprise de ma période. Saisie de mon cabinet 
médical 
 pour payer ma dette sans succès (défense de 
saisir l'outil de travail) puis saisie avec succès 
 de mon livret de 
caisse d'épargne 
je repasse au tribunal en juillet 
 maeva ne 
veut pas me reprendre ma période 
 j'ai trouvésur internet une 
société SCFP 18 rue léonard de vinci 75116 paris qui reprend 
les parts de timeshare 
 par 100 pour les commercialiser par une loi robien 
puis je faire confiance 
(Les Clubhotel par une lettre de Mr Pages prétendent revendre, voici encore un témoignage qui dit le contraire;
Quant 
à la SCFP, c'est la même chose que la COGEP......!)
 
"En 2005 j avais donne la location a club hotel de mon mois de juillet.N' ayant enregistre aucune location , j ai fait part de mon etonnement a club hotel par lettre le 19 01 06 . Le 07 03 06 je recois 1 reponse m informant qu apres verification 1 semaine avait ete louee. 15 jours apres toujours pas de paiement . Je rappelle par telephone l' auteur de la lettre qui me dit de me mettre en relation avec le service paiements . La responsable du dit service me demande de lui renvoyer 1 photo de la lettre m informant qu' 1 semaine avait ete louee , sinon pas de paiement ??? Je renvoie donc la photo . Paiement 15 jours apres. Pas 1 seul mot d excuses . Doit on mettre en doute l 'organisation et le serieux des services de club hotel ? Certainement vu les delais de reponse . Peut on avoir des inquietudes sur la gestion des locations ? Une erreur est toujours possible mais pourquoi tant d' insistance pour avoir le double de la lettre RECONNAISSANT qu'ne location avait ete effectuee ? cordialement"
"Il y a 3 ans, j'ai hérité 
avec mon frère de 11 semaines en time share à Bandol. Parce que 
ce type de vacances ne nous intéresse pas, nous avons souhaité revendre... 
impossible, en faire don pour un euro symbolique... impossible. L'avocat de Pierre 
et Vacances a commencé à envoyer à notre notaire des lettres 
de relance. La succession n'étant pas terminée, et pour cause, notre 
notaire est en lien direct avec Pierre et vacances mais toutes ses lettres ou 
presque restent sans réponse : aucune preuve que nos semaines sont mises 
en vente. Impossible d'avoir quelqu'un au téléphone etc... A ce 
moment-là, nous avons vraiment compris qu'il y avait un sérieux 
problème et que, seuls , nous ne pourrions nous en sortir. Nous avons fait 
connaissance avec l'association et nous avons adhéré et nous avons 
découvert alors l'étendue de l'arnaque ! Nous devons aujourd'hui 
environ 6 000 euros de charges non payées depuis 3 ans qui continuent à 
courir, bien sûr. 
 Voila encore une histoire avec le time share et il 
faut vraiment avoir le moral pour penser pouvoir en sortir un jour". 
 
Mr D S ( 63100 Clermond Ferrand) participe 
à un jeu, organisé par un casino hypermarché, il y a une 
dizaine d'années et gagne. Son cadeau : deux semaines de timeshare fin 
juillet à Val Thorens ! Ce monsieur est en fauteuil. C'est un invalide. 
Il ne mesure pas les conséquences de ce cadeau empoisonné. Il paye 
les charges en se disant qu'il en profitera un jour, il déménage, 
oublie. Les services P et V le retrouvent. Il décide alors en 2004 d'aller 
dans la résidence Clubhotel de Val Thorens. Et là, oh surprise ! 
Son fauteuil n'entre pas dans l'ascenseur. 
 
Un associé nous communique une info qu'il adresse à tous les associés:
"CHAMONIX Bâtiment F
La 
Multipropriété : un concept des années 1970 qui avait un 
certain attrait.
 Aujourd'hui, 
 " ce n'est plus qu'une charge financière 
récurrente de plus en plus lourde.
 " Les statuts de notre S.C.A. 
Chamonix Vacances nous emprisonnent jusqu'en 2027. 
 " Pour certaines 
périodes, le montant des charges équivaut à un voyage loin 
de l'hexagone, avion compris.
En reprenant précisément, quelques 
années en arrière, les promesses faites par écrit de la gérance 
qui s'appelait alors Multigestion devenue Clubhotel :
 - optimisation de l'exploitation,
 
- réduction du montant des charges,
 - création d'une rentabilité 
des appartements,
 on constate bien au contraire :
 - une dérive 
des charges,
 - des échanges qui ne se font que très exceptionnellement 
et avec une insistance particulière des associés,
 - des locations 
rares et peu rentables.
Après un long sommeil ou plutôt une grande négligence qui a servi les intérêts de la gérance, le "coût ", ou mieux le "coup" des travaux de rénovation des appartements nous a réveillés.
Une lettre (2 feuilles 
jaunes) du conseil de surveillance aux associés envoyée en 2003, 
faisait le point :
 " En plus des entretiens courants, votre conseil de 
surveillance a déclenché, depuis l'année 2000, une rénovation 
des intérieurs de tous les appartements. Mettant à profit une pause 
dans les frais exceptionnels de copropriété, cette rénovation 
est engagée pour les 5 à 7 ans à venir, afin d'en lisser 
l'impact financier. 
 Les dépenses annuelles prévisionnelles 
de cette rénovation se feront au niveau de 20 000 € par an.
 Sont 
prévus : 
 - Mise en conformité de tous les petits lits et de 
leur éclairage (mise aux dimensions normales d'après la loi : cette 
mise aux normes a été réalisée en 2004 pour 15 821,99 
€) 
 - Peintures murs et plafonds : certains appartements ont été 
faits en peinture pour 5 397,96 €.
 - 5 matelas ont été 
changés pour 300,85 € ".
 Ces frais exécutés 
ont été portés à notre débit sur l'ordre du 
jour de l'assemblée générale ordinaire de l'année 
dernière le 29 septembre 2005 ( Voir II gros entretien page 8 ).
Certains 
associés nous ont informés du remplacement de fours ou de lave-vaisselle, 
par exemple, il y a 2 ans. 
 Il n'est donc pas nécessaire de prévoir 
globalement 47 fours pour 47 appartements. 
Les frais de déplacement du conseil, exorbitants pas ailleurs 3 844,53 €, seraient, entre autres, justifiés par le contrôle rigoureux des équipements intérieurs. Qu'ont-ils constaté pour ce prix ?
TOUT, MOBILIER INCLUS, N'EST PAS A JETER !!!
Dans le même ordre du jour (A.G.O. 2005), page 9 au 
paragraphe : 
 " Rénovation appartement : 
 Le montant total 
de la rénovation des appartements de la résidence (séjour, 
kitchenettes et salles de bains) est estimé à 713 000,00 €.
 
Il vous est proposé de financer celle-ci par un emprunt sur 8 ans au taux 
fixe de 4,00 % (plus des frais de dossier de 598,00 € TTC). La 1ère 
annuité au titre de 2006 sera de 106 500,00 €. Les suivantes seront 
de 105 900,00 €.
 Coût total (qui peut varier en raison d'une seule 
estimation) : 848 398,00 € 
Analyse de ce poste prépondérant 
dans nos charges :
 Il n'a pas été tenu compte des frais pour 
travaux ou changement de matériel électro-ménager par exemple 
déjà engagés à raison de 20 000 € par an depuis 
2000 (cf § ci-dessus lettre du conseil de surveillance) et plus récemment 
en 2004 pour les travaux cités ci-dessus (lits..)
Une ESTIMATION qui, comme chacun le sait, n'est pas un DEVIS. Cette estimation a été faite en janvier 2005 (d'après un document produit par M.LHERMINOT du conseil de surveillance).
Nous avons rencontré M.LHERMINOT depuis le début 
de l'année 2006 à plusieurs reprises. Il avait confirmé à 
certains associés qui le réclamaient, avoir proposé à 
la gérance, en recommandé avec A.R, de porter à l'ordre du 
jour de la prochaine A.G. les points suivants :
 - Compte rendu d'activité 
liée aux impayés et aux actions menées pour procéder 
à leur recouvrement.
 - Devis pour travaux de rénovation de la 
totalité des appartements de la SCA Chamonix 
Ci-dessous un extrait 
de mail d'un associé :
 " (
) Devant le tollé général 
ça va repasser à la prochaine AGO et M. LHERMINOT a envoyé 
deux lettres recommandées à M. GIEU parce que les devis sont surévalués. 
(
) "
Par ailleurs, au sujet de l'emprunt, PROPOSE d'après le libellé, mais IMPOSE dans les faits, non seulement le taux aurait pu être mieux négocié pour septembre 2005, et surtout être mis en concurrence, ce dont nous doutons.
Enfin la priorité de cette 
rénovation proposée aurait dû être la mise aux normes 
électriques. La norme s'appliquant aux constructions neuves et aux rénovations 
totales est la NF C 15, refondue en 2002 et mise à jour en 2005. 
 Apparemment 
et sous toutes réserves en l'absence de devis, ce poste essentiel n'est 
pas pris en compte. 
 Ce ne sont pas les changements de prises électriques 
qui se substitueront à la mise aux normes.
 Incluant le montant 
de la rénovation prévue (2ème annuité 106 500,00 €), 
et pour lequel à cette prochaine assemblée aucun devis ne sera produit, 
le budget prévisionnel pour 2007 des frais de fonctionnement de notre bâtiment 
(multipropriété et copropriété) est porté à 
283 745,00 € 
 D'ailleurs ce budget risque d'être dépassé 
comme d'habitude ! Chaque année une augmentation d'environ 10 à 
12 %.
Remarque importante :
La loi du 6 janvier 1986 sur la multipropriété 
a imposé une mise aux normes de nos statuts d'origine. 
 A la lecture 
du procès verbal de l'assemblée générale mixte du 
10 mars 1988, nous avons constaté, la modification de l'article 34 comme 
suit : 
 "la disposition, l'aménagement et l'équipement 
intérieurs des locaux à usage commun ou privatif ne pourront en 
aucun cas être modifiés, de quelque manière que ce soit, sans 
une décision de l'assemblée générale EXTRAORDINAIRE 
des associés en application du II de l'article 28 ci-dessous". (statuts 
d'origine : A.G.ORDINAIRE)
" Nouvel Article 28 - Assemblées 
Extraordinaires : 
 L'assemblée générale extraordinaire 
peut également décider la réalisations d'améliorations, 
telles que la transformation d'un ou de plusieurs éléments d'équipement 
existants, l'adjonction d'éléments nouveaux, l'aménagement 
ou la création de locaux à usage commun ".
Selon nos 
propres statuts, la rénovation des appartements aurait dû être 
votée avec un quorum différent de celui qui a permis le vote de 
cette résolution. 
 Puisque d'après nos statuts, 
 "l'assemblée 
générale extraordinaire doit être composée d'un nombre 
de propriétaires de parts d'intérêts représentant au 
moins les deux tiers du capital social et ses décisions doivent être 
prises à la majorité des deux tiers des voix des associés 
présents ou représentés. 
 Nous allons nous rapprocher 
d'un avocat à ce sujet.
 Autres points :
L'entretien du 
bâtiment fait partie des charges de copropriété, géré 
par le syndic LAMY à Chamonix.
 Ce poste laisse à désirer 
depuis des années : 
 Dans le contrat nous devrions avoir notamment 
des prestations journalières pour le ménage (couloirs, escaliers, 
locaux poubelle). Il n'en est rien. Cette prestation est effectuée, à 
en croire une intérimaire fin février, 2 fois par semaine à 
raison d'une heure chaque fois pour tous les paliers.
 Ce n'est qu'un exemple.
Revenant 
aux ménages intérieurs des appartements ( 47 ), depuis 2 ans (2005-2006) 
nous recevons à notre arrivée à l'accueil une enveloppe avec, 
entre autres, une note indiquant à chacun de procéder au ménage 
complet de l'appartement avant le départ avec un guide d'entretien à 
l'appui : 
 " Un forfait ménage peut être demandé 
avant le jeudi soir. Merci
 Studios : 25,00 € - 2 Pièces : 30,00 
€ "
Nous aurions dû avoir une diminution des frais de ménage puisqu'ils sont à notre charge.
Et pourtant, selon le rapport du contrôleur de gestion sur les comptes de l'exercice 2005 que nous lui avons réclamé lors d'un rendez-vous à ses bureaux à Paris, celui-ci observe :
1 - Aucun contrat avec le nouveau prestataire n'a été fourni.(La prestation ménage était assurée jusqu'au 31/12/2004 par la "SET Pierre et Vacances" en vertu d'un contrat en date du 31/12/1996).
2 - La prestation de dégraissage n'est pas prévue au contrat initial avec "SET Pierre et Vacances" or cette prestation apparaît en 2004 pour un montant de 3 035 €.
3 - On constate une variation importante (+ 21,75 %) du nombre de ménages en 2004. ( Dans mon rapport sur les comptes de 2004, j'avais attiré votre attention sur ces 2 derniers points).
Quant 
aux dossiers "Débiteurs", il y aurait beaucoup à dire.
 
