L'association Le timeshare en FRANCE principalement
Les textes de loi
Les arnaques type
Suivi Escroqueries
Ecrivez-nous
: |
La position de l'ADCSTP sur le Timeshare est négative depuis 2002, quand nous avons compris que dès la vente des semaines il y avait tromperie, puisque la somme investie dans les semaines est PERDUE alors qu'on nous dit qu'elle va fructifier. Elle est perdue car la profession s'est organisée pour qu'il n'y ait jamais revente.
Cette position est mise en question par un certain nombre d'adhérents et de sympathisants. Nous ouvrons donc cette rubrique de discussion et nous publierons vos remarques et propositions.
Voir 2012 en fin de rubrique:
"Pouvez vous agir contre ces sociétés malhonnêtes ?
Quand sera t-il possible de revendre correctement ces sociétés
Il doit quand même être
possible de créer un réseau parallèle légal et
respectueux des droits de chacun, et d'assainir ce milieu plein de vermines.
En attente de bonnes nouvelles de votre part... "
"A cottoyer un certain nombre de personnes âgées,
je constate que beaucoup font 3 à 4 voyages à l'étranger
par an, je pense que les semaines à temps partagé ont leur place
avec la bourse d'échange et surtout pour en améliorer la rentabilité
avec les semaines "bonus". Personnellement je pense que dans le système
tout n'est pas mauvais. Ce qui est à réformer c'est un prix ( de
dépôt) au départ qui ne devrait pas dépasser 3000 à
4000 € pour une semaine; le supplément est du vol. D'autre part ces
semaines devraient pouvoir se revendre. C'est sur se dernier point qu'il faudrait
se battre pour dénoncer une publicité mensongère. Personnellement
je pense qu' attaquer le système globalement ne pourra aboutir à
la fin de ce type de vacances. Je connais des gens qui sont très intéressés
par le standing de la plupart des résidences proposées et la sélection,
par le prix, des occupants. La pratique du golf (qui n'est pas à la portée
de tout le monde) trouve ici la garantie pour ses "fanas" de découvrir
de magnifique parcours dans tous les pays.
Ce système de vacances
plait à des gens qui dépensent facilement et qui de ce fait ont
de très bonnes situations.
Je vous propose donc de mettre toute
l'énergie que vous avez, pour notre association, à imposer un moindre
prix de ces semaines et surtout à ce que la revente de ces semaines
soient organisée et les détournements poursuivis.
Dire que
le système est mauvais me parait un combat perdu.
Encore merci pour
votre travail "
(réponse provisoire de la Présidente: Nous sommes dans un système économique qui impose des prix libres et des marchés libres.. A moins qu'une très importante campagne soit menée contre le Timeshare actuel, je ne vois pas par quelle méthode aboutir à un moindre prix. Ce n'est pas par hasard que les lois sur le timeshare ne traitent pas de cette question. Demander à ce que la revente ait lieu, c'est demander que le Timeshare actuel disparaisse... mais la discussion est ouverte.
Nous ne sommes pas contre l'idée des bourses d'échange, ni contre le tourisme de haut standing, mais à la condition que cela ne tue pas les possibilités du tourisme chez l'habitant et géré par les populations. Vous parlez du Golf: personnellement j'ai assisté à des rébellions très fortes des populations locales contre les golfs (à Ibiza, à Majorque, en Grèce) en raison de la quantité d'eau prise sur l'agriculture locale (pétitions). A titre privé, et ne voulant pas en faire une position de l'association, je demande "Faisons nous du tourisme contre les populations locales, en nous moquant éperdument des problèmes de la vie quotidienne dans les pays dans lesquels nous allons ? Je fais remarquer qu'en Martinique, qui est la France, les populations ont imposé qu'on n'arrose pas les golfs à certaines périodes...)
(Dans la lettre que nous faisons à Zapatero, nous écrivons:
"Nous sommes contre le Timeshare étant donné ce qu'il est, mais nous voulons bien jouer le jeu à condition que vous adoptiez des mesures simples : 1) Que les Procureurs ouvrent des enquêtes après les plaintes des touristes 2) Que la police enquête effectivement, 3) Que des procès soient ouverts a) contre ceux qui ne respectent pas la loi espagnole sur les 10 jours de rétractation possible après la signature d'un contrat et qui font signer des chèques ou facturettes de cartes visa pendant ces 10 jours, b) contre ceux qui ont prétendu revendre les semaines des touristes et qui inventent des prétextes pour ne pas le faire, ou qui disparaissent tout simplement, 4) Qu'il soit interdit de demander des frais à payer avant que la revente ne soit effective, 5) qu'il soit interdit de prétendre et d'écrire qu'il faille un notaire pour revendre et qu'il faille " un certificat de validité ", autrement dit que toute interprétation volontairement erronée de la loi soit punie comme un délit, 6) Que vous renvoyez auprès de la police française tous les vendeurs français pris en flagrant délit de faux. 7) Que vous interdisiez les " Packs Vacances " (moins de 36 mois) puisqu'ils ne sont couverts par aucune loi." )
"Bravo ! Et tous nos voeux pour que vous soyez entendus. Il faudrait aussi que soit contrôlé le tarif des frais de maintenance exigés chaque année, et qui augmentent de façon scandaleuse à hauteur d'une semaine, voyage compris et pension complète (ou demi-pension) dans les agences de tourisme. Il n'y a pas que l'Espagne qui héberge les escrocs. Malte n'est pas mal non plus... Bien sympathiquement"
"Ayant
decouvert votre site, nous tenons à vous dire que le 12/09 les jeunes stagiaires
de l`hotel Porto Azzuro nous ont invités à connaitre leur club de
vacances.
RCI ne nous était pas inconnu car des amis voyagent
depuis 8 ans avec eux et nous l`ont conseillé. Il faut savoir que des proces
ont eu lieu en France et partout en Europe. Concernant la CSG et SIMCO (autres
club de vacances en Timeshare) amenant leurs directeurs en prison.
Dire
que le Timeshare est une arnaque à cause de cette generalisation, c`est
un peu gros.
Finalement, nous sommes devenus adherents à RCI car
cette formule de vacances nous va tres bien et nous sommes persuadés que
comme nos amis nous ferons de tres beaux voyages.
En esperant que notre
email sera publie (ce qui n`est pas gagne) amicalement"
(nous publions cet email car on nous le demande mais nous ne savons pas s'il émane de "vendeurs" se disant stagiaires par exemple...Ce témoignage est assez incohérent. Nous n'avons pas bien compris de quoi il parle, car ce n'est pas RCI qui vend à Azzuro, et nous ne savons pas ce que sont CSG et SIMCO...)
"Chers amis arnaqués du timeshare,
Victimes comme vous tous de plusieurs arnaques, il nous semble que la seule solution serait de s'unir par résidence, pour obtenir en AG que la Sté de gestion vende les biens et distribue le produit de la vente aux "copropriétaires" pour les indemniser.
A un niveau plus large, se regrouper au sein d'une même association pour exiger du gouvernement français ou de l'Europe la dissolution de toutes les sociétés de gestion, la vente des biens et leur distribution.
Qu'en pensez-vous ?"
"Je
vous donne mon avis après 6 ans d'expérience, on ne s'unit pas par
résidence, on se disperse. Il y a des centaines de résidences, le
pouvoir appartient au promoteur; il y a souvent jusqu'à 6000 possesseurs
de semaines dont vous ne connaissez pas les adresses, qui sont de toutes nationalités;
même si on les connaissait pas, on n'aurait pas l'argent pour leur écrire,
et en plus ça ne servirait à rien, les gens ne vont pas venir à
une AG de chez eux ! C'est bien pour ça que le promoteur fait ce qu'il
veut. La société de gestion obéit au promoteur qui est propriétaire.
Ces AG sont des trompe l'oeil; on vous fait croire que vous avez un pouvoir, vous
n'avez aucun pouvoir puisque vous n'êtes pas propriétaire immobilier
de votre semaine mais possesseur d'un droit de jouissance; vous n'êtes pas
copropriétaire.
Dans les résidences, vous n'avez pas à
faire à une société de gestion pour votre propre compte mais
pour celui du propriétaire.
Quant à exiger du gouvernement
la dissolution , non pas des sociétés de gestion, mais des résidences
(?), c'est impossible, le gouvernement répondra qu'il ne met pas en cause
la propriété privée, sauf s'il y a une escroquerie monumentale
à prouver...et encore. Aujourd'hui on ne met jamais une résidence
en vente, ça n'existe pas.
Des associations (j'en connais deux) vous
feront croire que vous pouvez prendre le pouvoir dans une résidence ! C'est
à mon avis de la tromperie. L'une d'elle fait en réalité
le jeu du promoteur en faisant la chasse à ceux qui ne veulent pas payer
leurs charges... Relisez la loi française et celle espagnole dans notre
site. Nous n'avons aucun droit de propriété. La situation est totalement
verouillée. Il reste la lutte contre les escroqueries, la dénonciation,
les procès; si les gouvernements le voulaient, ils pourraient par contre
interdire le Timeshare et coffrer tous les escrocs... mais ils ne le font pas
!" ADCSTP
----- Original Message -----
>
Vous avez toujours un parti pris total pour la cause que vous défendez.
>
La vérité n'est pas simple malheureusement.
> Certes des escrocs
et voleurs existent dans ce domaine, comme partout.
> Par contre il y a
aussi des sociétés bien gérées par des gens honnêtes
et
> compétents.
> Mais cela ne règle malheusement
pas les problèmes de fond de la
> multi-propriété.
>
Effectivement il semble normal que des gens veulent (doivent) se retirer.
>
Deux cas possibles :
> - le séjour est vendable, même à
prix réduit, donc la personne vend et
> c'est fini
> - le
séjour n'est pas vendable même pour un euro symbolique alors oui
> c'est
> un problème car si on autorise quelqu'un à
ne plus payer ses charges,
> c'est
> les autres multis qui vont payer
pour lui !
> A Superdévoluy on a tenté de résoudre,
au moins partiellement, cette
> difficulté
> en essayant de
regrouper des multis volontaires pour dégager quelques
> studios
>
qui auraient pu être vendus. Pour celà il a fallu proposer des échanges
> entre
> studios à la même période. Dans aucun
cas on a réussi. Il y a toujours au
> moins
> un multi qui
ne veut rien entendre, il dispose du studio xxx et n'en veut
> pas un autre
>
même identique ou alors demande une indemnité financiaire inacceptable.
>
Dans le cadre actuel de la loi, on ne peut pas l'obliger.
> La dissolution
de la société (vie statutaire de 99 ans) demande une
> majorité
>
impossible vu le peu d'intérêt manifesté par les associés
(la majorité ne
> renvoie pas leur pouvoir même avec une réponse
prépayée !).
> D'autre part un noimbre important (combien
?) sont contents du système
> (en général ceux des
bons séjours qui sont louables ou vendables).
> Les critiques sont
faciles mais que proposez-vous concrètement ?
> Donnez le pouvoir
à une faible minorité de dissoudre avant son terme me
> semble
dangereux. Dans notre cas nous sommes une SA et une loi
> réservé
aux seules sociétés gérant des multi-propriétés
semble
> juridiquement délicate.
> Salutations distinguées.
>
Votre témoignage est sérieux et argumenté.
Je vais essayer de répondre sur
le même ton.
Dans le message
que j'ai fait parvenir sur Clubhotel, je n'ai en effet
aucune indulgence.
On a affaire à des gérances cyniques qui ne répondent à
aucun courrier même RAR, mais qui ne sont précoccupés
que d'une chose: faire
rentrer de l'argent. Nous traitons deux cas sur Le
Bois d'Aurouze, dont vous
parlez, et nous avons exactement le même sentiment.
Dans
le timeshare en France, réglementé par la loi de 86, une bonne gestion
ne s'accorde pas avec l'honnêteté, c'est impossible. Car le timeshare
est un
piège non seulement pour l'associé ou l'actionnaire (votre
cas), mais pour
le gérant, qui doit faire rentrer les charges y compris
pour des périodes
mauvaises, puisque le principe du timeshare est de
tout vendre, pour
satisfaire le promoteur, et pour faire tourner la marmite.
Et cette
nécessité est perverse et engendre une conduite forcément
malhonnête à
terme, car pour équilibrer les comptes, il
faut que tout le monde paye, y
compris ceux qui ont été dupés
par des promesses non écrites. Elle est
d'autant plus perverse que
rapidement il s'avère que ces périodes, hormi les
très
bonnes, sont non revendables. De plus le système (charges à vie)
est
bien plus cher qu'une location une fois de temps en temps.
Nous
avons en son temps proposé qu'on se mette autour d'une table pour
discuter
de la sortie du temps partagé. Refus général... Donc nous
avons
pris les grands moyens, et nous avons attaqué...
En outre,
les charges sont incontrôlables, les surfacturations aussi. Il
nous
faudrait un argent fou pour payer un comptable qui irait visiter tous
les
comptes. Ce ne sont pas les pouvoirs publics qui vont payer cela, ni la
DGCCRF
dont les membres fonctionnaires, directement sous les ordres du Min
de l'intérieur.
Ils ne nous donneront jamais un coup de main.