Nous payons le retard ou le débit définitif de certains, faute d'action 
rapide près le Tribunal d'Instance. Cela éviterait une quantité 
de frais d'avocat pour des sommations coûteuses qui ne servent pas à 
grand chose.
Parkings
La non jouissance des parkings est du fait de Pierre et Vacances.
La rétrocession de ces parkings à l'Union des Syndicats de Chamonix Sud par Pierre et Vacances aurait dû se faire avec la mise aux normes à leur charge exclusive selon les accords contractuels de l'origine de Chamonix Sud.
Pierre et Vacances, refusant ces travaux à leurs seuls dépens, a été assigné par l'Union.
Cette procédure, qui peut durer des années, a laissé place à une négociation financière entre les différentes parties pour permettre les travaux des parkings et leur accès prévu pour l'année prochaine (d'après certaines informations)
Ce qui induit pour l'Union, dont nous sommes pour partie (le bâtiment F- multipropriété - dans une copropriété qui est l'Union des Syndicats de Chamonix Sud), une importante participation financière pour ces travaux.
Par 
ailleurs, il y a un problème d'étanchéité de la dalle 
extérieure (au-dessus des parkings) dont Pierre et Vacances ne parle pas.
 
Ils espèrent, après les travaux de mise aux normes et après 
la rétrocession à l'Union, se débarrasser de ce point très 
onéreux à la réfection. 
 Ils attendent de s'être 
dégagés de leur responsabilité de propriétaire des 
parkings.
 Les travaux passeront ainsi totalement à la charge de l'Union.
 
ASSEMBLEE GENERALE DU 14 JUIN
L'enjeu est considérable au regard :
- de la gestion passée, présente et future de l'immeuble,
 
- de notre responsabilité face à la délégation que 
nous avons donnée au conseil de surveillance, à la gérance 
et au syndic.
Nous devons tous nous ressaisir et prendre conscience des enjeux financiers beaucoup plus importants qu'il n'y paraît, et des responsabilités qui sont les nôtres en tant qu'associés.
Quitus, gérance, syndic de copropriété, renouvellement des membres du conseil de surveillance seront au cur de nos préoccupations, avec un audit juridique et financier à envisager en priorité.
Il est opportun qu'un maximum d'associés soient présents.
Si vous souhaitez donner votre pouvoir, nous attirons particulièrement votre attention sur la formulation du pouvoir : "si la présente procuration est retournée sans indication de mandataire, la personne qui sera amenée à me représenter devra, en tout état de cause, émettre à cette assemblée un VOTE FAVORABLE à l'adoption des projets présentés par la gérance".
 Merci de votre soutien "
l'associé s'adresse à nouveau à 
tous les associés:
 
"CHAMONIX Bâtiment F
Madame, Monsieur,
Tout d'abord un grand merci pour votre soutien et votre confiance.
Grâce à vous, nous avons pu avoir largement la majorité des voix et exprimer ainsi nos positions face à la gestion de l'immeuble.
Conformément aux souhaits exprimés lors de nos différents échanges :
- les dépenses et les comptes pour 2005 n'ont pas été approuvés, les quitus ont été refusés,
- nous avons accepté un nouveau contrôleur financier,
- nous avons proposé en séance des candidatures nouvelles au conseil de surveillance parmi les associés présents et représentés lors de cette assemblée générale.
Pour cette résolution, la présidente de séance a refusé de soumettre au vote de l'assemblée les dites candidatures et n'a retenu que les seuls votes par correspondance sur une liste établie unilatéralement par la gérance.
D'autres points tels que :
 - le délai 
de convocation à l'AG,
 - les augmentations des charges successives 
depuis plusieurs années,
 - l'absence de devis pour des travaux,
 
- la souscription d'un emprunt bancaire pour des travaux estimés sans devis,
 
- l'étanchéité de la dalle des parkings qui devra sûrement 
être à refaire,
 - le souhait de nombreux associés de vendre 
leur période, 
 - concernant les mandats de vente : beaucoup d'interrogations 
sur les démarches commerciales entreprises par MAEVA ??
 - la grande 
difficulté à entrer en communication avec la gérance,
 
- impossibilité d'utiliser les parkings.
En conclusion :
 
 
Une association sera enregistrée ces prochains jours afin de poursuivre 
l'action. 
Un petit questionnaire vous sera adressé dans les prochains jours . Il nous permettra de recenser vos souhaits, et aussi de recueillir vos remarques et suggestions en tant qu'associés pour les prendre en considération au sein de cette association.
Merci d'y répondre très rapidement.
Un avocat s'est rapproché de l'avocat de la gérance pour, dans un premier temps, trouver des solutions amiables.
Nous ne manquerons pas de revenir vers vous et de vous tenir informés de la suite."
"j'ai peur,je ne dors plus,et je suis 
envahie d'idées noires,je ne vous cache 
 pas mes envies de mettre fin 
a mes jours,je regarde mon compagnon et je me 
 dis que je n'ai pas le droit 
de le laisser,il a tant fait pour moi a la 
 mort de mon mari,il a élevé 
mes enfants,j'ai peur qu'ils s'en prennent a 
 lui? je n'ai pas encore reçu 
le volet d'ac de recpt,du tribunal. je suis allée 
 sur le site de l'APAF,le 
courrier est parti....... je suis 
 tellement désemparée,et au 
bout de rouleau,merci de m'avoir lue,j'avais 
 besoin de parler "
 
 Mon pére pour me faire plaisir,m'a offert 
en 1999 un cadeau empoisonné sans le savoir,c'est a dire plusieurs périodes 
au cap d'agde,a tourotel,je n'ai pas été mise au courant des dangers 
consernant ce genre d'acquisition!j'ai profité de quelques séjour 
,,10semaines depuis 1999,mon pére es dcd en 2003 pendant la canicule cela 
a été un énorme choc,en plus je suis tombée gravement 
malade,avec un lourd handicap,constaté et reconnu,ce qui me vaut un revenu 
d'handicapée de 641e,en 2004 le 15 septembre je suis retournée 
avec mon compagnon,qui lui est en chaise roulante,et c'est avec stupeur que nous 
avons constaté que l'ascenseur avait été reduit a une peau 
de chagrin,et la chaise d'une profondeur de 75 cm,plus la seule jambe qui lui 
reste nous n'avions plus qu'une solution pour accéder a l'appart,que de 
faire monter mon compagnon sur son fessier tous les escaliers,nous sommes restés 
4 jours et n'avons bénéficié d'aucun soutien ni aide,de 
la direction de la residence,entre temp je confiais mes mandats de location a 
MAEVA,mais je n'en ai jamais vu la couleur,apres notre court séjour en 
2004,j'ai remis tous les mandats de vente,a n'importe qu'el prix pour etre débarrassée 
de ces périodes,mais rien ne bouge,ils ont pu vendre une période,mais 
l'on refusé,car le prix ne couvrai pas les charges,,je pense monsieur le 
juge,que ce non acces a la residence peu constituer une rupture de contrat,vous 
voudrez bien le reconnaitre avec moi.
 je ne veux plus de ces parts de SCI,qui 
ne constituent qu'un piége:refus de louer pour le client tandis qu'a l'evidence 
MAEVA loue pour elle,et son propre compte,refus de vendre,charges en augmentation 
continue,
 devant subir une grave intervention ces prochains jours,j'ai pris 
mes disposition vis a vis de mes enfants,ils sont averti pour un refus d'heritage,puisque 
je n'ai rien ,hormi ces parts
 je vous derais gré de reconnaitre que 
l'assignation dont je suis l'objet,est infame:sans revenu,handicapée,avec 
un compagnon handicapé ,lui a 97%,face à une SCI dont le but essentiel 
est d'obtenir des charges a vie,sans prévoir le comfort minimum pour les 
associés infirmes,vous voudrez bien demander à cette SCI de mettre 
mes parts en vente aux enchéres,je n'en veux plus,ci joint des documents,ma 
reconnaissance d'handicap,avec difficulté de me déplacer,certificat 
médicale,et un exemple parmis tant d'autre de gens dans la meme situation
recevez 
monsieur le juge mes salutations, je vous demande de prendre en compte mon profond 
désespoir,qui me pousse parfois a commettre un geste de desespoir,et irreparable,et 
cela la SCI pourra en porter l'entiére responsabilité
 madame 
d .....m....."
 
"Je suis propriétaire dune période de 15 jours en mars dans la résidence Eden Parc de Saint-Tropez malheureusement héritée de mon oncle, il y a 7 ans. Depuis le 25/04/2003, jai mandaté Maeva/Pierre et Vacances/Club hôtel pour revendre cette période et je nai jamais reçu aucune offre de leur part.
Nayant reçu aucune offre de vente, ni proposition de location, je me demande ce quil se passe. De fait, cela fait plus de 3 ans quils sont mandatés pour vendre et 6 ans pour la louer et je nai reçu aucune proposition aussi je minterroge sur les moyens mis en place par leurs services pour revendre cette période ou la louer. Dans le contrat qui nous lie, il est stipulé ceci « le mandataire, tenu à une obligation de moyens mais non de résultat devra » Bref, jamais loué en 6 ans, aucune proposition de vente non plus et obligée de payer à vie ces charges qui ne cessent daugmenter !!!!
Or, ayant visité leur site Internet, en me mettant dans la peau dun éventuel acheteur, je nai pu accéder à aucune une offre de vente correspondant à ma période. Jai donc essayé de vendre par mes propres moyens. Mais ici encore cest la croix et la bannière, ayant malheureusement hérité je nai aucun document en ma possession et si les charges sont toujours bien arrivées dans ma boite aux lettres, je nai jamais eu ni statuts, ni acte de propriété, qui sont dailleurs payants !!! Or pour vendre quelque chose il faut des informations sur le bien, on est daccord, afin que lacheteur sache ce quil achète mais avec Maeva il faut trouver lacheteur avant davoir les informations ! Encore un moyen dempêcher toute revente, un bon payeur ne se lâche pas comme ca !!! En effet, ayant hérité, je nai jamais reçu dinformations sur mes satanées périodes, il faudrait payer 18 euros pour avoir des actes ou dautres documents informatifs !!!! Mais la cerise sur le gâteau cest que pour avoir les informations concernant le statut, les charges, les engagements, la nature du bien, etc., il faut faire une demande écrite qui mentionne le nom et les coordonnées de lacheteur !!! Mais comment voulez-vous quon machète quoi que ce soit si je nai aucunes informations !!! Jaimerais, si cest possible que vous me communiquiez la liste des personnes qui sont comme moi victimes de cette société afin que jentre en contact avec eux, merci.
Voici le déroulement des choses ainsi que les tarifs exorbitants (documents envoyés par Maeva ce mois de septembre 2006)" (suivent les documents)
A l'attention de Monsieur 
PAGES
 PDG
 Clubhotel Multivacances Pierre et Vacances
 objet:Dossier 
039 20 221 k Inter Résidence à TIGNES
 
 5 octobre 2006
 
Monsieur, 
1-JE RAPPELLE
 que j'ai acheté en Septembre 1988 DEUX 
SEMAINES
 De 1988 à 1997 j'ai ou bien occupé ou bien loué 
moi-même ce studio.
 LOCATION:Mais depuis 1997 j'ai signé et envoyé 
des mandats de location auprès de MAEVA CLUBHOTEL (-01 02 1997 pour 1997,-24 
12 1997 pour 1998,-06 01 1999 pour 1999,-01 03 2000 pour 2000,-01 01 2001 pour 
2001,-29 12 2001 pour 2002,-30 12 2002 pour 2003,-23 12 2003 pour 2004,- 21 01 
2005 pour 2005,- 06 02 2006 pour2006)C.A.D. au reçu des mandats et par 
retour du courrier et SIX MOIS AVANT les dates de location
Ce studio n'a été loué par vos soins qu'en 1997,2001,2002 et la commission prélévée par vos services a été environ de 20%.
REVENTE
 Je vous ai envoyé des dossiers de revente:25 03 
1998 ,-13 04 2002,-30 04 2003,-30 05 2005,- et que j'ai au cours de toutes ces 
années envoyé une multitude de courriers à MAEVA CLUBHOTEL 
avec des offres à la baisse -voire même une proposition de déposer 
gracieusement mes parts.
2-JE VOUS DEMANDE
 de reprendre PERSONNELLEMENT 
connaissance de MES COURRIERS SIMPLES ou RECOMMANDES avec ACCUSES DE RECEPTION
 
en date des 03 05 2005,- 31 05 2005,- 16 11 2005,- 12 12 2005, -27 06 2005.-
 
3-JE VOUS SIGNALE
 que j'apprécie l'HUMOUR de Club Hotel Multivacances:
 
lié au fait que " Vous ne pouvez pas indiquer un prix inférieur 
à 95 Euros(prix représentant le montant minimum TTC de la rémunération 
du MANDATAIRE"(votre courrier du 14 juin 2005). 
 vente d'une période 
+ 950 euros
 commission mandataire.- 950 euros 
 
 Vendeur: = 00 euros 
 Donc, mathématiquement, la période ne vaut RIEN ! 
 