L'affaire semble suffisamment
juteuse pourqu'aucun gérant n'ai jamais voulu
entrer dans une discussion
franche. Sauf avec l'APAF qui est pour le système
du temps partagé
et qui partage souvent la gestion des SCI...
Nous avions proposé
une solution mixte, à rendre obligatoire par les pouvoir
publics. Ne
garder que les bonnes semaines en temps partagé dans de petites
structures,
et louer le reste au tout venant. Difficile à mettre en oeuvre
et moins
juteux. Difficile pour les raisons que vous indiquez : les
mauvaises têtes
qui par individualisme refusent d'échanger un appartement
contre un
autre ou une période contre une autre. Je suis pour les mettre
dehors
en les remboursant seulement du prix payé au départ. Mais il faut
que
ça soit écrit dans un texte réglementaire.
On
avait proposé également la suppression du temps partagé.
ça ne changeait
rien pour les gens attachés à telle résidence:
ils auraient loué et retenu
leur location d'une année sur l'autre.
On a prétexté la perte d'emplois !!
Là ça me met
en colère, car les pouvoirs publics qui suppriment 35000 postes
dans
la fonction publique se mettraient à pleurer pour des emplois perdus
dans
le temps partagé ?? Il ne faut pas se moquer du monde.
En réalité,
le seul motif qui permet aux pouvoirs publics de protéger le
temps
partagé, est leur amitié sans partage avec le loby immobilier, qui
récolte 4 à 5 fois plus d'argent en vendant des appartements
par fraction en
temps partagé, qu'en vendant d'un seul coup les 52
semaines d'un
appartement.
Je pense personnellement que les membres des
conseils de surveillance,
doivent "attérir" dans la réalité,
s'ils ne sont pas des gens pays par les
gérants, et se veulent honnêtes.
Il n'y a aucune bonne solution si ce n'est
d'en finir à terme avec
le temps partagé. Et plus on attendra, plus ça
deviendra scandaleux
. Les procédures pour "justes motifs" vont faire
émerger
des contradictions et des scandales ahurissants. Et nous ne nous
priverons
pas de les faire connaître.
Les gens qui ont de bonnes semaines sont
-ils sérieusement attachés au temps
partagé ou à
une résidence pour telle période ?? Qu'on me réponde très
clairement là-dessus ? S'ils sont attachés au temps partagé,
de quoi
s'agit-il au juste ? Pouvez-vous me le dire ?
"Bonsoir,
Le point de vue de cet homme parait respectable car animé de bonne volonté mais le problème est bien celui des appartements "invendables" qui condamnent à payer les charges à vie. Dans le cas cité pour essayer de résoudre ce type de problème il dit avoir proposer de regrouper pour vendre, c'est donc que c'était vendable !
Il faut trouver une solution pour sortir du système pour l'euro symbolique quand on veut car si les semaines ont de la valeur, elles ne seront pas perdues pour tout le monde et sinon il n'est pas juste de faire payer des charges pour ce qui n'a pas de valeur !
De toutes façons , le système s'écroulera a la 2° ou 3° génération sauf si l'on continue a vendre des semaines selon ce principe.
C'est donc bien le système lui-même qu'il faut faire disparaître en le prohibant car il est vicié dans son principe. Bien à vous B"
"Je vous donne ci-dessous
quelques arguments ou contre-arguments - en vérité bien connus -
en réponse à la lettre de M. C de S du Bois d'Aurouze :
1-C'est
en créant un trop grand nombre de périodes peu ou non attractives
(moins bon climat, station partiellement puis totalement fermée, vacances
scolaires de septembre supprimées...) que la société, quand
elle a été créée, a pu fixer par période créée
un niveau de charges acceptable, pour attirer les clients. L'argument selon lequel
"si on autorise quelqu'un à ne plus payer ses charges, c'est les autres
multis qui vont payer pour lui !" ne vaut rien : c'est parce que la société
a piégé les propriétaires (qui se sont vite découvert
mal lotis) que les autres peuvent continuer à profiter de leurs périodes
favorables à un coût relativement modique; et ces derniers, qui sont
(heureusement) les plus nombreux, ont logiquement la majorité pour toujours
s'opposer à ce que la société supprime les parts indésirables
(inlouables et invendables). "Tant pis, se dit cette majorité, si
les propriétaires de ces dernières ne veulent plus et ne peuvent
plus en jouir, pourvu qu'ils continuent à cracher au bassinet commun, et
ce à vie, et jusqu'à l'extinction de leur descendance" ! En
vérité il est parfaitement immoral de continuer à les faire
payer, et il serait parfaitement moral que les propriétaires bien lotis
payent plus cher chaque fois qu'il y a défection de propriétaires
dont les parts n'ont plus aucun intérêt et donc aucune valeur ! C'est
dès la création de la société qu'ils auraient dû
payer plus cher, pour accéder à une multipropriété
qui n'aurait jamais dû comporter des périodes dont il était
facile de prévoir qu'elles seraient rapidement sans attrait pour personne...
Ce fut la première grande arnaque opérée par ce type de société.
2. Fera l'objet d'un envoi particulier car il est long et traite d'une question
qu'on n'a pas traité correctement jusqu'ici
3. La seule solution
convenable et morale de cette affaire - je l'ai écrit 10 fois à
"ma" société - était de supprimer purement et simplement
:
(i) ces parts (par une "réduction de capital", en quelque
sorte) sur le motif qu'elles n'ont plus aucune valeur, puisque les studios ou
appartements concernés ne sont plus occupés par leurs propriétaires
et sont notoirement inlouables et invendables, - donc parts supprimées
sans indemnité pour leurs ex-propriétaires; et de supprimer aussi
:
(ii) ces périodes lorsque (c'est le cas, en général)
elles ne sont plus désirées par personne, quelle que soit l'implantation
des appartements ou studios dans l'immeuble concerné : ni par leurs propriétaires,
ni par aucun candidat à la location ou à l'achat. C'est LA seule
clause que devrait comporter une nouvelle loi sur la multipropriété
en temps partagé :"TOUT PORTEUR DE PARTS DONT IL PEUT APPORTER LA
PREUVE QU'ELLES SONT DEVENUES INVENDABLES ET INLOUABLES PEUT RENONCER UNILATERALEMENT
A CES PARTS ET SE RETIRER DE LA SOCIETE, SUR SIMPLE NOTIFICATION ADRESSEE A LA
SOCIETE GERANTE, SANS AVOIR A FOURNIR D'AUTRE JUSTIFICATION, ET SANS POUVOIR PRETENDRE
A AUCUNE INDEMNITE NI POUR LUI NI POUR SES HERITIERS".
4. Il s'est trouvé,
dans le passé, quelques cas où la société a supprimé
de telles parts "indésirables" (comme je l'ai proposé
dès la fin des années 1980), en ayant obtenu en AG extraordinaire
une majorité nécessaire pour opérer une telle suppression.