De 
plus:
 Votre courrier venant de Paris en date du 06 octobre 2005,
 m'invite 
à venir acheter le 19 novembre au salon de
 l'étoile 38 Avenue 
de Friedland Paris 75008 , vente des parts en particulier à Tignes InterRésidence 
No lot 18,19,20, périodes 12,13 14 mises à prix 1000 Euros
ET 
Votre courrier de ClubHotel de Novembre 2005
 ...."Nous sommes au regret 
de vous informer que nous ne pouvons donner une suite favorableà votre 
demande (je remettais gracieusement mes parts à ClubHotel) En effet Clubhotel 
Multivacances ne reprend ni ne rachète aucune part!!!!!!!!!
La cohérence entre ces deux courriers m'échappe
 4-JE CONSTATE
 QUE VOTRE 
POLITIQUE DE GESTION EST QUELQUE PEU INCOHERENTE,QUE VOUS NE M'AVEZ JAMAIS FAIT 
DE PUBLICITE OU DE PROPOSITION POUR VENDRE MES 2 SEMAINES, QUE VOUS AVEZ FAIT 
DE LA CONTRE PUBLICITE POUR LA LOCATION EN 2005 REFUSANT DE LOUER TIGNES INTERRESIDENCE 
ET PROPOSANT LA GRANDE MOTTE (VOIR MES COURRIERS RECOMMANDES DE 2005
 5-JE 
DECIDE 
 DE NE PLUS ATTENDRE DE REPONSE DE VOTRE PART ET JE REFUSE DE REPONDRE 
DEFINITIVEMENT A VOS APPELS DE CHARGES
 6-DE PLUS CE COURRIER SERA DIFFUSE 
INTEGRALEMENT SUR INTERNET SUR UN SITE QUE VOUS CONNAISSEZ AFIN D'OUVRIR LES YEUX 
A DES MILLIERS DE PERSONNES QUE VOUS TROMPEZ !--~ -
AVEC MES MEILLEURES 
SALUTATIONS
 COURRIER REDIGE SUR DEUX FEUILLETS ET ENVOYE EN RECOMMANDE AVEC 
A.R.
 
Nous 
avions totalement oublié de relever et de commenter cet extraordinaire 
message des clubhotels Pierre et Vacances, lors de l'émission à 
la radio, au printemps, avec Maître Perez et l'APAF. Ce message disait ceci, 
à propos de la condamnation d'un dénommé Patrick à 
payer 12000 euros de charges + 7000 euros de dommages/intérêts: "A 
l'époque où Patrick X avait acheté ses semaines de juin à 
Courchevel, le vendeur était MAEVA. Si cela avait été nous, 
Pierre et Vacances, on n'aurait jamais vendu des semaines de juin ou de septembre 
(sous-entendu "on n'est pas assez fourbe pour faire cela") qui sont 
des mauvaises semaines où la station est fermée."
Nous possédons 
l'enregistrement de cet épisode. Le dénommé Patrick a été 
quand même contraint à payer ses charges, malgré la fermeture 
reconnue de la station. Et le généreux Nébot l'a fait condamner 
au nom de Pierre et Vacances !
6-12-06 ADCSTP
A L'Artois - espace pont de Flandres
 11, 
rue de Cambrai
 75947 Paris cedex 19
V/Réf : dossier 00..
A l'attention 
de Mme Leblond (suite à une mise en demeure de payer des charges pour une 
période héritée..)
Madame, 
Suite à 
la lettre du 24-11 de Delphine Combe au nom du Clubhotel, j'ai à faire 
les remarques suivantes :
- en droit européen et droit français 
la " multipropriété " n'existe plus depuis 94 pour le 
premier et 98 pour le second, vous en réclamer non seulement prête 
à confusion, mais montre que vous êtes prête à passer 
outre allègrement au droit.
- il n'y a aucune prescription trentenaire 
aux charges dues dans le domaine des semaines à temps partagé, ou 
alors donnez m'en la jurisprudence ou la loi.
- il y a une prescription légale 
de 10 ans concernant les charges de copropriété, et de 5 ans concernant 
les charges locatives (art 2277 du code civil).
- les charges de semaines à 
temps partagé sont réparties en charges de copropriété, 
locatives (charges communes) et d'occupation : art 9 de la loi du 6-1-86.
- 
deux jurisprudences contradictoires existent concernant la prescription des charges 
de temps partagé : une de 5 ans, une de 10 ans. L'affaire n'est pas tranchée 
mais ne saurait tarder de l'être.
- la répartition des charges 
entre ces 3 catégories obéit normalement aux statuts de la SCI Tignes 
le Lac. Celle-ci est-elle respectée ? Je n'en sais rien. Faites en la preuve.
- 
j'observe que vous n'avez fait aucune proposition à UFC Que Choisir concernant 
mon dossier, si ce n'est que je n'avais qu'à vendre ma période (!).
- 
vous savez que Clubhotel, par son refus (on peut le dire aujourd'hui) de mettre 
en revente les parts des associés, trouvant préférable la 
rente prélevée à vie sur les citoyens-associés, a 
rendu le marché inexistant, sans attrait. Chacun sait que les demandes 
de revente qui vous sont adressées ne servent strictement à rien.
- 
Il me semble donc juste que je vous dise ceci : je m'engage solennellement à 
vous payer un arriéré de charges de 5 ans si vous me reprenez ma 
semaine, comme vous le faites pour les gens qui disparaissent définitivement 
ou qui sont à l'étranger et dont vous récoltez le plus souvent 
les parts après une mise aux enchères. Cela vous reviendra moins 
cher de me reprendre mes parts pour rien plutôt que de finir par organiser 
des enchères.
- A force de vous mettre tout le monde à dos et 
d'apparaître comme les fermiers généraux de l'Ancien Régime, 
vous finirez peut-être par comprendre qu'il vaudrait mieux chercher des 
arrangements avec les gens qui désirent fuir votre système 
 
" 
Une victime nous dit qu'elle a proposé à CLUBHOTEL de revendre sa période. Cluhotel conseille le prix 8385 euros (pour la frime sans doutes ?). Dans le même temps la victime reçoit une pub pour acheter aux SCI, gérées par les Clubhotels, des périodes pour 990 euros !! Stupéfaite, la victime baisse son prix à 3000 euros en se demandant si on ne se moque pas d'elle. Naturellement la période, pourtant bonne, ne sera jamais revendue. Il faut savoir que les Clubhotels ont à vendre des périodes, qui ne trouvent pas preneurs ou peu... Ils ne vont pas s'amuser à vous revendre votre période, sauf exception, sauf si votre période les intéresse particulièrement
Enfin une revente !
Clubhotel propose la revente d'une période aux Menuires pour 1200 euros (du 6 au 13- 1: bon enneigement mais non scolaire). Mais la victime ne touchera rien: Charges dues 250,16 euros, "frais" : 944,84 euros..... = 1200 euros !!
"Je 
viens d'aller sur le site de Clubhotel Multivacances et je n'en crois pas mes 
yeux !
Ils annoncent fièrement :
-365 jours de ski sur le glacier 
de TIGNES (alors que l'office du tourisme dans son mail du 16/10/2006 me précise:
- 
que le glacier ferme cinq semaines du 8 mai au 15 juin,
-que la période 
d'été va du 2 juin au 8 septembre (alors que dans ce même 
mail de l'office du tourisme on m'indique que jusqu'au 15 juin il ne reste qu'une 
supérette, un tabac presse, une boulangerie, une pharmacie et un centre 
médical et qu'il n'y a de clients que du 10 juillet au 20 aout environ 
!),
-que la période d'hiver va du 4 novembre au 5 mai (d'après 
l'office du tourisme, la grande majorité des commerces ouvrent après 
la mi-novembre !).
 
D'ailleurs, si on épluche un peu les dates annoncées 
par Clubhotel lui-même on peut se demander ce qui se passe à la station 
entre le 5 mai et le 2 juin, et entre le 8 septembre et le 4 novembre ???? "
 
N'y a-t-il pas matière à argumenter sur une publicité 
mensongère ?
 
"...... on ignorait totalement qu'il était impossible 
de sortir de cette S.C.I. et qu'on était condamné à vie , 
et les enfants et les petits-enfants etc... jusqu'à la Nième génération 
pour ne pas dire :jusqu'à l'extinction de la race ......"
 
Fait-il partie de MAEVA ? Non, il emprunte ce nom connu pour faire faire de confusions aux touristes, mais à notre connaissance les Clubs Hôtels MAEVA ne portent pas plainte sur cet emprunt. Etrange...
Prétend faire de la revente de semaines pour le compte d'un dénommé BUSSER.
A 
l'AG du 20 juin 07 de Marazul, fait rare et intéressant, les travaux de 
rénovation des appartements pour un montant de plus de 2 millions d'euros 
ont été refusé 1563 voix pour en parts, 2724 voix en parts 
contre ! Le conseil de surveillance semble lui-même s'être mis de 
la partie ??
Motif donné par l'un des associés; 
 
" 
aujourdhui 31/08/07 le procès-verbal de l'assemblée générale 
du 20/06/07 nous est enfin parvenu,le vote a donné lieu à un refus 
de l'appel de fonds pour rénover complêtement les appart sur 6 étages 
; la majorité des votants a trouvé que l'amélioration est 
sûrement néccessaire de tous l'ensemble MARAZUL, à condition 
de garder une possibilité réelle de revente , pas seulement une 
promesse, pour les associés qui le souhaitent, et en particulier les enfants 
qui en ont hérité. Aucun conseil sérieux vous invitera à 
investir dans un bien dont la valeur se dégrade chaque année . Le 
résultat des élections est enfin connu "
 
Donc un tel 
vote est possible, ce qui signifie que quelqu'un a pu faire de la pub contre cette 
proposition.. Comment ?
5-9-07
COPIE 
DU COURRIER ENVOYÉ LE 9 FEVRIER 2005 
Le dernier de mes parents est 
décédé le mois passé, à l'âge de 90 ans, 
me laissant, comme seul héritier, l'appartement 01504, période 14, 
du Clubhotel des Deux Alpes, où d'ailleurs ils n'allaient plus depuis plus 
de vingt ans, et où je n'ai moi-même jamais mis les pieds.
J'habite 
Montréal et je suis citoyen canadien depuis quarante ans. Toutes mes activités 
récréatives avec mes enfants et petits enfants se passent en Amérique, 
et les Deux Alpes sont bien loin !
J'ai constaté, par ailleurs que la 
période 14 en est une où le taux d'inoccupation m'a-t-on dit, voisine 
les 70%. Dans ces conditions, même après avoir mandaté Clubhotel 
pour la vente de ce studio, je ne m'attends pas, si un client éventuel 
se présentait, à ce qu'on lui propose mon studio, pour lequel je 
paie toujours mes charges, alors que tant d'autres sont disponibles. En bon gestionnaire, 
Clubhotel préférera ajouter ce nouveau client à son effectif.
Par 
ailleurs, en fouillant dans les dossiers laissés par mes parents, j'ai 
relevé une lettre du Conseil de Surveillance datée du 1er octobre 
1996, dans laquelle on peut lire à propos de l'Assemblée Générale 
du 14 mai 1996:
PROJET DE FERMETURE DES PERIODES DE JUIN ET DE SEPTEMBRE
Vous 
avez pu lire que cette Assemblée Générale avait émis 
"le vif souhait d'obtenir des éléments pour présentation 
à la prochaine Assemblée" d'une résolution de fermeture, 
partielle ou totale, de ces deux périodes.
La désaffection pour 
les mois de juin et septembre (le taux d'occupation est inférieur à 
20% depuis trois ans) et l'augmentation continue du montant des charges impayées 
(à la fin du dernier exercice, 914.000 F leur sont imputables sur un total 
général de 1.067.000 F) recommandent que, dans l'intérêt 
de la Société Civile et pour faire suite à la demande de 
nombreux Associés, une décision soit prise sans plus tarder.
Le 
Conseil de Surveillance préconise la suppression définitive et totale 
des périodes de juin et septembre.
Notre Gérant, Clubhotel 
qui a une grande expérience de la gestion de résidences de montagne 
et a déjà réalisé plusieurs fermetures de périodes, 
estime également qu'il convient de rechercher une telle solution.
Du 
reste, la quasi-totalité des réponses reçues à ce 
jour sont favorables à la suppression totale, et cela, presque toujours, 
sans compensation.
Je constate donc que la situation à laquelle 
je suis confronté ne date pas d'hier. 
À défaut d'une 
remise à l'ordre du jour de ce qui était déjà un problème 
en 1996, devrais-je donc me résigner à payer jusqu'à ma mort 
ce studio qui n'intéresse personne, et à transmettre aux petits 
enfants de mes parents et pourquoi pas à leurs arrières petits enfants, 
cette charge qu'ils n'ont, pas plus que moi, voulue?
On admettra qu'il y a 
là quelque chose de surréaliste.
Dans un autre document 
du dossier Deux Alpes, on évoquait la possibilité de se départir 
de ses parts pour un franc symbolique... Cela pourrait-il encore se faire...?
J'en 
appelle donc à votre compréhension de la "situation-cul-de-sac" 
où je me trouve, en raison d'une part du désintérêt 
pour cette période 14 de juin, constatée par votre Conseil lui-même, 
et d'autre part, de mon absence du territoire français.
AUTRE 
COURRIER ENVOYÉ À UNE RESPONSABLE DE CLUBHOTEL:
Votre 
collègue a dû vous faire part de la conversation téléphonique 
que j'ai eue avec elle aujourd'hui, 21 novembre 2006.
Pour la X ème 
fois, j'ai constaté le peu d'empressement que l'on met à essayer 
de trouver une issue à ma situation.
Je vous ai fait parvenir un petit 
dossier en recommandé, qui rappelle nos échanges de courriels remontant 
à mars 2005: Il était trop tard, me disiez-vous alors, pour présenter 
au Conseil de surveillance du 15 février 2005 les demandes et observations 
que j'avais formulées concernant la période 14 des Deux Alpes.
J'ai 
constaté que ces mêmes doléances n'ont pas été 
soulevées davantage au Conseil de 2006 !
Et pour toute réponse 
à ces courriers, j'ai reçu une Mise en Demeure pour non paiement 
des 477 euros que me coûte depuis des années ce studio vide !
C'est 
vraiment le pot de terre contre le pot de fer, et c'est bien la Société 
civile qui tient le gros bout du bâton !
Dans votre courriel du 1 mars 
2005, j'avais pourtant cru percevoir un réel intérêt de votre 
part pour la situation assez hors du commun où je suis, lorsque vous vous 
proposiez de l'évoquer devant le Conseil, et de voir avec votre service 
juridique, " des sorties envisageables "...
Si vous les évoquiez, 
c'est qu'elles doivent bien exister...
Mais depuis tout ce temps, plus de nouvelles.
Mon 
père est mort il y a dix ans, et ma mère l'an passé à 
90 ans, ne comprenant même plus, dans la confusion due à son âge, 
pourquoi on lui réclamait toujours de l'argent pour un contrat dont elle 
ne se souvenait même plus!
Et moi qui vit au Canada !
Mais les Sociétés 
ne sont pas là pour comprendre des situations absurdes dont elles tirent 
avantage, sans aucune compassion ni remords...
À moins que parfois, 
quelqu'un, vous peut-être, décide d'humaniser un peu les choses...
Avec 
mes salutations,
J D.
AUTRE LETTRE ENVOYÉE:
Je 
vous fais part, plus bas, du message envoyé à votre collègue, 
message resté à son tour sans réponse.
Des rumeurs d'arnaque 
courent autour du nom de votre Société, mais ma tendance naturelle 
à faire confiance aux gens m'empêche d'y croire, ainsi que la civilité 
de nos correspondances passées.
Quelque chose a-t-il changé dans 
la gestion de votre entreprise ?
Comment se fait-il qu'on ne réponde 
plus à des demandes qui me semblent parfaitement légitimes en tant 
que sociétaire, et maintes fois réitérées, à 
savoir les copies du contrat original signé par mes parents, la promesse 
que le maintient ou non de la période 14 des Deux Alpes serait soulevé 
en Assemblée générale, et que des "sorties envisageables", 
selon les termes de votre collègue puissent être évoquées 
avec vos services juridiques, vue ma situation très particulière.
Tout 
cela n'est-il que de la poudre aux yeux pour faire perdurer cette situation, et 
continuer d'encaisser mes redevances pour un studio vide ?
La dernière 
fois que j'ai vu mes parents dans ce studio des Deux Alpes, et je l'ai noté 
dans mes agendas car je n'allais pas si souvent en France, et particulièrement 
au mois de juin de la période 14, c'était en 1982... il y a 24 ans 
!!!
Il n'y sont jamais plus retournés, se sentant trop vieux pour la 
montagne.
J'espère de vous une réponse encourageante...
Avec 
mes salutations,
(L'ART DE FAIRE TOURNER EN ROND !!!)
(et 
de conclure:...)
Une ACTION COLLECTIVE, comme cela existe en Amérique 
du Nord, est-elle possible en France ?
Avec un million de personnes victimes 
de la multipropriété, cela devrait être une arme très 
puissante...
Souhaitons-nous bonne chance !
Bien à vous.
"En 1989, jai gagné par tirage au 
sort lors de louverture dun usine center à Moirans quinze jours 
en multipropriété eu juin à Gruissan résidence « 
Les Occitanes ».
 
Jai pu en profiter irrégulièrement 
durant quelques années grâce à des échanges puis, il 
ny a plus eu de possibilités déchange ni de mise en 
location. Jai donc souhaité céder mes parts afin de ne plus 
avoir à payer des charges sans aucune contrepartie.
Malgré mandat 
de vente et nombreux appels téléphoniques avec les commerciaux de 
Multivacances, la revente est totalement impossible. Je leur ai même proposé 
de céder mes parts gratuitement et en plus de prendre à ma charge 
les frais denregistrement mais même dans ces conditions, ils nacceptent 
pas de reprendre mes parts !!!!!(alors que le commercial de Pierre et Vacances 
mavait dit au départ que je pourrais rétrocéder mes 
parts dès que je le souhaiterais puisquil sagissait dun 
gain).
 
Par ailleurs, ils ne mont donné aucune nouvelles pendant 
trois ans (ni demande déchange/location, ni PV dassemblée 
générale, ni appel de fonds) et me réclament fin 2007 une 
somme exorbitante prétendant ne pas avoir la bonne adresse alors qu elle 
figurait sur leurs derniers courriers en 2003 !!!
 
Séparée 
depuis peu, ma situation aujourdhui ne me permet plus de partir en vacances 
et je refuse de payer des charges sans contrepartie."
(de l'art 
de ficeler les gens par un tirage au sort !!)
On nous informe: la SCA de GARDEN CLUB de BRANVILLE 
a été dissoute. Le rachat de la part est fixé à 
0, 96 euros, soit 2753 euros pour un 3 pièces en période rouge. 
Le liquidateur est Pierre et Vacances qui détenait 80 % des parts. Intéressant 
n'est-ce pas ? Donc Pierre et Vacances a la solution de la fin du Timeshare français. 
Mais en attendant cette fin, on vous traînera encore devant les tribunaux. 
Mme MOUSSET
6 
rue du Duc de Sully
45100 Orléans La Source
 Orléans, le 
19 Avril 2008
 
 Lettre ouverte à Monsieur
 
 Sénateur 
Monsieur SUEUR Jean-Pierre
Casier de la Poste, 15 Rue Vaugirard
75291 Paris 
cedex 06 
( et également au député Grouard Serge)
Monsieur,
 
 Je viens vers vous en dernier recours afin que vous puissiez intervenir en 
ma faveur.
Je me débats depuis 1984 auprès de nombreuses instances 
sans que l'on prenne mon problème en considération. En effet, je 
suis victime d'une forme d'escroquerie au temps partage.
- En 1984, mon frère 
et moi-même héritions de notre mère 2 semaines de vacances 
en temps partagé (timeshare) à Reberty les Menuires en Savoie (CLUBHOEL 
PIERRE ET VACANCES) pour la période de début juin où malheureusement 
la station est fermée (période qui n'aurait jamais dû être 
vendue), ainsi que la résidence elle-même. Lors de notre déplacement 
à l'appartement, nous avons trouvé la porte clause. 
Ne pouvant 
donc pas en avoir la jouissance, nous souhaitons vendre ce bien depuis plus de 
24 ans et nous sommes même prêts à le céder pour l'euro 
symbolique, ce qui s'avère impossible. 
 CLUBHOTEL reconnaît notre 
situation puisqu'il propose sans succès (car aucun effort n'est fait de 
sa part) d'annuler cette période aux AG de la SCI !. 
- Apres de nombreux 
recours auprès de la SCI Reberty, rue de la Faisanderie à Paris, 
et SA Multivacances Clubhotel l'ARTOIS Espace Pont de Flandre 11 rue de Cambrai 
à Paris, je me vois ce jour contrainte de payer un reliquat de condamnation 
pour des charges impayées, ainsi que des nouvelles charges pour un bien 
dont je n'ai jamais pu profiter et dont je ne veux pas. J'ai en effet été 
assignée en 2005 sans pouvoir me défendre par manque d'argent. Tous 
les interlocuteurs que j'ai pu rencontrer : avocat, notaire, association de consommateurs
, 
m'ont confirmé qu'à ce jour, aucune législation ne protège 
les personnes dans une situation comme la mienne, victimes d'une loi inique, celle 
du 6-1-1986 et de l'article 212-9 du code de la construction, qu'on n'a pas fait 
connaître à ma mère lors de son achat.
C'est pourquoi je 
me tourne vers vous Monsieur afin que vous demandiez au PDG de CLUBHOTEL, rue 
de Cambrai, de bien vouloir annuler la totalité de ma dette, ainsi que 
le contrat qui me lie à cette SCI Reberty. De même je vous demande 
instamment de bien vouloir faire annuler l'article 212-9 du code de la construction 
dans son paragraphe 9, en intervenant auprès des Ministres de la Justice 
et de l'économie.
 Je vous demande intercéder en ma faveur auprès 
des huissiers Vallet Gérard et Regina Laure à Orléans et 
l'avocat NEBOT Place Henri Bergson à Paris.
Je vous remercie de l'attention 
portée à ce courrier. Sachez que je me tiens à votre disposition 
pour toutes informations complémentaires.
 
Je communique ce courrier 
à l'ADCSTP (www.tempspartage.org) qui le rendra public. 
 
Je vous 
prie de croire, Monsieur, en l'assurance de mes considérations distinguées.
 