Mais ces cas restent très limités par rapport au nombre de propriétaires
piégés et harcelés par la requête de continuer à
"payer leurs charges", dont le montant s'accumule avec le temps. La
société prétend "qu'elle n'obtient pas la majorité
requise en AG extraordinaire" pour procéder à une (nouvelle)
suppression de parts... Mais que vaut cette affirmation, alors qu'en même
temps, elle publie chaque année des comptes rendus d'AG ordinaires où
toutes les résolutions concernant la gestion obtiennent l'approbation d'une
"majorité" des présents ou représentés,
qui ne pèse... que 15 à 25 % de la totalité des porteurs
de parts ? Comment une telle assemblée peut-elle valablement se tenir,
avec un quorum aussi ridiculement faible ? Et comment peut-on attaquer de tels
comptes-rendus d'assemblées, et de telles sociétés ? PM"
Réponse partielle:
On nous fait l'obligation d'aller devant
les tribunaux pour plaider notre indignation, compte tenu du fait que les juges
prennent d'abord en compte les desiderata avant tout des "nécessités"
du monde du tourisme et de l'immobilier ... par exemple en nous servant l'argument
"C'est difficile de revendre, mais ça n'est pas complètement
impossible", et toute votre argumentation tombe....
Pour contester
un vote sur les comptes... il faut aller devant les tribunaux, et là vous
avez des renards comptables et autres sortes du même genre qui vous mettent
en pièces...
ADCSTP
PIERRE
VACANCES : Baisse sans surprise du résultat annuel
Conseil : - Objectif
: 72 €
03/12/09 à 17:14 - investir.fr | 0 commentaire
Historique infos & conseils
Pierre & Vacances voit son net reculer de 42% en 2008/09 Tourisme - Pierre&Vacances veut participer à la consolidation Un chiffre daffaires 2008-2009 légèrement meilleur que prévu LEDA 1 Pierre & Vacances-CA du T4 2008-2009 en hausse de 1,9% Larrivée de Sven Boinet au poste de directeur général dope le titre
Tous les articles
Les faits
Pierre & Vacances a publié ce matin ses résultats de lexercice 2008-2009, clos au 30 septembre. Pour un chiffre daffaires en hausse de 1,9%, à 1,45 milliard deuros, le résultat opérationnel courant du groupe de villages de vacances a plié de 38% à 64,2 millions deuros. Le bénéfice net courant part du groupe revient de 63,6 à 32,9 millions. Le profit net recule pour sa part de 42,3% à 32,9 millions. Un dividende de 1,50 euro sera versé au titre de lexercice, correspondant à un taux de distribution de 40,2% du résultat courant part du groupe de Pierre et Vacances.
Pour ce qui est des perspectives, la visibilité sur la saison touristique dhiver est réduite compte tenu de limportance des réservations de dernière minute, précise la société dans son communiqué. Les réservations immobilières se poursuivent pour leur part à un rythme élevé, grâce notamment à lincitation à linvestissement de la loi Scellier/Bouvard. Lun des objectifs prioritaires de Pierre & Vacances est porté sur la progression des activités touristiques par une meilleure efficacité des outils de vente et la réduction de ses coûts qui résulteront principalement du renforcement des synergies entre Pierre & Vacances Tourisme Europe et Center Parcs Europe.
L'analyse
Peu de réaction en Bourse ce mercredi à la suite de la publication des résultats annuels de Pierre & Vacances. Il faut dire que les comptes délivrés aujourdhui par le groupe de centres de vacances sont, bien quen net recul, globalement conformes aux attentes des analystes. Oddo Securities attendait même un peu moins bien en termes de résultat opérationnel courant (60,1 millions deuros), mais un peu mieux an profit net (41,4 millions). Les marges ont été pénalisées par le repli de lactivité touristique et des éléments non récurrents, non compensés par les économies de coûts. Le peu de prévisions annoncées pour lexercice en cours na pas permis, non plus, de créer de déclic en Bourse, mais la recherche de synergies entre Pierre & Vacances Tourisme Europe et Center Parcs Europe et la volonté de chercher de nouveaux débouchés sur le plan commercial est rassurante.
Une publication globalement conforme aux attentes de la part de Pierre & Vacances. La recherche de synergies est de bonne augure, malgré une visibilité sur lactivité encore limitée. Nous restons acheteurs du dossier. Objectif 72 euros
Le cours au moment du conseil : 59.44
"Pour information, le point des résultats annuels de P&V (ci-dessus)
Confirme le recentrage sur les activités tourisme avec l'accent sur les procédés de vente commerciale .
On constate en effet que le nouveau DG issu du milieu des jeux met l'accent sur les pubs avec tirages au sort, loteries
Et la réduction des coûts passe aussi par la récupération des charges."
(distinction "parts" et "périodes")
A/
Il se trouve qu'à une époque (1977-1987, pour être précis),
alors même que certains souhaitaient ne plus venir occuper leur studio au
cours de la période qu'ils "possédaient" (juin, en l'occurrence),
d'autres (minoritaires, dont j'étais) qui l'avaient acquise plus récemment,
souhaitaient continuer à en profiter, malgré les inconvénients
(mineurs, à leurs yeux), d'une station de sports d'hiver fonctionnant au
ralenti, du manque de neige, et bientôt du manque de commerçants
ouverts. Et ces "inconditionnels de juin" étaient sans cesse
menacés de "perdre" leur période, sous la pression des
propriétaires (majoritaires) qui souhaitaient en être débarrassés.
Pendant quelques années, le conseil d'administration de la société
avait laissé entendre qu'il fallait l'unanimité des "propriétaires
de juin" (1e ou 2e quinzaine) pour pouvoir supprimer cette période,
ou plus exactement pour la remplacer par une autre période, à créer.
Car il n'était pas question (pas encore) de supprimer les parts donnant
droit à l'usage de cette période (la société était
à l'époque tout-à-fait opposée à une réduction
de capital, signifiant une augmentation des charges pour les titulaires des périodes
maintenues), mais seulement de la remplacer par une autre. C'est à ce moment-là
qu'un collègue spécialiste de droit immobilier m'avait dit qu'il
plaiderait volontiers - si j'en étais d'accord - contre l'imposition éventuelle,
par la société, d'une période différente de celle
initialement choisie (juin) par l'intéressé (en l'occurrence moi-même),
la période initialement choisie étant la substance même du
contrat que j'avais signé en acquérant mes parts. Mais une telle
action de ma part pouvant m'entraîner dans des frais de justice élevés,
je me suis abstenu (mon collègue en était désolé...).