 
L M
(des méthodes de brigands....)
Je me permets de vous écrire pour porter 
à votre connaissance la situation inextricable dans laquelle je me trouve 
aujourd'hui et qui semble n'avoir aucune issue.
Le 19/03/1992, j'ai acquis 
auprès de Pierre et Vacances, des parts sociales dans la SCI Résidence 
Le Tanit à Antibes qui me donnaient droit à 15 jours de vacances 
au mois d'Octobre. En 1993 je suis allée pour la lère fois à 
Antibes. J'ai constaté le mauvais état des matelas dont la mousse 
partait en poussière. Lors de l'Assemblée Générale 
du 26/05/1994 j'ai signalé ces faits. Le 01/09/1995, j'ai réglé 
les charges pour la dernière fois, en même temps j'ai demandé 
si les matelas avaient été remplacés. J'ai occupé 
ma période du 07/10/1995 au 21/10/1995 et j'ai pu constater que les matelas 
n'avaient pas été changés. J'ai pu aussi constater toutes 
les détériorations de la Résidence ainsi que la perte de 
certaines prestations hôtelières. J'ai envoyé une lettre Recommandée/AR 
le 08/12/1996 au PDG, Monsieur PAGES, en expliquant tous ces faits et en lui demandant 
de faire le nécessaire. Puis j'ai fait un Fax de relance le 26/08/1997. 
J'ai encore envoyé une Recommandé/AR le 23/03/1998. Je n'ai jamais 
obtenu de réponse à mes courriers. Je suis donc allée à 
la réunion des " co-propriétaires " afin d'avoir un interlocuteur 
et poser mes questions. J'ai constaté que Monsieur PAGES refusait le dialogue. 
De nombreux copropriétaires étaient eux aussi mécontents 
du fait de la mauvaise gérance sur le site d'Antibes et de la perte de 
nombreuses prestations au fil des années.
J'ai donc décidé 
de contacter tous les copropriétaires possédant le même studio 
que moi et je leur ai demandé s'ils souhaitaient que nous constituions 
un pool pour revendre tous ensemble nos parts afin de trouver un seul acquéreur 
en pleine propriété. Cette action n'a pas pu aboutir car 3 copropriétaires 
n'ont pas voulu y adhérer. J'ai passé une annonce sur le Journal 
"J'annonce"
Na 476 du 24 au 30/09/1998 pour revendre ma période, 
je n'ai reçu aucune proposition. Désespérée j'ai tout 
abandonné. De son côté CLUBHOTEL MULTIVACANCES ne m'a ni relancé, 
ni sommer de payer, toujours le même silence. Puis en 2004, leur Avocat 
Maître NEBOT, m'adresse une Recommandée/AR. Etant au chômage 
je n'ai pas répondu et le 08/12/2005, j'ai reçu une Assignation 
pour comparaître le 21/02/2006 devant la juridiction de Colombes. Le Jugement 
Civil du 21/03/2006 me condamne à payer les arriérés de charges 
pour le seul motif : " Mme Teisseire ne chiffre pas le montant du préjudice 
subi.... ". Le 09/03/2006, je quitte Paris pour revenir définitivement 
à Nice, ma région d'origine. Puis je reçois de la SCP TEBOUL 
à MEUDON un avis de Saisie prévu le 29/03/2007 à mon domicile 
Parisien.
En Octobre 2007, je contacte Maître Patrice ROMEO, qui me propose 
d'agir en tant que Médiateur de Justice, afin d'établir avec Pierre 
et Vacances, un Protocole d'accord amiable. Maître ROMEO a établi 
différents courriers, qui sont tous restés sans réponse.
Le 
20/05/2008, je reçois un Itératif de Commandement aux fins de saisie-vente 
de la SELARL CAPUTO. Je fais alors un courrier à Maître CAPUTO, 
Huissier à Nice. en demandant la saisie et la vente des parts sociales, 
comme prévu dans les Statuts de la SCI. Maître CAPUTO m'a fait savoir 
par courrier du 29/05/2008 que ma demande a été refusée.
Dans toute cette histoire, je me heurte à un mur de silence, une force d'inertie et un laxisme de la partie adverse qui refuse le dialogue et fait ainsi blocage à tout arrangement amiable et ce depuis 1995.
Voilà où j'en suis aujourd'hui et j'attends le passage de l'Huissier pour venir me saisir mes biens à mon domicile de NICE.
(cette dame n'a rien à saisir chez elle, il est probable que l'huissier ne se dérange même pas....)
Au Clubhotel les Deux Alpes, AG: la proposition de scission des périodes de juin et septembre n'a pas été votée (trop juteux de contraindre quelqu'un à payer des charges en période complète de station fermée). Par contre un budget de plusieurs millions d'euros aurait été voté pour la rénovation complète de l'immeuble. (Dissolution en perspective ??)
Nous avons assisté début Juillet à l'AG des propriétaires des 2 immeubles Pierre +Vacances Porte de Versailles à Paris( où nous avons un time-share depuis 1975) et aucune réponse précise n'a été apportée aux questions pourtant claires et précises posées par les propriétaires présents concernant l'avenir de ces immeubles;la seule certitude que nous ayons est que les charges ne cesseront d'augmenter puisqu'il faut envisager une rénovation lourde,et la clientèle hôtellerie se raréfie d'année en année ,la concurrence avec des formes d'accueil plus actuelles (pour des tarifs identiques) s'intensifiant.
La rapacité de Clubhotel:
"Mes 
parents possèdaient 5 mois à ST Mandrier au Club Hotel, ne voulant 
pas continuer cette misère, les héritiers ,dont moi-même, 
avons tout fait pour nous en débarrasser, mais le notaire a demandé 
à la société de vendre. lorsque nous nous intêressions 
à cette vente, et que nous voulions à tout prix brader, nous ne 
pouvions pas baisser le prix à moins de 1000 euros la période, sans 
autre explication. Maintenant c est vendu, on ne l a appris que lorsque nous avons 
trouvé nous même un acheteur. quand je posais la question : combien 
l avez vous vendu ? on me répondait le prix que vous avez demandé." 
c est à dire : 3x1000 euros pour 3 périodes." le temps passe 
, le notaire nous envoi le projet de succession et je découvre : vente 
des parts de Clubhotel SAINT MANDRIER (tenez vous bien à votre chaise ) 
14.79 euros. je pense à une erreur, et bien non, ce qui manque est leur 
commission sur la vente, voilà pourquoi nous ne pouvions baisser le prix 
en dessous de 1000 euros. mais à l origine les 5 mois n étaient 
pas découper en périodes, la commission aurait dû être 
prise une fois, mais pas 3 fois. conclusion : c est de la merde et surtout ne 
trempez pas les mains dedans, car on n a pas encore trouver le détergent 
pour la nettoyer. le pire c est qu il nous reste encore 2 mois aux 2 alpes.....salutations 
à vous" 
 
LE TORCHON BRULE ENTRE PIERRE ET VACANCES ET LE PRESIDENT DU CONSEIL DE SURVEILLANCE DE LA SC TOUROTEL VAL-THORENS !
RESUME DE LA CORRESPONDANCE RECENTE
Courrier du 26/10/2009 du Président du Conseil de Surveillance de la SC TOUROTEL VAL-THORENS à Mr BREMOND PDG de PIERRE et VACANCES. Ceci concerne les évènements intervenus à lAssemblée Générale du 15/06/2009. Ils sont inacceptables car il y a eu interventionnisme non statutaire concernant les bulletins de vote.
Ceci sajoute à :
- une gestion laxiste
- peu de considération pour le Conseil de Surveillance
- rapport de gérance identique dune année sur lautre
- pas de suivi des travaux dentretien courants
- pas dintervention après un important dégât des eaux
- travaux de toiture non faits, reportés dannée en année alors que le budget a été voté
- pas dinformation au Conseil de surveillance du déroulement des contentieux qui entraînent des coûts supplémentaires de gestion. En particulier pas dinformation sur les litiges avec laffaire FROT/SC
- renvoi du gestionnaire du parc TV de la résidence, sans consultation du Conseil de Surveillance
- pas de mise à jour des statuts depuis la LOI 86-18 ! ---- pas dinformation du siége social de la SC
- aucune constitution de trésorerie prévisionnelle, ce qui a conduit la SC à être à découvert sur plusieurs exercices !
Cette situation a généré une perte de confiance avec PIERRE et VACANCES
Courrier du 17/11/2009 du Président du Conseil de Surveillance de la SC TOUROTEL VAL-THORENS à Mr Philippe PAGES de PIERRE et VACANCES
Concerne : Modification du bulletin de vote des associés à lAssemblée Générale du 15/06/2009, en usage depuis 30 ans, sans consultation du Conseil de Surveillance. La phrase suivante a été rajoutée « Tout bulletin ou pouvoir retourné sans indication de vote sera comptabilisé comme vote favorable à lensemble des résolutions « . Ce qui nest pas sans
conséquences.
Courrier du 01/09/2009 du Président du Conseil de Surveillance de la SC TOUROTEL VAL-THORENS à Mr Philippe PAGES de PIERRE et VACANCES
Concerne lAssemblée Générale du 15/06/2009. - - La Directrice de la gestion de la Multipropriété a pratiqué un interventionnisme abusif avec les bulletins de vote.
Le Conseil de Surveillance nacceptera plus de telles méthodes qui mettent en cause la validité de lAssemblée Générale. Des associés présents se sont vus refuser de participer au vote, ce qui est inadmissible.
- Le Conseil de Surveillance sétonne de la faible participation des Associés : 20,66% à lAG du 15/09/2009 au lieu de 47,59% lannée précédente.
Causes présumées :
~ Démobilisation des Associés pour cause de date tardive de lAG
~ Démobilisation des Associés du fait de la dégradation économique du fonctionnement de la Multipropriété. Charges en augmentation pertes dexploitation avec les locations de plus en plus difficiles sans compter les périodes non louables et invendables !
- Des pouvoirs et des votes par correspondance se seraient perdus lors de la dernière AG !
- Des contrôles vont être mis en place à lavenir, il est envisagé de faire appel à un
Huissier de Justice.
Courrier du 01/09/2009 du Président du Conseil de Surveillance de la SC TOUROTEL VAL-
THORENS à tous les ASSOCIES
Sujets Généraux
« Le GROUPE PIERRE et VACANCES a acquis en 2002 MAEVA et sest trouvé de fait GERANT de la SC TOUROTEL VAL-THORENS, sans aucun vote ou choix des associés ! est-ce une situation légale ? »
- chapitre déjà résumé précédemment
- Nous avons décidé de ne pas voter le quitus à la prochaine Assemblée Générale et nous vous invitons à faire de même.
- Le CS vous invite dorénavant à envoyer vos pouvoirs au domicile des membres du CS
Sujets juridiques
Le CS na pas été consulté concernant les sujets suivants :
- procès engagé contre la SCTVT
- dépôt des nouveaux STATUTS. Modification de ladresse du Siège
- gestion du PARC TV ( arrêt du contrat et offre non écrite, non formalisée )
- fermeture de la période 21: aucun soutien
- échange des surfaces avec NOVOTEL (MERCURE ), le dossier traîne depuis des années !
Sujets financiers
- le « poste honoraires de la Gérance » est le seul qui augmente dannée en année ! Les honoraires du Gérant ne paraissent pas justifiables
- la gestion des périodes hors statut est opaque. Il nest fourni aucun état !
- nous notons une perte de 15825 € sur les travaux de toiture
- la SCTVT prend en charge tous les frais dexploitation de la gérance, y compris la ligne informatique dédiée entre Val-Thorens et Annecy
-pas de prévisions de trésorerie Sujets dexploitation
- ASSOCIES quasiment sans interlocuteurs chez CHMV, contacts téléphoniques très difficiles
- le TAUX DOCCUPATION de la résidence BAISSE, il devient particulièrement MAUVAIS LETE. Notre grand concurrent est le GROUPE PIERRE et VACANCES avec la Résidence « LES TEMPLES DU SOLEIL » avec PLUS de 400 STUDIOS
-pas de comptes rendus des Conseils de surveillance Sujets techniques
- quasi absence de la gérance en cas de problème de gestion du Personnel ou matériel, supervision des travaux du sinistre dégâts des eaux il y a 2 ans(35000 € )
Sujets généraux
- aucune réflexion sur lévolution du produit « MULTIPROPRIETE !!!
Courrier du 08/01/2010 du Président du Conseil de Surveillance de la SC TOUROTEL VAL-
THORENS aux 17 ASSOCIES répertoriés par le CS de la période 02
- le Président du CS demande à ces Associés de se coordonner au cours dune réunion à Val-Thorens pour désigner un représentant qui recueillera questions et problèmes afin de les faire remonter au CS
- les ASSOCES peuvent se connecter sur le site WEB du CS pour obtenir des informations sur la SCTVT (demander ladresse au CS Tourotel Val-Thorens)
CB (Un malheureux associé parmi les nombreux arnaqués qui, depuis des années, na pu NI LOUER, NI VENDRE son STUDIO de VAL-THORENS )
SC : Société Civile
CHMV : Gérance Clubhôtel Multivacances
CS : Conseil de Surveillance
AG : Assemblée Générale
SCTVT : Société Civile Tourotel Val-Thorens
"la semaine dernière , je me rends chez P et V espace 
pont de Flandre à PARIS avec deux missions 
 
Une récupérer 
le listing des assciés d'une SCI 
la deuxieme une résolution 
de mise à l'ordre du jour de la prochaine assemblée generale 
 
Après un accueil courtois à l'accueil , j'attends la venue d'une 
chargée de copropriété
deux personnes se présentent 
, il est vrai que je dois ètre du gibier pas docile donc deux secrétaires 
sont nécessaires .
 
La conversation s'engage , 
Monsieur il est 
impossible de vous remettre la liste des associés , il nous faut une lettre 
recommandée , 
cela tombe bien voici une lettre que vous émargez 
et me remettez la liste 
Ah mais non Monsieur ce n'est pas un recommandé
Visiblement 
Madame , vous ne connaissez rien en droit donc je vais vous donner une petite 
leçon , les voyous , il faut les mettre au pied du mur et des escrocs de 
votre accabit , il n'y a aucune gène avec eux 
Vous n'allez pas me chanter 
la traviata en anglais , ni me jouer du pipo , donc contre cette lettre que vous 
allez émarger , vous aller me remettre la liste des associés c'est 
ma première demande 
et ensuite voici une résolution à 
mettre à l'ordre du jour de la prochaine AG 
Monsieur ce n'est pas possible 
l'ordre du jour est déja établi , très bien alors montrez 
le moi , je ne peux pas ,, eh bien c'est ce que nous alons voir , le ton monte 
, les hotesses rigolent en voyant la scène .
Monsieur , nous devons 
vérifier si vous ètes dans le fichier 
Pas de problème 
mesdames , je vous attends 
pendant ce temps d'attente arrive un couple de 
personnes agée qui suite à un entretien de la veille au téléphone 
ont fait 800 kms pour rencontrer un interlocuteur suite à un probleme de 
semaine en temps partagé à la montagne , visiblement ceux ci sont 
victimes commes nous tous , la solution proposée par Pet V , nous reprenons 
votre semaine , contre rien en échange ou alors vous occupez votre semaine 
, mais la station est fermée , il n'y a rien mais strictement rien d'ouvert 
, la réponse de P et V , eh bien vous resterez couches toute la semaine 
, ils ne vont rencontrer personne , seule une conversation téléphonique 
à l'accueil de P, et V va avoir lieue
Il sont hors d'eux 800 kms pour 
un coup de fil 
nous nous echangeons nos coordonnées et je leurs demande 
de patienter un peu 
Arrive une nouvelle personne de P et V à l'accueil 
, Monsieur XX est la , les hotesses me montre du doigt 
ma nouvelle interlocutrice 
, m'aborde et recommence son refrain de la lettre recommandée en me tirant 
à l'écart 
Une colère folle me monte à la tète 
et là tout va très vite 
Madame c'est le fichier des associés 
immédiatement sinon c'est la police et l'huissier 
écoutez madame 
votre messe et discours sont usés changez de disque , vous me remettez 
les fichier des associés , mon interlocutrice , visiblement très 
bien rodée pour embobiner les propriétaires me réclame donc 
la somme de 2, 40 euros , pas d problème madame les voici , ah non Monsieur 
il me faut un chèque , 
c'est une plaisnaterie Madame, 
non Monsieur 
, je ne peux pas prendre d'espèces , donc vous refusez le paiement , alors 
vous me remettez le fichier associés 
oui mais c'est payant , vous ne 
bougez pas Madame , je reviens avec la police , 
Madame redonnez moi les deux 
lettres , je reviens 
Il faut dire que dans le hall d'accueil commençait 
à y avoir un petit attroupement contemplant le spectacle , des cris fusaient 
Je quitte P et V , le temps de me rendre au commissariat , sur le trajet , 
mon téléphone portable sonne , c'est Mme de P et V , j'ai vu avec 
mon service juridique , exceptionnellement nous aloons vous remettre le fichier 
, revenez je préfère que nous nous arrangions à l'amiable
A 
mon retour chez P et V , je redemande Mme XX , celle ci demande aux hotesses si 
je suis seul , la peur s'est installée chez P et V 
Le couple de personnes 
agée est toujours là et aisiste à la comédie
Voila 
mon interlocutrice qui arrive avec le fichier des associés , Madame votre 
service juridique ne vaut rien et vous ,vous me signez ces documents , 
Monsieur 
vous me signez celui ci , c'est une lettre manuscrite mentionnant le paiement 
des 2,40 euros 
Madame XX est troublée , à tel point qu'elle 
se trompe dans la date 
Toujours dans le hall d'accueil , la conversation ayant 
eu lieu a haute voix de nouveaux arrivants suivent la scène 
Mon interlocutrice 
s'apprètant à partir , je l'interpelle à nouveau en lui diant 
que aujourd'hui ce n'était que le début d'un apéritif que 
le meilleur est à venir , quand on à affaire a des voyous , il n'y 
a pas d'accord possible 
 
Depuis je planche sur le dossier et mes découvertes 
vont certainement intéresser plus d'un copropriétaire en multipropriété 
Plusieurs failles sont présentes 
La guerre commence contre une 
escroquerie organisée depuis trop d'années avec l'appui de nos politiques 
" 
Jai fait lacquisition fin 2004 dun appartement en multipropriété (temps partagé) à Méribel Mottaret auprès de la société clubhotel. Cela me donnait droit à 3 semaines par an au mois davril, à savoir la semaine du 12.04, celle du 19.04 et enfin celle du 26.04. Semaines dont je pouvais bénéficier à titre personnel ou dédier à la location.
Au cours de lannée, 2005 jai donc pu profité de mon appartement en multipropriété à Méribel Mottaret où jai décidé de partir 2semaines pour aller skier. Jy suis donc allé à partir de ma 2e semaine (cest à dire à partir du 19.04).
Mais au cours de ces premières vacances je nai pu réellement profiter que dune seule semaine, la station fermant au début de la seconde semaine (domaine skiable, magasin dalimentation, magasin de location de ski). Javais été me plaindre et on ma répondu que lannée prochaine la station serait ouverte plus longtemps.
Lannée suivante (année 2006), à cause de problèmes de santé je nai plu my rendre et jai donc délégué à la société clubhotel la location de mes 3 semaines comme ils me lavaient proposé lors de mon achat.
Durant cette année ils mont loué uniquement ma 1e semaine (du 12.04 au 18.04) au prix de 280 euros, alors quils mavaient dit quils pouvaient la louer plus de 400 euros. les autres nont pas été louer(certainement à cause de la fermeture de la station.
En 2007 jai encore voulu leur faire confiance pour la location de mon appartement malgré les difficultés à les joindre mais il na pas été loué. Jai donc décidé après laugmentation excessive des charges ,557 euros en 2005, 537 euros en 2006 et 723 euros en 2007 de le mettre en vente, ils mont fait parvenir un mandat de vente que je leur ai retourné.
En 2008, jai effectué un nouveau mandat de vente vu que le premier na pas donner lieu à une vente et par la suite je nai pu acquitter les charges, ils mont donc refusé mon droit den disposer ainsi que le droit de le louer.
De plus par la suite je nai eu aucune nouvelle, jai eu quelques problèmes et jai déménagé et jai un peu oublié cet appartement.
Et le 28 février 2011, jai reçu une lettre dun cabinet davocats (lettre non recommandé) qui me demande de mettre à jour mes charges pour un montant de 2892 euros sous 48 heures sous peine de poursuites et que je devais prendre cette lettre comme une mise en demeure. Et il est écrit 2e envoi alors que je nai rien reçu auparavant.
Je me suis donc renseigné sur internet et jai vu le problème du temps partagé.
Jai donc le sentiment dêtre piégé, je ne peux plus my rendre(et ne souhaite plus car je suis à la retraite), et je ne peux pas non plus le louer et cest invendable.
J'ai de faibles revenus ....."
Extrait des Minutes du Greffe
 de la Juridiction 
de Proximité
 de Perpignan, Département
 des Pyrénées 
Orientales
 République Française
 Au Nom du Peuple Français
 
AUDIENCE DU 23 Juin 2006
 JURIDICTION DE PROXIMITE DE PERPIGNAN JUGEMENT DE 
DEBOUTE
 DOSSIER N° 91-05-000235 DEMANDEUR (s)
La S.C.I. RESIDENCE 
LES HEBRYDES dont le siège social est 27 Rue de la Faisanderie, 75116 PARIS, 
prise en la personne de son représentant légal en exercice domicilié 
es-qualités audit siège
 représenté(e) par Me DULON 
Christophe, avocat au barreau de TOULOUSE
 DEFENDEUR(s)
Madame B
 
représenté(e) par Me GERMAIN-PHION Laure, avocat au barreau 
de GRENOBLE substituée par Me SANTONI avocat au même barreau
 
COMPOSITION DE LA JURIDICTION
JUGE D'INSTANCE STATUANT EN QUALITE DE JUGE DE PROXIMITE : Philippe MAZIERES
GREFFIER : Dominique PUIG
 SAISINE : 
Assignation en date du 10 août 2005, délivrée par Me Hervé 
CHATELARD, Huissier de Justice associé à TASSIN la DEMI - LUNE (69) 
;
lère Audience : 7 Octobre 2005
DEBATS : Audience Publique 
du 5 mai 2006 ;
 
 2
 FAITS - PROCEDURE - PRETENTIONS .
 Par 
acte du 10 août 2005, la S.C.I. RESIDENCE LES HEBRYDES a donné assignation 
à Mme Simone B aux fins de paiement de la somme de 1 698,90 €, représentant 
le montant débiteur, au 21 juillet 2005, du compte n° 81814096 enregistrant 
les appels de fonds et charges dus au titre des parts sociales de Mme B , n° 
008127 à 008149, lui donnant vocation à la dixième période 
de jouissance en temps partagé de l'appartement n° 43 de l'immeuble 
dénommé RESIDENCE HEBRYDES 1, situé sur le territoire de 
la commune de Le Barcarès, lieudit Coudalère, cadastré section 
A n° 4142, 4133, 4134, 4137, 4138, 4140 et 414. La S.C.I. RESIDENCE LES HEBRYDES 
demande en outre paiement de la clause pénale contractuelle impliquant 
que les sommes dues portent intérêts au taux des avances sur titre 
de la Banque de France majoré de deux points à compter de l'envoi 
de la mise en demeure, soit le 30 mars 2004 ; de la somme de 300 € à 
titre de dommages et intérêts et de la somme de 400 € en application 
des dispositions de l'article 700 du nouveau code de procédure civile.
La S.C.I. RESIDENCE LES HEBRYDES expose notamment que les impayés génèrent un déficit de trésorerie et contraignent les autres associés à répondre à la place des associés défaillants aux appels de fonds, au prorata de leurs droits sociaux.
Elle estime que la juridiction de proximité de Perpignan est compétente en raison du lieu d'exécution des prestations, la clause attributive de compétence au profit des juridictions du siège social de la société ne pouvant recevoir application que lorsque toutes les parties ont la qualité de commerçant et seul le demandeur pouvant s'en prévaloir ou y renoncer. Surtout, elle constate que Mme B demande le renvoi de l'affaire devant le juge de proximité près le tribunal d'instance de Paris sans autres précisions alors qu'il existe autant de juridictions de proximité que d'arrondissements. Dès lors, l'exception d'incompétence lui paraît irrecevable.
Sa demande lui paraît quant à elle recevable et fondée en raison du contrat signé par Mme B, contrat à exécution successive donnant un droit de jouissance partagée en contre partie du paiement des charges. Mme B ne peut pas contester être associée puisque, dans le même temps, elle indique avoir parfaitement satisfait à ses obligations de 1984 à 1998, avoir donné mandat de vente de ses parts sociales, y compris à titre gratuit et qu'elle invoque l'article 33 du contrat pour s'opposer aux demandes. En tout état de cause, la SCI RESIDENCE LES HEBRYDES indique produire aux débats l'acte de cession de parts souscrit par Mme B le 8 avril 1984 emportant novation du contrat de réservation, l'acte de cession ayant été notifié au cessionnaire un mois avant la date de sa signature.
Cette société considère que 
la convention l'unissant à Mme B n'est pas nulle, ne caractérisant 
pas un engagement perpétuel. L'article 212-9 alinéa 9 du code de 
la construction et de l'habitation interdit le retrait lorsque les statuts ne
 
 3
 prévoient que des attributions en jouissance et la loi du 6 
janvier 1986 ne déroge pas à ce texte. Le retrait est alors impossible 
et il est interdit à la société de racheter elle-même 
les parts sociales. La cession, quant à elle, est autorisée sous 
réserve d'accord préalable de la gérance et il appartient 
à Mme B de proposer un cessionnaire, étant précisé 
qu'elle a donné mandat de vente sans exclusivité à la SA 
MULTIGESTION, mandant auquel la SCI RESIDENCE LES HEBRYDES est tierce personne.
La SCI RESIDENCE LES HEBRYDES maintient donc ses prétentions principales et porte sa demande au titre des dommages et intérêts à la somme de 500 € et sa demande au titre des dispositions de l'article 700 du nouveau code de procédure civile à la somme de 800 €.
Mme invoque l'incompétence de cette juridiction, en application de l'article 33 des statuts, au profit du juge de proximité près le tribunal d'instance de Paris.
A titre subsidiaire, elle conclut à l'irrecevabilité de la demande en application des dispositions de l'article 1315 du code civil dans la mesure où la SCI RESIDENCE LES HEBRYDES ne rapporte pas la preuve de sa qualité d'associée. Ainsi, la cession de parts d'intérêts de la SCI, conclu le 8 avril 1984, à la suite de la promesse du 25 mars 1984 avec la SA MULTIGESTION, mandataire commun des propriétaires de parts de la SCI RESIDENCE LES HEBRYDES, n'était pas régulière puisqu'elle n'a pas été signifiée à la société ou acceptée par elle, selon les dispositions de l'article 1690 du code civil, ou n'a pas été régularisée par inscription du transfert au registre spécial de la société, avec intervention du gérant pour acceptation dispensant de signification, selon les dispositions de l'article 6 du contrat de cession des parts. Mme B en conclu qu'elle n'est pas associée de la SCI RESIDENCE LES HEBRYDES.
A son avis, le registre des associés ne peut pas prouver sa qualité d'associée, puisqu'il s'agit d'un document qui émane de la SCI RESIDENCE LES HEBRYDES qui ne peut pas se constituer une preuve à elle-même.
Très subsidiairement, elle invoque la nullité du contrat puisqu'il caractérise un engagement perpétuel. En effet, le contrat ne prévoit aucun droit de retrait des associés et il ne lui est pas permis, s'agissant de l'attribution de droits en jouissance, d'invoquer de justes motifs pour exercer son retrait. En outre, elle ne peut pas céder ses droits puisque, en pratique, cela est impossible, personne ne souhaitant en faire l'acquisition car personne ne veut s'engager perpétuellement. Or, la SCI RESIDENCE LES HEBRYDES a une durée de 50 années renouvelable.
Encore plus subsidiairement, Mme B sollicite 
des délais de paiement.
 