Jusqu'au jour où un avocat retors, sans nous prévenir (nous, les
inconditionnels de juin) fit voter en assemblée un changement de période
sans consultation des propriétaires de juin, dont la période a été
coupée en deux, et qui se sont retrouvés du jour au lendemain propriétaires
d'une 1e quinzaine de novembre (la plus pluvieuse de l'année !) à
la place de leur 2ème quinzaine de juin (la moins enneigée, à
l'arrivée de l'été) ! Au seul motif juridique que la désignation
des périodes de l'année attribuées aux différentes
parts faisait partie des statuts, et qu'il suffisait donc - en AG extraordinaire
- d'une majorité des 2/3 (aisément obtenue à l'époque)
pour changer cet article des statuts - au mépris du droit des détenteurs
primitivement attaché à leurs parts (1e et/ou 2e quinzaine de juin)
! Par une chance invraisemblable, j'ai réussi, peu de temps après,
à vendre la moitié de mes parts (celle correspondant à cette
2e quinzaine de juin) grâce à une petite annonce dans l'immeuble
concernée émanant d'un candidat acquéreur... Lequel a dû
sans doute avoir, par la suite, maintes occasions de se mordre les doigts d'avoir
fait une telle acquisition !
Ce n'est que lorsque je n'ai plus pu profiter
de la période qui me restait (la 1e quinzaine de juin)..........que j'ai
tenté - vainement - de louer ma période ou de vendre mes parts afférentes
à cette période. Et refusé de payer des charges pour une
période dont je ne pouvais plus "user" ......... et qui n'avait
donc plus aucune valeur ni d'usage ni d'échange. La société
(gérée à l'époque par des gens corrects) était
bien convaincue de mon dommage, et m'incitait à trouver (tout seul !) au
conseil d'administration assez de gens prêts à adopter la solution
que je préconisais, à savoir la suppression à tout le moins
des parts de ceux qui ne trouvaient ni loueurs ni repreneurs pour leur période,
au plus la suppression de cette période si tous les détenteurs de
parts de ladite période étaient dans la même situation (1).
Et c'est d'ailleurs ce qui s'est produit : une AG extraordinaire, tenue en 1990
ou 91, a bien voté une résolution décidant de la suppression
des parts donnant droit à la période "1e quinzaine de novembre"
(ex-2e quinzaine de juin), avec une indemnisation de 10 francs la part, et donc
à la suppression de cette période (précisément celle
pour laquelle j'avais réussi à vendre la moitié de mes parts
en 1985 ou 86....).
Mon espoir était donc grand que la société
en vienne à adopter la même solution pour la 1e quinzaine de juin.
Il était si grand que j'ai cru sincèrement, en janvier 1993, que
mes parts restantes (1e quinzaine de juin) étaient alors tour supprimées,
suite à une résolution d'une AG extraordinaire prévoyant
désormais que les parts affectées à une période indésirable
(donc ni louables ni vendables), dont les détenteurs ne payaient plus leurs
charges, seraient mises en vente d'office et, à défaut d'être
vendues, seraient supprimées avec indemnisation à hauteur de 10
Frs la part. J'étais heureux, j'avais enfin gain de cause !... Simplement
étonné de ne pas recevoir - à défaut d'attestation
de vente exécutée - l'indemnité de 10 Frs par part, soit
20 Frs... A partir de ce jour-là, je n'ai plus reçu AUCUN courrier
de la société. Ce n'est qu'en 2007, recevant tout à coup
un rappel de charges passées et présentes, sans aucune explication,
que j'ai compris que la résolution que j'avais lue en 1993 n'avait pas
été votée, mais qu'elle figurait simplement dans une convocation
(ce n'était pas un compte rendu...) et qu'apparemment elle n'avait pas
obtenu la majorité requise. Vous connaissez la suite.
B/ J'ai bien
compris, par tous vos courriers (que je lis tous attentivement), qu'il faut passer
actuellement devant un tribunal pour tenter d'obtenir d'être débarrassés
de ses parts indésirables et sans valeur, et n'avoir plus de charges à
payer. Mais c'est précisément (et implicitement) ce contre quoi
je m'insurge, en préconisant qu'un texte de loi (subrepticement votée
à l'occasion d'une loi de finances ?...) décide que "TOUT PORTEUR
DE PARTS DONT IL PEUT APPORTER LA PREUVE QU'ELLES SONT DEVENUES INVENDABLES ET
INLOUABLES PEUT RENONCER UNILATERALEMENT A CES PARTS ET SE RETIRER DE LA SOCIETE,
SUR SIMPLE NOTIFICATION ADRESSEE A LA SOCIETE GERANTE, SANS AVOIR A FOURNIR D'AUTRE
JUSTIFICATION, ET SANS POUVOIR PRETENDRE A AUCUNE INDEMNITE NI POUR LUI NI POUR
SES HERITIERS" - pour qu'on en finisse définitivement avec toutes
ces pressions, mises en demeures, menaces d'assignations, et ce racket indéfiniment
prolongé (jusqu'à disparition de toute descendance ..) opéré
par des escrocs avérés et couvert par des tribunaux complaisants
à leur égard....
...........
(1) J'ai toujours pensé que la suppression des parts pour un studio/période donné, inoccupable, inlouable et invendable par son "propriétaire", et donc avec charges impayées, devait être possible même si la période était maintenue, au profit des détenteurs toujours heureux de jouir de leur sudio pendant ladite période. D'où ma distinction entre suppression des parts et suppression de la période...
Bonsoir,
Le membre du conseil de surveillance que j'ai
maltraité, m'écrit entre autres ceci:
"en ce qui
me concerne j'ai acheté un séjour peu intéressant
car
c'était le moins cher .. j'ai acheté sur plan avant même le
début
de la commercialisation (un copain travaillait chez GTM)
aujourd'hui ma période
est ni louable, ni vendable et j'essaie
de l'utiliser au mieux
si j'ai pu
regretter mon achat je ne peux m'en prendre qu'à moi-même"
Laissons ce monsieur s'auto-culpabiliser.
Un autre correspondant
m'indique que, selon lui, acheter du temps partagé français revient
à acheter un service avec "un vice caché". Je trouve l'expression
intéressante, car lorsqu'on achète des parts de SCI ou SA en temps
partagé en France, on n'a absolument pas les moyens, ni en lisant les statuts,
ni en lisant la loi de 1986 (mais on ne vous la fournit pas) de comprendre qu'on
est piégé quasiment à vie. Il fallait avoir l'idée
de se référer au code de la construction et de l'habitat, en trouvant
le bon article, pour comprendre qu'on était "refait".... Donc
aucune culpabilité n'est de mise dans cette affaire. Je ne dirai pas la
même chose concernant les arnaques à la revente, où bien des
victimes ont cédé aux escrocs avec l'idée illusoire et pas
du tout raisonnable de toucher beaucoup d'argent !