 4
 En tout état de cause, elle 
conclut au rejet des demandes en paiement de dommages et intérêts 
et au titre des frais irrépétibles, et elle sollicite paiement de 
la somme de 1 000 € en application des dispositions de l'article 700 du nouveau 
code de procédure civile.
 MOTIFS
 1- Sur l'exception 
d'incompétence.
L'article 75 du nouveau code de procédure civile dispose que, sous peine d'irrecevabilité, la partie qui soulève l'exception d'incompétence doit faire connaître dans tous les cas devant quelle juridiction elle demande que l'affaire soit portée.
Mme B demande que l'affaire soit portée devant le juge de proximité près le tribunal d'instance de Paris. Plus exactement, il doit s'agir de la juridiction de proximité de Paris. Or, Paris connaît une juridiction de proximité par arrondissement, de sorte que Mme B ne fait pas connaître la juridiction devant laquelle elle souhaite que l'affaire soit portée, laissant le soin à la juridiction de proximité de Perpignan de déterminer quel juge de proximité serait compétent.
L'exception d'incompétence sera donc déclarée irrecevable.
2- Sur la qualité d'associée de Mme B et la recevabilité de l'action de la SCI RESIDENCE LES HEBRYDES.
Ce moyen tient plus au fond qu'à la forme. En effet, les fins de non recevoir supposent que l'action soit déclarée irrecevable, sans examen au fond. Or, pour déterminer si Mme B est ou non actionnaire de la S.C.I. RESIDENCE LES HEBRYDES, il est nécessaire d'examiner le fond du litige.
Il est ici important de rappeler que ce n'est que parce Mme B a invoqué son absence de qualité d'associée, que la S.C.I. RESIDENCE LES HEBRYDES a produit aux débats le contrat de cession des parts intervenu le 8 avril 1984. Ce document n'était pas produit auparavant. Il est signé par la S.A. INVESTISSEMENT PIERRE & VACANCES, cédant, Mme B, cessionnaire, et la société MULTIGESTION, intervenant en qualité de gérant de la S.C.I. RESIDENCE LES HEBRYDES.
L'article 2 de ce contrat indique que 
la cession a été précédée d'un contrat de réservation 
en application duquel le projet d'acte a été notifié au cessionnaire 
un mois avant la date de sa signature. Cet article 2 précise qu'il est 
formellement convenu entre les partie que l'acte de cession fait novation au contrat 
de réservation, de sorte que les stipulations du dit acte prévaudront 
en tous points sur celles du contrat de réservation et ses prévisions.
 
 5
 L'article 6 de ce contrat stipule que la cession doit être " 
régularisée par l'inscription du transfert de propriété 
sur le registre de la société visée à l'article 12 
des statuts sur remise d'une expédition de l'acte de dépôt 
des présentes, au rang des minutes de Maîtres Bagnouls et Pagnon, 
notaires associés à Saint Laurent de la Salanque (66250) auquel 
un des gérants de la SCI Résidence HEBRYDES interviendra en personne 
ou par mandataire pour l'acceptation de l'acte de la cession, ce qui dispensera 
de signification à la Société par application de l'article 
1690 du Code Civil et vaudra notification pour l'application de l'article 8 du 
Décret n° 72-1236 du 29 Décembre 1972 ".
Les statuts de la société précisent que " Sous réserve du respect des dispositions ci-dessus du présent article, la cession de parts d'intérêt s'opérera suivant les formes établies par l'article 1690 du Code Civil, soit par acte authentique accepté par la société, soit par acte sous seing privé, signifié à la société ou accepté par elle dans un acte authentique, le tout dans le respect des dispositions de l'article 20 de la loi du 6 janvier 1986 ".
La SCI RESIDENCE LES HEBRYDES insiste sur le fait que cette cession n'est que la novation d'un contrat de réservation antérieur. La novation n'a qu'un seul effet, concrètement et simplement exprimé, c'est de remplacer le précédent contrat, lequel n'est pas produit aux débats. Dans la mesure où le contrat de réservation n'est pas produit aux débats, il est impossible de déterminer de quelle manière la novation s'est opérée. Ainsi, il est impossible de dire si Mme B a, par le contrat de cession, souscrit un nouvel engagement qui la liait précédemment sans qu'il soit possible de savoir avec qui elle était ainsi liée, ou si Mme B est venue se substituer à la SA INVESTISSEMENTS PIERRE & VACANCES en sa qualité d'associée de la S.C.I. RESIDENCE LES HEBRYDES. Le fait que ce contrat précise que le projet d'acte de cession a été notifié au cessionnaire, qui est Mme B, permet de penser que Mme B n'était pas partie à l'acte de réservation. En effet, il n'existe aucun intérêt à notifier à une partie à l'acte initial le projet du nouvel acte qui emportera novation ; seul un des contractants de l'acte originel ayant intérêt à ce que le projet de nouvel acte, parce qu'il va modifier l'économie du contrat qu'il a signé, lui soit notifié.
En tout état de cause, ce contrat formalise la cession par la S.A. INVESTISSEMENT PIERRE & VACANCES à Mme B des parts dont cette société dispose dans la S.C.I. RESIDENCE LES HEBRYDES. Parce qu'il s'agit d'une cession, les statuts de la S.C.I. et l'article 6 du contrat lui-même doivent être respectés. Or, la cession doit faire l'objet d'une régularisation devant notaire.
En 
effet, au sens de l'article 6 du contrat, la cession par acte sous-seing privé 
doit être déposée au rang des minutes d'un notaire. Si le 
représentant de la S.C.i. est intervenu à l'acte de cession, son 
intervention suivie du dépôt au rang des minutes du notaire dispense 
de devoir lui signifier la cession. Cette dispense est alors dérogatoire 
aux statuts qui prévoit une telle signification lorsque la cession a eu 
lieu par acte sous-seing privé. Cette signification n'est pas davantage 
nécessaire, d'après les
 
 6
 statuts, si la cession a 
eu lieu par acte authentique ou si la S.C.I. accepte la cession dans un acte authentique. 
Ainsi, quelle que soit l'hypothèse, l'intervention d'un notaire est indispensable.
En l'espèce, la cession a eu lieu par acte sous-seing privé avec l'intervention du représentant de la S.C.I., ce représentant étant au demeurant le même que le représentant de la S.A. INVESTISSEMENT PIERRE & VACANCES. Il ne restait donc plus qu'à déposer l'acte au rang des minutes du notaire, sans que cette cession ait à être acceptée par la S.C.I. ou signifiée à cette S.C.I.
Le dépôt au rang des minutes du notaire n'est pas prouvé. La cession n'a donc pas été régularisée et elle n'a donc pas été parfaite.
Certes Mme B a indiqué avoir payé les charges de copropriété et avoir donné mandat de vente de ses parts dans la S.C.I. Outre qu'il ne suffit pas de croire jouir de droits et de penser devoir en assumer la charge pour en avoir effectivement la jouissance, il demeure que les statuts ont été rédigé par les deux sociétés à l'origine du projet, toutes deux professionnelles. Ces deux sociétés sont donc mal venues d'opposer à Mme B une erreur qu'elles ont contribué à créer. L'argument ne sera donc pas accepté.
En conséquence, la S.C.I. RESIDENCE LES HEBRYDES sera déclarée déboutée de son action à l'encontre de Mme B, l'acte de cession des parts de la S.C.I. au profit de Mme BERTHOLLET n'ayant jamais été parfait de sorte que Mme B n'est pas associée de cette S.C.I.
Il serait inéquitable 
de laisser à la charge de Mme B, qui a payé diverses sommes dans 
le cadre de l'exécution d'une convention imparfaite, le montant des frais 
non compris dans les dépens qui ont dû être avancés. 
En conséquence, la S.C.I. RESIDENCE LES HEBRYDES sera condamnée 
à lui payer la somme de 600 € en application des dispositions de l'article 
700 du nouveau code de procédure civile
 Enfin, la S.C.I. RESIDENCE 
LES HEBRYDES sera condamnée aux dépens. PAR CES MOTIFS
 
Le tribunal, exerçant les fonctions de juge de proximité en application 
des dispositions de l'article L 331-9 du code de l'organisation judiciaire, statuant 
par mise à disposition de la décision au greffe, par jugement public, 
contradictoire et en dernier ressort ;
 
 7
 Déboute la S.C.I. 
RESIDENCE LES HEBRYDES tant de sa demande de paiement de la somme de 1 698,90 
€, que de ses demandes en paiements de dommages et intérêts 
et de frais irrépétibles, dirigées contre Mme B, non associée 
de cette S.C.I. ;
Condamne la S.C.I. RESIDENCE LES HEBRYDES à payer à Mme B la somme de 600 € (six cents euros) en application des dispositions de l'article 700 du nouveau code de procédure civile ;
Condamne S.C.I. RESIDENCE LES HEBRYDES aux dépens.
 LE GREFFIER LE PRESIDENT
 
 
 En conséquence.
 La République Française mande 
et ordonne
 - à tous huissiers de justice sur ce requis de mettre ledit 
jugenent à exécution. Aux Procureurs Généraux et aux 
Procureurs de la République près les Tribunaux de Grande Instance 
d'y ......la main.
 -à tous Commandants et Officiers de la force publique 
d'y prêter main-forte lorsqu'ils en seront légalement requis.
 
En foi de quoi. la présente grosse certifiée conforme à la 
minute du dit jugement a été signée, scellée le Greffier 
Chef soussigné
 `
 Perpignan, le 3-6-06~
 Le Greffier 
 
La SCI est déboutée de ses prétentions
La SCA est déboutée de ses prétentions
La SCA est déboutée de ses prétentions
(voir le site de l'APAF)
 
 
M° Nébot
 10 place Henri Bergson
 75008 Paris
Votre LR à Mr D S en date du 26-4-06.
Maître,
Mr D S me prie de bien vouloir vous répondre à sa place à la lettre que vous lui avez envoyée, le priant de payer ses charges dans les 48heures au clubhotel Val Thorens.
Ce monsieur est invalide, en fauteuil depuis son 
enfance. 
 Le clubhotel Val Thorens vient de lui confirmer qu'aucun fauteuil 
roulant ne peut entrer dans les ascenseurs et dans les chambres de la résidence. 
Il a " gagné " dans un jeu /concours il y a plus de 10 ans une semaine de timeshare, dont il n'a pas compris de quoi il s'agissait et qu'il a considérée à tort comme un placement, sur les propositions d'un représentant de Pierre et Vacances.
Vous voudrez bien, ainsi qu'il le demande lui donner la preuve qu'il est bien associé.
En tout état de cause, étant donné qu'il s'est fait piéger par un " vendeur " malhonnête de Pierre et Vacances, vous voudrez bien suspendre toute assignation à son encontre. Dans les circonstances actuelles, il paraîtrait opportun de le faire. J'ai d'ailleurs écrit à ce sujet à Mr Pages le 19-5 dernier. Je vous prie de recevoir, Maître, mes salutations distinguées."
La Psdte ADCSTP
(on sait que P et V s'adresse aux vendeurs très zélés du timeshare pour faire "gagner" ou vendre à n'importe quelles conditions, et à n'importe qui, des semaines de timeshare même si les ascenseurs des résidences ne sont pas faits pour les infirmes....)
Voir ci-dessus dans "Témoignages". Ascenseur du clubhotel Cap d'Agde non conforme: impossible d'y faire entrer une chaise roulante. Mais le détenteur de la semaine se voit assigné en justice pour payer ses charges !!! Pas de petitis profits !
p 6. Société Civile inter Résidences le Palet (Tignes)
RESOLUTIONS A CARACTERE 
EXTRAORDINAIRE
 (majorité requise : deux tiers du capital social)
TREIZIEME 
RESOLUTION (proposition)
 La collectivité des associés, connaissance 
prise du rapport du Conseil de Surveillance, approuve le principe de la suppression 
de la période de jouissance n° 19, d' une durée d'une semaine 
et par conséquent :
- autorise la Gérance à se porter 
acquéreur au nom et pour le compte de la société civile, 
auprès des associés concernés, des 1375 parts afférentes 
à la dite période, moyennant un prix correspondant à leur 
valeur nominale,
- décide que, lorsque toutes les parts afférentes 
à la période 19 seront devenues la propriété de la 
société civile, celles-ci seront annulées, cette annulation 
entraînant une réduction du capital social de 209 euros et donne 
tous pouvoirs à la gérance à l'effet de ce qui précède, 
pour procéder à l'acquisition et à l'annulation des parts, 
pour constater la réduction du capital et apporter aux statuts et au règlement 
de jouissance de la société les modifications corrélatives
..etc
(extrait 
PV Assemblée Générale du 18-9-06
Le 14-2-07
 
Mr Bremond PDG de
 Pierre et Vacances
 11 rue de Cambrai
 75019 Paris
	
Monsieur,
Vous êtes PDG de Pierre et Vacances. L'essentiel 
de l'activité de cette société tourne autour des locations 
et ventes d'appartements. Vous envisagez un parc de loisirs avec Euro Disney (cf 
le Figaro). Très subsidiairement vous gérez des résidences 
consacrées au Timeshare, mais nous avons tout lieu de croire que ça 
n'est pas sur ce terrain que vos affaires prospèrent.
Nous sommes une 
association de défenses des victimes du timeshare, entre autres des victimes 
de " l'engagement perpétuel " auquel le système timeshare 
en France les condamnent en raison de lois iniques propres à notre pays, 
lois dont votre société semble être à l'origine (entre 
1965 et 1986), lorsque le timeshare avait encore le vent en poupe.
Vous avez dû prendre connaissance de notre pétition qui se situe sur notre site. Si vous ne l'avez fait, nous vous convions à la lire..
Nous 
avons noté que l'année 2006 a été excellente pour 
vos affaires. " Valeurs Actuelles " du 15-12-06 indique que votre bénéfice 
net annuel s'est accru de 75%, tandis que la valeur de vos titres se serait accrue 
de 45%.
Nous notons que le journal " l'Express ", dans un article 
du 11-1-07, vous louange en tant que PDG et en tant qu'homme. Vous seriez ingénieux 
et retors, voire cynique, mais non corruptible, et vous aideriez des villages 
entiers à se développer en Afrique. 
Si cela est, nous devons 
pouvoir discuter avec vous, et nous pensons que le sort de vos concitoyens français 
vous intéresse également..
Nous sommes sûrs que votre intelligence de la gestion vous fait constater que le timeshare est en déclin, et que le temps de cette poule aux ufs d'or est révolu. La mise de fond dans le timeshare et les charges sont bien trop élevées par rapport à ce qu'offre la concurrence aujourd'hui dans les séjours et les voyages. Le timeshare n'est plus une bonne solution de vacances.
Nous sommes sûrs que vous comprenez que les personnes qui se sont fait vendre de mauvaises semaines, par des vendeurs peu scrupuleux, ne peuvent plus accepter d'en payer les charges.
Nous sommes sûrs que vous comprenez, ne serait-ce qu'en tant que bon gestionnaire, que les personnes qui sont devenues âgées, malades, handicapées, ou dont les revenus se sont allégés, ou tout simplement qui sont les héritiers de semaines non désirées, doivent pouvoir échapper à l'obligation perpétuelle de payer des charges, comme n'importe quel associé d'ailleurs.
Nous sommes 
sûrs que vous savez que les semaines de timeshare ne se vendent quasiment 
plus ou de façon accidentelle et très rare, sinon nous n'aurions 
pas été saisis de ce problème. Vous savez comme nous que 
les actions ou parts qui donnent droit à ces semaines ont une valeur nulle 
ou quasi nulle.
Nous sommes sûrs que vous comprenez la signification, 
et la réalité de cette " obligation perpétuelle " 
qui défie les libertés démocratiques et dont nous pensons 
que cela relève d'une sorte de servitude pure et simple.
Alors ne vaudrait-il pas mieux que ce soit vous qui fassiez des propositions pour permettre aux gens de sortir des SCI de timeshare, en montrant votre magnanimité, plutôt que vous vous fassiez interpeller par les victimes, et que leurs témoignages désagréables figurent dans notre site ??
L'avocat des Clubhotels est en difficulté en ce moment, car les victimes de poursuites inhumaines pour non paiement de charges, commencent à se défendre. Ce qui jadis se passait comme des lettres à la poste n'est plus si simple. Et cela sera de moins en moins simple.
Votre action ne devrait-elle pas être à la hauteur de la réputation que la journaliste Corinne Scemama vous a faite, ou devrons-nous nous gausser de celle-ci ?
La preuve du déclin et des difficultés du timeshare se lit dans l'attitude des gestionnaires de ces résidences de timeshare : Le gestionnaire des résidences MALIBU a trouvé de fait un modus vivendi en louant les semaines des gens qui ne payent plus leurs charges, pour son propre compte ; MARINA Services a fait voter le principe d'une autre SCI à qui les parts des associés mauvais payeurs seraient vendues pour 1 euro ; votre gérant des Clubhotels semble avoir donné l'ordre (sans doutes précaire) de ne plus poursuivre les personnes ayant de très mauvaises semaines (stations de montagne fermées). REGIVAL n'a rien trouvé de mieux que de nous attaquer en diffamation pour des caricatures et de se faire débouter
Nous sommes sûrs 
que vous cherchez une solution d'avenir pour vous défaire de ce problème, 
en revendant par exemple les résidences de temps partagé en copropriété, 
comme à St Laurent du Var.. Mais vous pourriez le faire avec moins de brutalité 
en dédommageant quelque peu les porteurs de parts des bonnes semaines, 
c'est-à-dire à Noël, en février, à Pâques 
et les deux mois d'été, soit environ 14 bonnes semaines sur 52.. 
Vous pourriez aussi, et peut-être surtout, envisager des SCI mixtes, de 
copropriété, de locations et de timeshare, ce qui permettrait une 
sortie plus facile des SCI à ceux qui le veulent. En effet on pourrait 
ainsi avoir des statuts de SCI qui ne prévoiraient pas que des attributions 
en jouissance, et les associés pourraient se retirer librement (art 212-9). 
Vous avez les moyens de faire plancher sur ces problèmes des gestionnaires 
qui effectueraient des simulations. Cette question deviendra un jour ou l'autre 
scandaleuse. Elle le deviendra nécessairement quand les medias prendront 
le virage (ce qu'elles n'ont pas encore fait) et se mettront à " casser 
" le timeshare français. Voulez-vous attendre ce moment là 
ou prendre les devants avec hauteur ? 
Nous admirerions que vous déléguiez 
un de vos administrateurs pour plancher sur cette question avec les associations 
APAF-VTP et ADCSTP. Pour notre part, nous ne voulons pas participer à la 
gestion des résidences, nous voulons que les gens puissent sortir des SCI. 
Mais nous sommes prêts à discuter de solutions de transition.
Nous 
pouvons vous assurer que le mépris manifesté par les Ministres de 
la Justice et des Affaires Economiques sur cette question, tout au long de l'année 
2006, pèsera d'un certain poids dans la campagne politique actuelle.
Nous 
espérons donc une réponse positive de votre part, au moins pour 
une discussion de fond.
Veuillez recevoir, Monsieur, nos salutations distinguées. 
ASSOCIATION DE DEFENSE DES CONSOMMATEURS DE SEMAINES 
 EN TEMPS 
PARTAGE
 
 à Clubhotel Antibes, Résidence 
 le Tanit, bât 
Corinthe, 
Av de la Rostagne, 
06160 Antibes.
LR Clubhotel Pierre 
et Vacances
 11 rue de Cambrai
 75019 Paris
 
Mesdames et Messieurs les gérants,
En tant que Présidente de l'ADCSTP, 
je vous demande de bien vouloir procéder à une remise de dettes 
définitive des charges dues par Mme TEISSEIRE Marie-Elisabeth, 121 B Bvd 
Napoléon III, Fuchias 3, 06200 Nice. 
Elle aurait acheté en 92 
une période 18, 2ème et 3ème semaine d'octobre à la 
résidence le Tanit gérée par Clubhotel Antibes. 
Cette 
période se situe juste avant la fermeture de la résidence (dernière 
semaine d'octobre, mois de novemebre). Elle ne vaut rien , elle est ni louable, 
ni échangeable. 
Mme Teisseire, au chômage depuis un certain temps, 
touche maintenant l'ASS (alloc spéciale de solidarité) d'un montant 
de 442 euros mensuels. Ne touchera sa retraite que fin 2009 pour un montant d'environ 
1000 euros. A cessé de payer ses charges, ne pouvant plus les assumer. 
A demandé à plusieurs reprises qu'on lui reprenne sa période, 
qu'on la lui confisque et qu'on la revende aux enchères. Refus. Une assignation 
a été lancée contre elle en 2005 sans qu'on lui remette les 
pièces de cette assignation. Condamnée le 21-3-06 (sans avocat) 
à payer ses charges d'un montant de 2300 euros, augmentées sans 
cesse par les nouvelles charges, elle n'a jamais pu faire face ; elle est aujourd'hui 
menacée de saisie de ses meubles (vieux meubles sans grande valeur) par 
l'huissier Patrick Caputo, 42 rue de la Buffa, Nice. Elle a eu droit, à 
l'intrusion du serrurier et de l'huissier en son absence, ceux-ci laissant la 
porte ouverte, c'est légal et
. moral !
Elle fait partie des 8 
millions de pauvres en France : revenus en-dessous de 880 euros.
Elle n'a 
jamais refusé de payer ses charges dues, mais a toujours demandé 
préalablement qu'un point final soit mis à la propriété 
des parts. Or le système est tel, qu'après un paiement, il y aura 
toujours un autre paiement à venir, le gérant ne voulant ni saisir 
les parts, ni revendre aux enchères, ni louer. Il ne semble être 
intéressé qu'à racler les fonds de tiroir pour une cause 
perdue d'avance : les résidences de timeshare feront toutes faillite à 
terme.
Nous insistons pour que cette remise de dettes définitive ait 
lieu. Il en va de votre honorabilité. Nous rendons publique cette demande 
et nous la transmettons aux Ministères concernées.
Recevez 
nos salutations distinguées
Sous la plume de Gilles Chiche, on trouve écrit ceci à propos des offres promotionnelles de timeshare:
(document trouvé en 2009)
-Acheter....pour bénéficier 
d'un rendement locatif largement supérieur à un livret d'épargne....
-....nous assurons aussi la revente de votre période....
Ecrivez à ce monsieur gchiche@maeva.fr ! Et faites valoir cela, ne vous gênez pas avec ces gens
(février 2009)
(Octobre 2010: ce monsieur nous écrit pour nous dire qu'il ne travaille plus à Clubhotel, donc qu'il n'est plus concerné. Nous avions qualifié ce Monsieur de "menteur" en raison de sa publicité mensongère ci-dessus en caractère gras. Il nous demande d'enlever son nom. Nous demandons à nos adhérents et sympathisants quel est leur avis. Par contre nous enlevons volontiers le qualificatif de "menteur".
Dans le temps partagé, il y a une curieuse habitude chez les anciens qui ont servi les gérants, c'est de vouloir oublier l'histoire et d'effacer leur rôle. Peut-être qu'un jour Mr Brémond dira "enlevez mon nom, j'ai oublié que j'avais été PDG de Pierre et Vacances"....)