En outre, encore une
fois, les SCI et SA de temps partagé, n'ont été viables,
et le sont encore mais de moins en moins, que parce que des vendeurs véreux
payés par les promoteurs, par les gérants mis en place par eux,
et par toute la faune de l'immobilier qui se trouve dans l'OTE (organisation du
timeshare européen), ont fait miroiter des périodes peu chères
en expliquant (je les entends d'ici) "J'ai une bonne affaire à
vous proposer, mais dépêchez vous car ça va se vendre comme
des petits pains, j'ai quelques périodes peu chères que vous pourrez
échanger comme vous voudrez à l'intérieur de la résidence,
et que vous pourrez revendre avec profit au bout de quelques années....".
Je les vois d'ici ces rats avec de fausses identités la plupart du temps,
faire du charme pour placer des périodes nulles, et disparaîttre
rapidement ensuite.
Or sans la vente de ces périodes quasi nulles
sauf exception (l'hiver pour les résidences de mer), et les mois de mai,
juin, septembre, octobre, novembre pour les stations d'hiver, les SCI et SA
n'auraient jamais pu fonctionner dans le luxe pour ceux qui ont acheté
de bonnes périodes.
IL FALLAIT VENDRE CES PERIODES, POUR
CELA IL FALLAIT DES VENDEURS EXPERIMENTES ET VEREUX, pour que le système
marche. Tous les gérants le savent, tous les membres des Conseils de
surveillance le savent, qu'ils ne viennent pas nous faire la morale. Tous les
fonctionnaires des Ministères de la justice et de l'Economie, après
nous avoir entendus, le savent aujourd'hui. S'ils tentent de vous culpabiliser,
c'est pour se disculper de soutenir à bout de bras un système inadmissible,
pour le plus grand profit essentiellement du lobby immobilier, de Pierre et Vacances
en premier lieu.
Voilà la vérité.
Concernant le
membre du CS du Bois d'Aurouze, ci-dessus, peut-il donc nous expliquer pourquoi
il n'a pas grimpé aux murs quand il a vu écrit, dans un rapport
financier de sa SCA, que le représentant de la société Montagne
Dévoluy, propriétaire de 6942 actions de la SCA, siégeait
au Conseil de surveillance, et ne payait plus ses charges: en un an un trou ce
284 000 euros !! Et il n'y a pas que cela au Bois d'Aurouze ! Et après
on vient vous faire la morale ! Monsieur B, vous avez accepté de siéger
auprès de ce représentant. Quel intérêt avez-vous à
fustiger des gens qui veulent partir de la SCA, si vous même vous dites
avoir une mauvaise période ? Au nom de qui parlez vous ?
Refusez
la culpabilité qu'on vous lance à la figure, analysez froidement
la situation, demandez des comptes aux membres des conseils de surveillance qui
ne se sont pas rangés du côté des victimes de ce système.
Une idée: FAITES LA LISTE DES MEMBRES DE VOS CONSEILS DE SURVEILLANCE.
ENVOYEZ LES NOUS. ON PUBLIERA LES NOMS, ON CHERCHERA A AGIR AVEC CEUX D'ENTRE
EUX QUI SONT CORRECTS.
Témoignage du 9-12-09
Voici une analyse faite par un actionnaire du Bois d'Aurouze, adressée au membre B du Conseil de surveillance, en réponse à sa première manifestation écrite:
"Concernant la Tranche 1 (du Bois d'Aurouze),
>
A ma connaissance, les Comptes annuels de Bilan ont toujours été
approuvés en Assemblée Générale Ordinaire ( fin mars
en général ) par une majorité de présents ou représentés,
sauf celui au 30/9/2007. On peut donc supposer l' existence d' un noyau dur constitué
par les Actionnaires des " bons séjours ", aidés de ceux
qui possèdent des studios hors périodes scolaires parce que localement
proches, sans enfant en âge scolaire, retraités, etc ....: 2/3 semaines
autour de Noêl et jour de l' An, autant en Février et 3/4 semaines
autour de Pâques font 10 semaines valables X 12 actions/semaine X 240 studios
= 28.800 actions. La S.C.A. comportant 70.980 actions, le seuil majoritaire n'
est pas si éloigné !!! ( y compris pour une A.G.E. de dissolution
! )
En foi de quoi, l' excuse du non-retour des votes ou pouvoirs ne tient
que pour l' A.G.O. de Mars 2008 statuant sur le Bilan au 30/9/2007 ....
>
L' approbation du Bilan a été repoussée en Assemblée
Simple ( fin Juin 2008 ) par manque de Quorum : Pourquoi ?
- les Comptes pouvaient
paraitre suspects du fait de la Mise en Redressement Judiciaire de MONTAGNE DÉVOLUY
durant cet exercice
- cette Société nouvellement constituée
( 2004 )était arrivée très opportunément au Conseil
de Surveillance, disposant de 6942 actions, et avait cessé de payer ses
charges sur un an ( 72.881€ )
- les Commissaires aux Comptes chargés
de superviser l' établissement du bilan avaient jugé opportun de
ne pas provisionner cette créance, " car elle avait été
règlée ultérieurement ".... ( ce qui est absolument
interdit ! )
- le Redressement Judiciaire étant établi pour 6
mois + 6 mois renouvelables, il était logique de voir comment le Mandataire
de Justice envisageait la suite : qu' en est-il advenu ???
- le repreneur MAULIN
était régionalement connu pour être un " rapace ".
Au passage, son rachat " fictif " des 6942 actions pour les charges
dues ( 72.881€ ) a valorisé chaque part à 10.50€ !
>
Le Bilan au 30/9/2007 étant entaché d' erreurs : qu 'en pense notre
Interlocuteur ? depuis quand siège-t' il au C.S. ? Ce ne sont pas uniquement
les Commissaires aux Comptes qui ont effacé la créance .....Pour
qui ? pourquoi ?
> Il apparait, sur ce même bilan, un compte débiteur
au nom de BASSANELLI pour 134.813€. Un gérant de Société
n' a pas le droit d' être débiteur de son Administré. A quoi
cela correspond-t' il ?
> L' action de BASSANELLI pour le regroupement des
parts à partir de 2001, ne visaient que celles qui pouvaient être
intéressantes à regrouper, pas les autres ! Cela ne pouvait que
conduire à l' échec ..... L 'intervention massive de MONTAGNE DÉVOLUY
a été une opportunité : pour qui ? où sont enregistrées
les Cessions de parts ? où sont les Actes de Nantissement de ces parts
?
> Dans le cas de-non paiement des charges, le Règlement Intérieur
prévoit la reprise des parts par la S.C.A ....de fait et de droit !
Qui
a revendu à MAULIN ? la S.C.A. ou l' Administrateur Judiciaire ? Il s'
agit d' un bloc de 9.92% du capital social tout de même .... A quoi sert
le nantissement des parts s 'il ne sert jamais ?
> Les parts auraient été re-cèdées à une Société Luxembourgeoise par MAULIN qui n' en étaient pas propriétaire : une action en Justice a été lancée .... par qui ? contre qui ? où en sommes-nous ?
Reprenant la première phrase de ce message du 2/12/2009 émis
par un Membre du C.S. de BOIS d' AUROUZE, je me permets de confirmer : "
La vérité n' est pas simple, malheureusement. Certes, des escrocs
et voleurs existent dans ce domaine, comme partout. Par contre, il y a aussi des
sociétés bien gérées par des gens honnêtes et
compétents.... "
S' il vous plait, Monsieur( ou Madame ) le Membre
du C.S., répondez à ces questions, que chacun est en droit de se
poser !!! "
L'ADCSTP s'inscrit en faux contre une seule phrase:"Dans
le cas de-non paiement des charges, le Règlement Intérieur prévoit
la reprise des parts par la S.C.A ....de fait et de droit !"
Ceci est
obligatoirement inexact. Sinon tous ceux qui veulent sortir de la SCA l'auraient
fait, le commentateur ci-dessus en premier lieu, et perosnne ne serait assigné
en justice; ce serait trop beau ! Il est possible que le règlement intérieur
dise que la SCA PEUT reprendre les parts. Les actionnaires ou associés
font souvent des confusions entre peut et doit.
Nous avons fait une erreur
de chiffre précédemment, la Montagne Dévoluy n'était
responsable du trou de 284000 euros que pour 72881 euros...
Ça devient interessant
Si la personne membre du conseil de surveillance justifie que ce qui lui arrive, avec sa période invendable, d'erreur personnelle qu'il assume, c'est honnête de sa part .
Mais il indique l'avoir fait avec des informations et des connaissances dans l'immobilier.
Ce n'est pas le cas de nombreuses personnes qui comme l'indique justement notre présidente se sont fait arnaquées par des spécialistes de la vente forcée ou malhonnête mais aussi comme ma belle mère par des vendeurs délégués par la banque Rodschild à Nantes qui proposaient un placement avec assurance de revenu sur 7 ans ce qui fut exact, par contre, ils vendaient des périodes intéressantes accompagnées de périodes sans intérêt et "fourgaient" en prime 2 périodes durant la fermeture de la station ! mais cela n'est apparu qu' à la sortie des 7 ans où la gestion avait été assurée par la société complice de la banque qui ne faisait rien pour que le client sache ce qui se passait. Au bout des 7 ans, il y avait option de vendre (ce qui était un peu plus réalisable que maintenant) ou de conserver pour louer à titre personnel.
Ma belle mère a donc conservé ses parts et s'apercevant alors que les locations ne rentraient plus, elle s'est décidée à mettre en vente.
Les promoteurs n'attendaient probablement que cela car les bonnes semaines ont été vendues rapidement (dans les années début 80) et les 7 ou 8 autres semaines lui sont restées sur les bras malgré des mises en ventes facturées au prix fort chaque année ceci durant 20 ans avec les charges annuelles en plus. Cela lui pompait toutes ses économies et lui laissait que le minimum pour vivre durant les dernières années. Sans compter le chagrin que cela lui procurait.
Si cette personne peut prendre conscience de cet aspect des choses et uvrer pour nous aider à remettre les choses a leur juste place, ce serait un résultat intéressant pour lui ( car il aura ouvert les yeux) et pour les victimes de cette escroquerie en col blanc.
(Ce témoignage montre bien à quel point ceux qui ont vendu les périodes et les parts savaient ce qu'ils faisaient, en accordant un semblant de bénéfice pendant 7 ans, ce qui interdisait à l'acheteur de tenter de se dégager, puisqu'on a 5 ans pour tenter une action en annulation, après quoi c'est prescrit.
L'exemple donné indique en outre à quel point il est utile, du point de vue du système, de vendre toutes les périodes, dont les plus mauvaises, pour rendre attractives les bonnes périodes, qui sont d'autant meilleures si une grande partie des charges pèsent sur les possesseurs de mauvaises périodes. L'argument donné sur la dite responsabilité des possesseurs de mauvaises périodes, et sur leur égoïsme quand ils se mettent à ne plus payer leurs charges, est absolument insupportable et inadmissible. Les possesseurs de bonnes périodes doivent savoir que si le système est encore attractif pour eux, c'est grâce à cette tromperie de départ, et quasiment à cette arnaque! Qu'ils assument eux-mêmes !!! ADCSTP )
Bonsoir,
> -Nous vous suggérons d'exiger
de savoir qui sont les membres de vos
> conseils de surveillance, ce
qu'ils font, s'ils vous soutiennent ou
> s'ils soutiennent la gérance
comme très souvent, mais pas toujours...
> -Sur les huissiers.
>
Nous nous sommes indignés des menaces de saisie de meubles et autres
>
par les huissiers, sans indiquer qu'ils avaient ou non l'accord d'un
>
tribunal..Un huissier s'est presque excusé..
> Mais il paraît
que c'est normal. La demande d'accord du tribunal est,
> dit-on, sous-entendue
! Les huissiers ont le droit de ne pas être
> explicites sinon la
menace ne serait pas une menace, et...... ils ne
> gagneraient plus leur
vie ?
> Nous vous suggérons de considérer que c'est un abus
de droit que de ne
> pas écrire les choses totalement de façon
à ce que le citoyen lambda
> comprenne.
> Par contre il peut
y avoir des saisies conservatoires sans jugement,
> avec l'accord
du tribunal cependant, mais ça ne veut pas dire un
> enlèvement
des meubles... (nous entrons dans le secret des dieux,
> c'est à
dire le secret de la langue incompréhensible pour le citoyen
> méprisé),
cela veut dire : un état des meubles existant et une
> interdiction
de les vendre. Se fait très rarement car cela coûte cher
>
au créancier.
> Une saisie réelle des meubles se fait après
un jugement s'il y a refus
> de payer.
> -Certains "me"
reprochent mon hostilité constante vis à vis du
> timeshare.
J'aurais une vision sectaire, partielle des choses. Mais
> ces personnes
ne se risquent pas à des critiques très ouvertes et
> claires
sur la question. Elles ont peur que je vous livre leurs
> critiques tout
de go dans les infos.
> Je répète que le temps partagé
ou timeshare relève de l'arnaque, soit
> immédiate soit à
terme. Tant qu'on est jeune, tant qu'on a de
> l'argent, on peut profiter
des belles résidences et se faire plaisir.
> Mais plus on a été
content, plus dure sera la chute, car la personne
> contente est le pigeon
idéal. Il fera confiance à n'importe quelle
> proposition
tordue, et il est prévu de lui en faire le moment venu,
> quand
il sera tout à fait prêt, c'est à dire cuit. Le procès
> d'Alicante qui va se tenir début mars est le résultat typique
de cela.
> Les gens contents ont fait des chèques qu'il était
prévu de leur
> rendre ! La bonne blague ! Nous savons comment ces
marketteurs font
> pour y parvenir.
> Certains parmi vous croient
encore que le marchand aimable n'a qu'une
> idée "répondre
à vos besoins". Il peut avoir cette bonne idée mais
>
dans le dessein de faire une bonne affaire... et qui dit "bonne
>
affaire" dit petits larcins, puis gros larcins. Actuellement on ne
>
produit pas et on ne vend pas pour vous faire plaisir , mais parce que
>
votre porte monnaie intéresse une multitude de gens, moins les
>
arracheurs de sacs à main, que d'autres apparemment très comme il
> faut. Je me répète. Ce n'est pas seulement les sociétés
de timeshare
> qui sont en cause, mais cela peut être les télécom,
EDF, le chauffage
> urbain, les placements de la Poste (!), naturellement
les banques ,
> les organismes de crédits, les vendeurs de couches
et de tétines...
> avec théories psychologiques à
l'appui...etc . basta !
> Donc : cessez d'être crédules.
>
Oui le temps partagé est une horreur pour tout ce qu'il a généré
comme
> mensonges, enfermements divers et variés, suggestions mensongères,
> gaspillages éhontés. C'est une invention diabolique qui
a profité de
> notre paresse. Comme si, pour voyager, on avait eu
besoin d'un
> organisme d'échange ! Ce fut une spéculation
sur la facilité et un
> appel au manque d'imagination, une invitation
à la dépendance vis à
> vis de celui qui prétend
tout faire à notre place (choix des soirées,
> billets en
tous genre, visites en tous genres, fausses mondanités,
> boissons
pour vous faire chuter, changement de vos draps tous les
> jours..!!!.):
résultat d'un marketing incroyable.
> Et la loi de 86 en France,
il fallait l'inventer ! Et la dernière
> directive européenne,
il fallait l'écrire celle-là pendant près de 6
> ans
!
> Mais si vous n'êtes pas d'accord, on publiera démocratiquement
tout ce
> que vous nous transmettrez.
Je vous remercie de me conserver dans
votre carnet d'adresses. Je fais
partie de ceux qui ont pu se sortir sans
trop de dommage du système du
"temps partagé" qui
est EFFECTIVEMENT une machiavélique arnaque. Pour
moi, il avait suffit
que je ne paye plus mes charges annuelles pour être
éliminé
du "Club Marina" de Ténérife. Je constate que, depuis,
les
arnaqueurs ont perfectionné le piège ! Je vous félicite
pour votre
combativité et vos efforts de persuasion. Puissiez-vous
être entendue au
moins de toutes les victimes que vous défendez...puisque
vous avez du
mal à vous faire entendre du législateur français
! J'avais alerté le
député de ma circonscription quand
vous l'aviez suggéré. Hélas encore,
ce problème
ne semble pas une priorité pour les élus de la République.
Ce n'est pas ce qui peut aider les victimes les plus durement touchées
quand elles sont prises au piège d'une légalité pernicieuse.
N'étant pas
un lecteur assidu des publications éditées
par les divers organismes de
défense des consommateurs, j'ignore s'ils
se sont saisis de ce problème
de façon à pouvoir contribuer
à démystifier tous ceux qui se laissent
encore griser par des
rêves merveilleux...
((Nous supposons que Mr P veut dire qu'on
se sépare facilement de sa semaine Club Marina à Tenerife en ne
payant pas les charges, ce que nous ne cessons de dire, et ce qui n'est pas le
cas dans le droit français, où on est enfermé à vie,
sauf quelques petites exceptions. Mais pour les personnes qui sont contentes de
leur semaine, et qui au moindre désaccord se voient supprimer leur semaine,
il y a peut-être aussi un problème... De toutes façons, il
faut savoir que le vrai "chef" dans une résidence de temps partagé,
hors droit français, c'est le propriétaire de la résidence,
largement inconnu des touristes, qui vous jette quand il veut...comme des peaux
de banane....
Mais si ça ne vous plaît pas, acheter donc français;
la société dans laquelle vous entrez est propriétaire de
l'immeuble, sauf vous ! Et cette société, que vous êtes censé
gérer, vous traîne devant les tribunaux si vous ne payez pas vos
charges, suite à des désaccords ingérables, et vous traite
comme un serf qui doit payer des redevances à son seigneur.. Quelle
solution préférez-vous ? ADCSTP)
"ok pour votre dernier
conseil : les gens sont trop crédules !!!
et ce n'est pas forcément
la faute à la société
alors supprimons tous les commerces
et revenons à l'âge de pierre"
(Réponse étonnante:
L'alternative au refus du contrôle économique des marchands
en tous genres ,
ce refus étant vraisemblablement la position de Mr
B, ne peut être que l'état
existant de malhonnêteté
ou l'âge de pierre ?? Il n'y aurait que deux
solutions ?
Vous ne
trouvez pas que la pensée intellectuelle de nos dites "élites"
est
plus que débilitante ?)
"Mon mari et moi sommes propriétaires d'1 semaine de vacances à
temps partagé (timeshare) à Aucanada Club (Baléares) depuis
juin 1996. Cette résidence a depuis, été reprise par ONAGRUP.
Ils ont décidé de faire de très gros travaux et de changer
tout le mobilier et nous ont donc doublé nos charges annuelles pendant
4 ans. De ce fait, nous ne sommes plus en mesure de les payer.
Notre souhait serait maintenant de tout laisser tomber puisque ça n'est
pas revendable et donc d'arrêter de payer nos charges. Mais ils nous disent
que nous n'avons pas le droit de faire cela et qu'ils nous poursuivront en justice
et même nos enfants après notre décès.
- ont-ils le droit de faire cela ?
- peuvent-ils nous assigner en justice de l'étranger ?
- est-ce qu'on ne risque rien ou doit on prendre un avocat ?
- quand on ne peut plus payer, quel est notre recours ?"
Nous recevons constamment ce type de message, soit pas email, soit par courrier,
soit par téléphone:
La riposte d'ONAGRUP (des escrocs) n'a aucune validité. Tout est faux
exactement comme les récriminations d'Intrum Justicia. SVP apprenez à
faire les morts, n'argumentez pas, mais ne répondez pas !
AMC